« L'amour est une emprise réciproque qui fait s'envoler la liberté. Donc, n'en parlons plus. »
Louise et Guillaume ne parlent plus d'amour, ils le font.Pourtant, Louise doit épouser dans quelques mois un homme riche qu'elle méprise, quand Guillaume tente de se relever d'un chagrin où il a cru mourir.Leur passion bouleverse tout dans cette petite villégiature de Bretagne où s'agite une société qui ne croit qu'au champagne, aux régates, aux jardins, aux bains de mer et autres plaisirs de l'été.
On l'aura compris, dans On ne parle plus d'amour, il n'est question que d'amour. Il blesse, distrait, porte, détruit, réconforte et s'impose à la dizaine de personnages qu'il mène dans ce roman vibrant et léger comme une flèche, et qui frappe en plein coeur.
" Ce roman est drôle, rythmé, plein d'esprit [...]. Un délice littéraire autour de l'amour, de la liberté et du bonheur." Page des libraires
Scott Fitzgerald les prend pour modèles et leur dédie Tendre est la nuit. Elle, lumineuse et malicieuse. Lui, dandy, peintre au talent immense. Sara et Gerald Murphy débarquent en France en 1921, fuyant l'Amérique de la prohibition. Les amis affluent bientôt à la Villa America, au cap d'Antibes, où ils se sont installés. Scott rêve Gatsby, Zelda fait sensation, Hemingway découvre l'Espagne et l'adultère, Picasso n'en finit plus de peindre les baigneuses de la plage de la Garoupe, Cole Porter est au piano jusqu'à l'aube. Ils dansent tous sur des volcans, ils dansent le foxtrot, le charleston, le tango ! L'alcool coule à flots au casino de Juan-les-Pins. Mais pourquoi les hommes s'embrasent-ils pour Sara ? Pourquoi Gerald paraît-il parfois si distant ? Étrange, cette ambivalence qui se glisse au sein du couple enchanteur... Sont-ils si loin des héros de Tendre est la nuit ?
De Paris au cap d'Antibes, de New York à Key West, Stéphanie des Horts nous plonge au coeur des Années folles, de la bohème chic et de l'insouciance, sur les traces d'un couple légendaire, qui laisse dans son sillage un parfum de bonheur indécent.
"Impossible de ne pas tomber amoureux de ce couple légendaire !" Biba
"Une évocation trépidante et affolée de la "génération perdue" Historia
1609. Au coeur du Pays Basque, encore imprégné de rites et de mythes païens, un homme est chargé par Henri IV d'une mission : éradiquer la sorcellerie. Dévoré par la foi, le goût du pouvoir, et plein de certitudes, Pierre de Lancre a pour ce faire une méthode imparable : purifier les âmes en brûlant les corps.Sur ces terres rudes à la langue impénétrable, désertées par les hommes partis en mer, les destins de quatre femmes vont s'entrecroiser. Amalia, la guérisseuse au coeur pur, Murgui, une adolescente à la beauté du diable éprise d'un jeune charbonnier, Graciane, la marguillière de l'église qui attend le retour de son marin, et Lina, prête à tout pour fuir la pauvreté et le mépris. Échapperont-elles à la folie de ce chasseur de sorcières ?
Passionnée par l'histoire des femmes, Bernadette Pécassou, auteure de nombreux romans à succès dont La Belle Chocolatière, L'Impératrice des Roses ou La Passagère du France, ressuscite ici la cruelle figure de Pierre de Langre et nous entraîne au coeur d'une épopée sanglante, où des femmes furent sacrifiées au nom de la raison et de la religion.
Lyon, 1896. Blanche est l'épouse modèle d'un soyeux de renom. En dépit de son amour pour ses enfants, elle étouffe parmi ces bourgeois corsetés. Jusqu'à ce que son regard croise celui de Salim, un négociant fortuné de Damas. Elle abandonne tout pour la promesse inespérée du bonheur. Les routes de la soie deviennent celles de la passion et de l'exil. Tandis que sa fille grandit en la croyant morte, Blanche s'invente une nouvelle vie au Levant.Quand la France entre en guerre, l'Empire ottoman réprime dans le sang la révolte arabe. Prises dans la tourmente, mère et fille choisissent chacune la liberté au prix fort. Resteront-elles à jamais séparées ? Ou seront-elles enfin, un jour, face-à-face aux confins du désert ?De l'aube du XXe siècle à l'été 1920, des soieries lyonnaises aux ruines de Palmyre, Theresa Révay, l'auteure de L'Autre rive du Bosphore, nous emporte dans un grand roman de passion et d'histoire, sublime portrait d'une femme trop libre pour son temps.
Sélection Les 100 livres de l'année 2019 du magazine Lire
1943. Reclus dans son quartier général en Prusse orientale, terrorisé à l'idée que l'on attente à sa vie, Hitler a fait recruter des goûteuses. Parmi elles, Rosa.
