From the very first moment he meets "Sentence" Sykes, young Jim Starret instantly recognizes a legend of the Old West, just like in the comic books he learned to read with. But his new hero is nowhere to be seen when the fearsome Clayton gang murders his mother before his very eyes. From that moment on, the now-orphaned Jim becomes obsessed with a sole objective: joining Sykes to track down his mother's killers. But what he doesn't yet realize is that legends of the Old West are forged by their demons.
In the forests of Dartmoor, creatures of legend hide in the treetops, swim in the rivers, and roam the hills... but they're invisible to those who don't know how to look properly. Scrubby, a child of the fairies swapped at birth with a human infant, has inherited this wonderful gift. With a little help from the Wise Man of Wistman's Wood, his eyes are opened to the secrets of the moors. And even when he is forced to leave his forest for Victorian London, his forest never leaves him...
After leaving their beloved Dartmoor to find work in the capital, it's not long before the Johnsons realize that London is not the promised land after all. The lower classes are worked to the bone and struggle to survive, and their dreams of equality are brutally shattered. Scrubby's father is fatally injured during the Bloody Sunday catastrophe, and further tragedy is not far behind. But Scrubby and his sister, Sheela, keep moving forward and find work to survive. And in his new job down in the mines, Scrubby will find friendship, love... and chaos
The mysterious red-eyed man's plan succeeded: the dragon woke from its slumber and the mine collapsed, leaving but a few protected survivors. Following the trial of fire, Scrubby has now passed the trial of earth, and the trial of water is on the horizon. But Scrubby is not the only one whose life is in danger... With the police discovering a string of bloody murders, it seems a new killer is in town. But is he a man, or a demon?
With the body count rising, the London press is having a field day with "Spring-Heeled Jack," the terrifying killer of the East End. But Scrubby knows this wave of terror is not an isolated phenomenon... The upper crust of this huge industrial city has given in to its basest desires and has awoken an ancient evil. It won't be long until Scrubby is forced to confront the person responsible for his father's death. He'll need all the help he can get to defeat this man with the soul as black as coal.
The diabolical Sir Charles Warren is dead, but Spring-Heeled Jack, the demon awoken by his Hellfire Club, is still roaming the streets of London, engulfing the city in darkness and blood. It can mean only one thing: the border with the underworld is fading, and Scrubby, the changeling child, is going to have to rid the mortal world of this demon. To do this, he will need to discover the truth behind his origins and enter limbo, between fantasy and reality...
Cette collection s'ouvre à la prose et à la poésie pour réunir des textes contemporains de littérature de jeunesse. Parallèlement à des recueils purement anthologiques, révélant des écrivains français et étrangers, elle propose à un large public quelques profils d'une poésie d'aujourd'hui.
Comment gérer un hôpital, sans avoir procédé à une analyse des besoins, sans avoir mis sur pied un plan de communication, et une stratégie de nouveaux services, sans disposer d'un indice de satisfaction des usagers, sans avoir tout mis en oeuvre pour améliorer le rapport coût/efficacité du service rendu?
Le blanc d'Espagne, ou blanc de Meudon, est un produit extrêmement pur (carbonate de calcium naturel) dont on se sert pour nettoyer les surfaces fragiles : argenterie, vitres, miroirs. Avec son troisième roman, Félicie Dubois nous invite au Cercle des Souvenirs. Dans un univers fantastique et poétique, le narrateur ne manque pas de retrouver des figures familières qui, chacune, le conduiront sur les chemins de sa mémoire... Jusqu'à ce qu'un clown bleu se mette en quête de tuer la Reine Noire et le conduise aux frontières de son destin.
Avant d'être une fonction ou une discipline, le marketing est d'abord une pratique. Chaque jour, des responsables d'entreprises - de toute taille et de toute nature - prennent des décisions affectant les relations d'échange avec leurs marchés.
