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Amine Adjina
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Trois enfants, aux origines sociales et culturelles variées, racontent l'histoire de la France à leur manière : valorisant son cosmopolitisme, ils rappellent la richesse de la différence.
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Théorème : je me sens un coeur à aimer toute la Terre
Amine Adjina
- Actes Sud Papiers
- Le Théâtre d'Actes Sud-Papiers
- 5 Avril 2023
- 9782330178932
Dans une maison au bord de la mer où séjourne une famille bourgeoise, assurée de son confort matériel et moral, un garçon apparaît. Il a été invité par la grand-mère. Mystérieux, il concentre les regards et les désirs de chacun sur lui et place les personnages face à leurs contradictions. Tel un miroir révélateur, il réveillera leur coeur anesthésié.
Réécrite à partir du film de Pier Paolo Pasolini, évoquant le personnage d'Elvire de «Dom Juan», de Molière, «Théorème / Je me sens un coeur à aimer toute la terre» s'empare des enjeux politiques et écologiques qui planent dangereusement au-dessus de nos existences. -
Arthur et Ibrahim
Amine Adjina
- Éditions Actes Sud
- Théâtre Heyoka Jeunesse
- 7 Février 2018
- 9782330098742
CREATION : Du 29 au 31 janvier 2018, Le Tarmac (Paris).
"Les Français ne nous aiment pas / Tu as vu comme ils parlent de nous à la télévision" : lorsque son père lui dit ça, Ibrahim est bien embêté car son meilleur ami c'est Arthur, un Français, et "Arthur c'est pas pareil, c'est son copain". Pourtant il ne veut pas décevoir son père. Heureusement, face à ce dilemme, Ibrahim trouve une solution : il propose à Arthur de devenir arabe. Mais "l'opération" n'est pas sans risque ni douleur...CREATION : Du 29 au 31 janvier 2018, Le Tarmac (Paris).
"Les Français ne nous aiment pas / Tu as vu comme ils parlent de nous à la télévision" : lorsque son père lui dit ça, Ibrahim est bien embêté car son meilleur ami c'est Arthur, un Français, et "Arthur c'est pas pareil, c'est son copain". Pourtant il ne veut pas décevoir son père. Heureusement, face à ce dilemme, Ibrahim trouve une solution : il propose à Arthur de devenir arabe. Mais "l'opération" n'est pas sans risque ni douleur...CREATION : Du 29 au 31 janvier 2018, Le Tarmac (Paris).
"Les Français ne nous aiment pas / Tu as vu comme ils parlent de nous à la télévision" : lorsque son père lui dit ça, Ibrahim est bien embêté car son meilleur ami c'est Arthur, un Français, et "Arthur c'est pas pareil, c'est son copain". Pourtant il ne veut pas décevoir son père. Heureusement, face à ce dilemme, Ibrahim trouve une solution : il propose à Arthur de devenir arabe. Mais "l'opération" n'est pas sans risque ni douleur...CREATION : Du 29 au 31 janvier 2018, Le Tarmac (Paris).
"Les Français ne nous aiment pas / Tu as vu comme ils parlent de nous à la télévision" : lorsque son père lui dit ça, Ibrahim est bien embêté car son meilleur ami c'est Arthur, un Français, et "Arthur c'est pas pareil, c'est son copain". Pourtant il ne veut pas décevoir son père. Heureusement, face à ce dilemme, Ibrahim trouve une solution : il propose à Arthur de devenir arabe. Mais "l'opération" n'est pas sans risque ni douleur...CREATION : Du 29 au 31 janvier 2018, Le Tarmac (Paris).
"Les Français ne nous aiment pas / Tu as vu comme ils parlent de nous à la télévision" : lorsque son père lui dit ça, Ibrahim est bien embêté car son meilleur ami c'est Arthur, un Français, et "Arthur c'est pas pareil, c'est son copain". Pourtant il ne veut pas décevoir son père. Heureusement, face à ce dilemme, Ibrahim trouve une solution : il propose à Arthur de devenir arabe. Mais "l'opération" n'est pas sans risque ni douleur... -
Nouvelle vision du tragique, Amine Adjina crée une version moderne de Phèdre. En reprenant ce classique, il aborde des thèmes fondamentaux telle que la cellule familiale. La relation père-fils - au coeur de cette pièce - est aveuglée par la question du pouvoir. La Mère viendra exploser cet équilibre fragile avec un désir puissant pour un renouveau. Après la consécration vient la chute du roi qui au départ victorieux doit faire face à la réalité désastreuse de sa vie. Pièce actuelle et bouleversante, redécouvrez cette tragédie sous un angle nouveau.
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« Pouvez-vous me prendre en photo ? » Une femme. Est-ce Marilyn - l'icône morte il y a cinquante ans ?
Coincée dans une pièce, cette femme tente la parole. En imper, dans son bain, en chemise, elle veut enfin réussir à se dire. Le téléphone sonne : c'est God. Autorité puissante ? Producteur totalitaire ? « Ne sois pas en retard ! » Elle a rendez-vous. Le temps pousse, mais cette femme, Marilyn, ou Zelda Zonk, ou encore l'actrice, est terrorisée. Sa peur de ne pas être parfaite, de ne pas être prise, d'échouer ou d'être folle, fragmente son discours, invente des identités.
Elle veut rester là, avec ceux qui la regardent : ultime repère. Le téléphone sonne. Elle ne répond pas. Le concept Marilyn Monroe est trop fort ; il ne lui appartient plus. Les hommes sont tout autour. Elle se laisse prendre une dernière fois : photo, août 1962, dans son lit, morte.
Sur-prise.