Quand les S.S. lui ordonnent de porter une cuillerée à sa bouche, Rosa s'exécute, la peur au ventre : chaque bouchée est peut-être la dernière. Mais elle doit affronter une autre guerre entre les murs de ce réfectoire : considérée comme « l'étrangère », Rosa, qui vient de Berlin, est en butte à l'hostilité de ses compagnes, dont Elfriede, personnalité aussi charismatique qu'autoritaire.
Pourtant, la réalité est la même pour toutes : consentir à leur rôle, c'est à la fois vouloir survivre et accepter l'idée de mourir.
Couronné en Italie par le prestigieux prix Campiello, ce roman saisissant est inspiré de l'histoire vraie de Margot Wlk. Rosella Postorino signe un texte envoûtant qui, en explorant l'ambiguïté des relations, interroge ce que signifie être et rester humain.
« Ce livre où l'on parle d'amour, de faim, de survie et de remords vous reste gravé dans le coeur. » Marie Claire Italie
1915. Deux hommes que tout sépare vont se rencontrer sur les champs de bataille. Lorenzo, jeune et brillant officier de l'armée italienne, et Nino le Sicilien, qui s'enrôle pour échapper à la prison après avoir commis un crime d'honneur. La guerre va faire d'eux des compagnons d'armes, des frères, avant que le règne de Mussolini neles transforme en ennemis. Tandis que les hommes sont emportés dans le tourbillon des combats, le temps des femmes est venu. Elles vont s'engager dans la plus belle et la plus dangereuse des luttes, celle pour l'amour, l'indépendance et la liberté. Des premières heures du fascisme à la fin de la Seconde Guerre mondiale, les passions politiques et les passions des amants, les haines et les ambitions s'entrecroisent violemment.
Deux soeurs. Un destin.
Américaines. Chic. Glamour. Deux soeurs intelligentes et belles. La première aura tout, la seconde en rêvera. La première épouse un président et s'érige en symbole. La seconde s'unit à un prince sans fortune et sans gloire.Jackie et Lee Bouvier entrent dans la légende. Leurs amants s'appellent Gianni Agnelli ou Aristote Onassis. Elles fréquentent Cecil Beaton, Andy Warhol, Mick Jagger. Elles lancent les Hamptons, font vibrer Palm Beach. Sur la côte amalfitaine, Benno Graziani shoote à tout va pour Paris Match, c'est la dolce vita... Et soudain, le drame : Dallas, 22 novembre 1963. Jackie va enfin faire profil bas, songe Lee. Elle se trompe, Jackie se prend pour le soleil et Lee marche dans l'ombre de son aînée.De l'Inde de Nehru à la Ve avenue, du bal Noir et Blanc de Truman Capote aux pontons de Martha's Vineyard, Jackie Kennedy et Lee Radziwill s'affrontent à coups de secrets inavouables, de serments bafoués et de testaments que l'on préférerait oublier. Alors, les soeurs Bouvier, des filles infréquentables ou les dernières princesses de l'Amérique ? Après La Panthère, Pamela et Les Soeurs Livanos, Stéphanie des Horts nous entraîne au coeur du clan Kennedy, dans le secret d'une relation ambivalente, entre passions, orgueil et jalousie.
Tatiana de Rosnay et Daphné du Maurier : deux femmes prises par une même passion romanesque. Depuis longtemps fascinée par l'auteur de Rebecca, l'auteur du best-seller Elle s'appelait Sarah, lue dans le monde entier, a voulu percer le mystère de cette jeune fille à l'allure sage dont l'univers si particulier l'a marquée, comme des milliers de lecteurs, et a inspiré à Alfred Hitchcock ses plus grands films.
Car, à l'image de ses personnages, Daphné du Maurier cultivait le secret et le trouble : issue d'une famille d'artistes, elle doit affronter son père, célèbre acteur de l'époque, et son grand-père, romancier et ami d'Henry James, pour réaliser son désir d'écrire dans la pudique Angleterre victorienne. Un désir qu'elle accomplira en s'affranchissant de sa famille et en exprimant toute l'ambiguïté de sa personnalité au fil de romans qui sont autant de chefs-d'oeuvre.De Mayfair à Kilmarth, la maison du bord de l'océan, en passant par Menabilly, manoir de Cornouailles pour lequel la romancière nourrissait une passion dévorante, Tatiana de Rosnay, elle-même d'origine anglaise, s'est littéralement mise dans la peau de Daphné du Maurier. Plus qu'une simple biographie, son livre est une rencontre où s'opère toute la magie du roman : Manderley for ever.
Légère, séduisante, insolente, Pamela décide très tôt de capturer l?homme qui la mènera à la gloire. Randolph Churchill, qu?elle épouse à dix-neuf ans, Ali Khan, Agnelli, Sinatra, Harriman, Druon, Rubirosa, Rothschild? aucun ne résiste à son charme. S?ils ont le pouvoir, elle exerce sur eux une attirance fatale. Ils l?ont tous désirée. Elle les a tous aimés.
Les conquêtes de Pamela sont des alliances, des trophées qu?elle brandit sans crainte de choquer les cercles mondains. Elles vont lui ouvrir les portes du pouvoir et de la diplomatie, jusqu?alors réservées aux hommes, et lui permettre d?assumer toutes ses libertés.