De par la diversité des situations rencontrées, le marketing reste difficile à codifier, et sa seule véritable loi est celle de la relativité : un produit qui réussit dans un pays, peut échouer dans un autre, une solution adaptée à une grande entreprise, peut s'avérer inopérante pour une PME.
Il s'ensuit que la meilleure façon d'approfondir sa maîtrise du marketing est, au-delà de la lecture d'un manuel, de se confronter à des problèmes réellement vécus par des responsables commerciaux et, "se glissant dans leur peau", de chercher à les résoudre.
Telle est la démarche proposée dans cet ouvrage de cas.
Contrairement aux habituels recueils, cet ouvrage ne se contente pas de présenter des énoncés. Chaque cas est complété par une série de suggestions, d'analyses et de modélisations. En s'impliquant directement dans la modélisation, le lecteur élargit son pouvoir de diagnostic, et son champ de recommandations. Même s'il permet d'en tirer davantage parti, l'accès à un matériel informatique n'est, cependant, nullement indispensable à une analyse approfondie des dix cas contenus dans ce livre.
Cela fait deux ans que Paul Hansen purge sa peine dans la prison provinciale de Montréal. Il y partage une cellule avec Horton, un Hells Angel incarcéré pour meurtre.
Retour en arrière: Hansen est superintendant à L'Excelsior, une résidence où il déploie ses talents de concierge, de gardien, de factotum, et – plus encore – de réparateur des âmes et consolateur des affligés. Lorsqu'il n'est pas occupé à venir en aide aux habitants de L'Excelsior ou à entretenir les bâtiments, il rejoint Winona, sa compagne. Aux commandes de son aéroplane, elle l'emmène en plein ciel, au-dessus des nuages. Mais bientôt tout change. Un nouveau gérant arrive à L'Excelsior, des conflits éclatent. Et l'inévitable se produit.
Une église ensablée dans les dunes d'une plage, une mine d'amiante à ciel ouvert, les méandres d'un fleuve couleur argent, les ondes sonores d'un orgue composent les paysages variés où se déroule ce roman.
Histoire d'une vie, Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon est l'un des plus beaux livres de Jean-Paul Dubois. On y découvre un écrivain qu'animent le sens aigu de la fraternité et un sentiment de révolte à l'égard de toutes les formes d'injustice.
Petit-fils de berger pyrénéen, fils d'une correctrice de presse et d'un concessionnaire Simca à Toulouse, Paul Blick est d'abord un enfant de la Ve République. L'histoire de sa vie se confond avec celle d'une France qui crut à de Gaulle après 58 et à Pompidou après 68, s'offrit à Giscard avant de porter Mitterrand au pouvoir, pour se jeter finalement dans les bras de Chirac.
Et Paul, dans tout ça ? Après avoir découvert, comme il se doit, les joies de la différence dans le lit d'une petite Anglaise, il fait de vagues études, devient journaliste sportif et épouse Anna, la fille de son patron. Brillante chef d'entreprise, adepte d'Adam Smith et de la croissance à deux chiffres, celle-ci lui abandonne le terrain domestique. Devenu papa poule, Paul n'en mène pas moins une vie érotique aussi intense que secrète et se passionne pour les arbres, qu'il sait photographier comme personne.
Une vraie série noire – krach boursier, faillite, accident mortel, folie – se chargera d'apporter à cette comédie française un dénouement digne d'une tragédie antique. Jardinier mélancolique, Paul Blick prend discrètement congé, entre son petit-fils bien-aimé et sa fille schizophrène.
Si l'on retrouve ici la plupart des " fondamentaux " de Jean-Paul Dubois – dentistes sadiques, femmes dominatrices, mésalliances et trahisons conjugales, sans parler des indispensables tondeuses à gazon –, on y découvre une construction romanesque dont l'ampleur tranche avec le laconisme de ses autres livres. Cet admirateur de Philip Roth et de John Updike est de retour avec ce roman dont le souffle n'a rien à envier aux grandes sagas familiales, dans une traversée du siècle menée au pas de charge.
