Après une mise en perspective historique puis une réflexion d’ordre éthique, ce livre analyse le rapport propre à la musique de quatre poètes (Mallarmé, Pound, Celan, Albiach) ainsi que les décisions de compositeurs les ayant mis en musique. Symétriquement est interrogé le choix du compositeur S. Gervasoni de quatre poètes écrivant dans une langue d’adoption. C’est finalement le dialogue entre les arts qui se trouve interrogé à l’occasion d’une approche nouvelle et originale de la rencontre de la musique et de la poésie.
Le livre explore à la fois la théorie mallarméenne de la musique, sa mise en pratique poétique, et les compositeurs qui mirent Mallarmé en musique : principalement Debussy, puis Boulez qui en fit le coeur de son entreprise.