Issu d'une famille de classe moyenne, le jeune Pixel est passionné de Zelda et Megaman. Il est entouré d'une fameuse bande de potes : Guilhem, Jérôme, Elodie et enfin du Scooby gang, un groupe composé des geeks de l'école pour qui le sport est un gros mot. Des récits dessinés tantôt de manière classique tantôt en Pixel Art à dévorer sans modération.
Un jeune adulte, Clunch, le type même de l'adulescent contemporain, mou, peu débrouillard et geek sur les bords, décide d'acheter un robot ultra perfectionné pour faire son ménage. Robot qu'il finira par appeler Rob, dans un élan d'imagination débridée. Au fil du temps et au contact des humains, Rob finit par s'humaniser. Ce qui pourrait être une bonne chose, mais il finira surtout par en prendre quelques défauts.
Grande nouveauté pour Clunch, notre adulescent, il va tomber amoureux et se mettre en couple, et trouver un nouveau job comme vendeur de cuisine et d'électro-ménager. Et Rob va notamment découvrir le sentiment de jalousie. L'album se termine par une longue séquence champêtre, où on découvre les parents de Clunch, pendant laquelle Rob va devoir cohabiter, non sans mal, avec la nature.
Dans ce 3e et ultime tome, Rob multiplie les expériences et tente de devenir enfin acteur de sa propre vie. Une forme de passage à l'âge adulte qui ne va pas épargner les humains et en premier lieu ses deux colocataires, Clunch et Clémisse. « Obsolescence programmée » clôt la série Rob avec une vraie fin et sur une note d'espoir. La question est de savoir, pour qui est-elle ?