" Eh bien moi, vous me verrez tous les jours de la semaine.
– Vous plaisantez, monsieur Tanner. En tout cas, il faut qu'on se mette d'accord : qui est-ce qui va commander ? "
Paul Tanner, documentariste animalier, menait une existence paisible avant d'hériter de la maison familiale. Décidé à la restaurer de fond en comble, il entreprend des travaux. Tandis qu'il s'échine sur les sols, les corps de métier défilent. Maçons déments, couvreurs délinquants, électriciens fous... tous semblent s'être donné le mot pour lui rendre la vie impossible.
Récit véridique d'un chantier, chronique d'un douloureux combat, galerie de portraits terriblement humains, Vous plaisantez, monsieur Tanner se lit comme une comédie. Une comédie menée par un narrateur qui ressemble fort à son auteur.
Paul Katrakilis vit à Miami depuis quelques années. Jamais il n'a connu un tel bonheur. Pourtant, il se sent toujours inadapté au monde. Même la cesta punta, ce sport dont la beauté le transporte et qu'il pratique en professionnel, ne parvient plus à chasserle poids qui pèse sur ses épaules.
Quand le consulat de France l'appelle pour lui annoncer la mort de son père, il se décide enfin à affronter le souvenir d'une famille qu'il a tenté en vain de laisser derrière lui.
Car les Katrakilis n'ont rien de banal: le grand-père, Spyridon, médecin de Staline, a fui autrefois l'URSS avec dans ses bagages une lamelle du cerveau du dictateur; le père, Adrian, médecin lui aussi, est un homme étrange, apparemment insensible; la mère, Anna, et son propre frère ont vécu comme mari et femme dans la grande maison commune. C'est toute une dynastie qui semble, d'une manière ou d'une autre, vouée passionnément à sa propre extinction.
Paul doit maintenant rentrer en France pour vider la demeure. Lorsqu'il tombe sur deux carnets noirs tenus secrètement par son père, il comprend enfin quel sens donner à son héritage.
Avec La Succession, Jean-Paul Dubois nous livre une histoire déchirante où l'évocation nostalgique du bonheur se mêle à la tristesse de la perte. On y retrouve intacts son élégance, son goût pour l'absurde et quelques-unes de ses obsessions.
Un homme sur dix vit sa vie à l'envers. Un homme sur dix a une existence un peu plus compliquée que les autres. Un homme sur dix sait pourtant qu'il n'a pas le choix, puisque les choses ont toujours été ainsi. Alors un homme sur dix se résigne à subir sa condition de gaucher dans un monde de droitiers. Éloge du gaucher n'est pas un manifeste. Seulement la remise en ordre d'idées reçues, la réhabilitation d'un peuple épars, d'une caste discrète. Éloge du gaucher, c'est l'histoire éternelle d'êtres différents, qui ont été marqués par ce onzième commandement : « Écris avec ta jolie main », et qui ont dû s'adapter à un monde créé par et pour les droitiers, où l'on obéit à la priorité à droite, où il est inconvenant de saluer de la main gauche et suspect de se lever du pied gauche. Éloge du gaucher, c'est enfin un gaucher (contrarié) qui vous dit : « Si l'on pouvait vivre à mi-chemin entre ses deux mains, sans jamais avoir à choisir, vieillir serait un jeu d'enfant. » Un homme sur dix devrait lire ce livre.
" Je devrais être mort depuis le mardi 4 janvier 2011. Et pourtant je suis là, chez moi, dans cette maison qui m'est de plus en plus étrangère, assis, seul devant la fenêtre, repensant à une infinité de détails, réfléchissant à toutes ces petites choses méticuleusement assemblées par le hasard et qui, ce jour-là, ont concouru à ma survie. "
Victime d'un terrible – et rarissime – accident d'ascenseur dans une tour de Montréal, Paul Sneijder découvre, en sortant du coma, qu'il en est aussi l'unique rescapé. C'est le début d'une étrange retraite spirituelle qui va le conduire à remettre toute son existence en question. Sa femme, ses fils jumeaux, son travail, tout lui devient peu à peu indifférent. Jusqu'au jour où, à la recherche d'un emploi, il tombe sur la petite annonce qui va peut-être lui sauver la vie.