Scandaleuse ? Intrigante ? Courtisane ? La ravissante anglaise à la réputation sulfureuse, morte comme une légende dans la piscine du Ritz à Paris où elle était ambassadrice des États-Unis, a emporté ses secrets. Stéphanie des Horts en recherche les parfums et nous révèle l?existence flamboyante d?une séductrice hors norme qui a marqué l?histoire de son temps.
Le roman vrai d?une femme amoureuse de l?amour.
Rome, 1936. Alice Clifford, la correspondante du New York Herald Tribune, assiste au triomphe de Mussolini après sa conquête de l'Abyssinie. Sa liaison avec Don Umberto Ludovici, un diplomate proche du pouvoir fasciste, marié et père de famille, ne l'aveugle pas. Son gout pour la liberté l'empêche de succomber aux sirènes des dictatures.
La guerre menace, les masques vont tomber. Alice découvre les conspirations qui bruissent dans les couloirs feutrés du Vatican et les rues ensanglantées de Berlin. Son attirance pour un journaliste allemand au passé trouble révèle les fêlures de son passé. Si l'aventurière ne renie jamais ses convictions de femme moderne, toute liberté a un prix. Jusqu'où ira-t-elle pour demeurer fidèle à elle-même ?
Des palais de Rome à la corniche d'Alexandrie, des montagnes d'éthiopie aux plaines de Castille, une Américaine intrépide et passionnée témoigne d'un monde qui court à sa perte. Theresa Révay nous offre l'inoubliable portrait d'une femme pour qui la vie ne brule et ne danse qu'un instant.
Noblesse oblige...Chez les Charteris, lords de père en fils, les « honorable young ladies » font peu de cas de leur vertu, les ministres ont les idées larges et les amours ancillaires, les homosexuels embrassent les filles sur la bouche et un inspecteur chinois joue les Hercule Poirot. En 1936, dans leur résidence d'été de l'île de Wight, on se noie dans le champagne avec l'ambassadeur d'Allemagne Ribbentrop pour se consoler de l'absence de ce cher Monsieur Hitler, qui manque décidément à tout le monde !Entre P.G. Wodehouse et les soeurs Mitford, Stéphanie des Horts ressuscite, avec un humour noir très british, une aristocratie aussi arrogante et snob que délicieusement décadente, aux moeurs... bien peu conservatrices.
Elle est américaine. Elle a vingt ans tout juste, une peau laiteuse et des rondeurs conséquentes. Maisie Kane est aussi et surtout fabuleusement riche et bien décidée à trouver un époux sur le vieux continent. En 1953, au Savoy à Londres, elle croise le chemin des Radcliffe, aristocrates aussi lancés que dépravés, aussi cruels que parfaitement amoraux, dont elle devient très vite – du moins, le croient-ils- le jouet. Car Miss Kane n’a pas fini de faire parler d’elle chez les heureux du monde… Un roman délicieusement pervers et loufoque qui ménage jusqu’à la fin un savant suspense.
Elle incarne le glamour hollywoodien des années 40, donne son nom à l'une des premières bombes atomiques, est la star du box-office. Derrière le sourire enjôleur des photos sur papier glacé, Rita Hayworth cache une blessure que nul ne saurait guérir. Cette fille de modestes danseurs espagnols cherchera désespérément tout au long de sa vie la protection et l'amour des hommes. Elle épouse un prince et un génie. Mais ni Ali Khan ni Orson Welles ne lui apportent le réconfort tant attendu. À l'aube de la quarantaine, le spectre de la maladie d'Alzheimer s'approche, alors que Rita est au firmament de sa carrière. Stéphanie des Horts s'est nourrie de ce destin tragique pour raconter le roman d'une vie. Celui d'une femme désirée, adulée, mais jamais comblée.
Les Kervalon forment à l'aube du XXe siècle une grande famille, fière de ses valeurs et de ses traditions. Quels que soient les événements, ils puisent dans leur nom et leur inaltérable solidarité la force de les affronter.
Apolline n'a que dix ans lorsque sa mère, la baronne de Saint-Eliph, née Kervalon, meurt en couches en mettant au monde son troisième enfant. La fillette grandit pourtant heureuse entre Paris et le manoir familial, avec son frère et sa soeur, entourée par ses nombreux cousins, avant que la première guerre mondiale ne fasse d'elle une très jeune veuve. Elle élève ses deux enfants dans un monde où les repères s'effondrent et où les femmes apprennent enfin à écouter leurs envies et à vivre pour elles-mêmes. D'une guerre à l'autre, les Kervalon poursuivent tous, à travers bien des péripéties, des destins très différents. Mais sans jamais oublier à quelle famille ils appartiennent. Jusqu'à la lecture du testament de l'oncle...
Espérances déçues, batailles fratricides et secrets de famille : dans la tourmente d'un siècle en pleine mutation, la romancière Inès de Kertanguy brosse la passionnante saga de l'aristocratie française, fresque d'un univers perdu.