Ce roman plein de mélancolie est aussi une comédie étincelante. L'auteur d' Une vie française y affirme à nouveau avec éclat son goût pour l'humour noir.
S'il achète un revolver, rend visite à l'amant de sa femme, et finit par mordre sauvagement son dentiste, c'est que Samuel Polaris va mal. Très mal.
A moins que les autres, les gens "normaux" - avec leurs plans de carrière, leurs adultères, leur incompétence arrogante - n'aient basculé dans une sorte de folie collective.
Allez savoir.
Parce qu'il n'a pas le choix, parce qu'il est amoureux de sa femme et qu'il refuse de se résigner au pire. Samuel Polaris décide de reconquérir sa dignité. Même s'il doit, pour cela, voler à son psychiatre la montre que portait Kennedy le jour où il a été assassiné.
Nerveux, caustique, érotique, Kennedy et moi est le miroir où vient se refléter la "contre-vie" contemporaine.
Paul Stern – toulousain, la cinquantaine – hésite. Entre une épouse (Anna) qui s'enfonce dans une profonde dépression et s'éloigne de lui chaque jour davantage et un père (Alexandre) dont le remariage scandaleux lui révèle soudain la vraie nature, il est tenté de tout abandonner. La proposition d'un studio de cinéma tombe à pic : quoi de plus providentiel qu'une année à Hollywood pour réécrire le scénario d'un film français afin d'en tirer un remake ?
Embauché par la Paramount, Paul découvre un univers entièrement factice qui le renvoie à ses propres contradictions. Jusqu'au moment où, dans un couloir des studios, il rencontre Selma Chantz. Et sa vie bascule. Car Selma est le sosie parfait d'Anna, avec trente ans de moins...
Après un détour par le comique ( Vous plaisantez, monsieur Tanner ) et l'inquiétante étrangeté ( Hommes entre eux ), Jean-Paul Dubois a écrit un grand roman sur l'illusion dont chacun de nous est la proie, jetant sur son époque un regard lucide. On y retrouve le souffle romanesque d' Une vie française, et le charme de ses héros, éternels adolescents écartelés entre leur amour de la vie et leur sens aigu de la culpabilité.
« C'est à ce moment-là, je crois, que je décidai de partir pour un voyage dont j'ignorais la destination et la durée. J'étais désargenté, désenchanté. Mais je voulais me replonger dans le courant de la vie, me battre pour ou contre quelque chose, retrouver l'envie du bonheur et le goût de la peur, lutter contre la force des vents, éprouver la chaleur, le froid, casser des cailloux et, s'il le fallait, creuser les flancs de la terre. »
Paul Peremülter est écrivain. À la fin de son treizième livre, déçu par son travail et toute une vie d'homme assis, il entreprend un périple aux États-Unis puis au Québec. Mais ce voyage, qu'il voudrait simplement excentrique, va le conduire au plus profond de lui-même. C'est dans ce monde magique et étouffant qu'il découvrira ce qu'il n'aurait jamais dû savoir.
Paul Hasseelbank et Floyd Paterson n'ont aucune raison de se rencontrer. L'un vit à Toulouse. Il est gravement malade. L'autre habite Northy Bay (Ontario). Il sillonne les grands espaces et chasse à l'arc en solitaire.
Pourtant, à leur insu, quelque chose relie ces deux hommes. Quelque chose, ou plutôt quelqu'un. L'un et l'autre ont aimé la même femme, Anna, qui les a quittés. Dès lors, leur rencontre devient inévitable. Entre Hasselbank, le Français au bout du rouleau, et Paterson, l'homme des bois, une relation violente et subtile se noue. Dans le huis clos d'une maison rouge isolé par le blizzard, au bord d'un lac gelé, ils vont connaître, enfin, leur heure de vérité.
Ces hommes entre eux peuvent-ils survivre dans un monde transformé en désert par la disparition d'une femme ? Hantés par les archers invisibles d' Aguirre ou la Colère de Dieu, ils tentent d'échapper aux flèches que leur réserve le destin.
Porté par la beauté des paysages glacés du Grand Nord canadien, ce roman étincelant nous conduit jusqu'à cette part animale qui gît au fond de chacun d'entre nous, faisant de l'un une proie et de l'autre un chasseur.
À la découverte des plus beaux chats !
Chartreux, Bengal, Persan, Maine Coon, British shorthair... il existe plus de 90 races de chats, aussi fascinantes qu'époustouflantes. Ils ont une allure majestueuse, une démarche impressionnante, un poil unique. Mais que savons-nous de leur mode de vie, de leurs habitudes, de leurs besoins, de ce qu'ils aiment et recherchent chez l'homme ?
Ce livre présente toutes les clés pour bien connaître ces chats, à chaque étape de leur vie, mieux les comprendre pour mieux les aimer.
De la naissance et tout au long de leur vie, découvrez tous les secrets de ces chats d'exception dans un album unique et magnifiquement illustré !
" Je voudrais me laisser aller, ne plus avoir peur, ne pas me préoccuper du jugement des autres. Je voudrais me débarrasser de toute pudeur, de toute réserve, et faire une chose que l'on ne peut espérer raisonnablement accomplir qu'une seule fois durant son existence : dire la vérité. "
Ainsi commence la confession de Paul Klein, mari délaissé, amant fatigué, météorologue désabusé et interné volontaire dans un hôpital psychiatrique de Jérusalem. Dans sa cellule, persuadé d'être la victime d'un complot familial, Klein fouille son passé, évoque les tourments de sa sexualité, l'amour maladroit qu'il a éprouvé pour deux femmes, et sonde la haine sournoise que lui a toujours vouée Simon, son frère jumeau.
Ce double machiavélique a-t-il détruit sa vie ? Une fois de plus, chez Jean-Paul Dubois, les paranoïaques ont raison de se faire du souci.
Trente-trois mille pieds, c'est l'altitude idéale pour réfléchir à sa vie. Dans l'avion qui l'emporte vers Miami, Paul Siegelman s'efforce de retrouver le fil conducteur et remet les chapitres dans l'ordre : la mort de sa mère, les acrobaties financières de son père, ses propres errances d'Ibiza à panama City, ses relations tumultueuses avec les femmes. " Je suis tout petit. Je peux vivre dans un verre à dents ", dira-t-il un jour. Et si c'était vrai ?
Avec ce livre limpide et mystérieux, Jean-Paul Dubois explore nos angoisses les plus familières et fait l'inventaire de quelques passions simples, comme autant de consolations. Dans les parages de Philip Roth et de John Updike, il est l'un des romanciers français les plus singuliers d'aujourd'hui.
On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
C'est le secret que nous confie ce livre, avec bienveillance et douceur. Il faut réapprendre à observer ce qui nous entoure, à écouter les leçons de sagesse prodiguées par la nature. Et quoi de mieux pour cela que d'arrêter un moment le tempo infernal de nos vies et d'entendre ce qu'ont à nous dire les oiseaux ? Par leur mode de vie, leur façon d'être au monde, ces petits " maîtres à penser " nous enseignent un art de vivre plus respectueux de nos rythmes – plus profond aussi.
Ces 22 petites leçons de vie, courtes et simples, nous invitent à retrouver l'être naturel qui dort en nous.
Philippe J. Dubois est ornithologue et écrivain. Sa passion pour les oiseaux remonte à l'enfance. Il a parcouru le monde entier à leur recherche. Il dirige les éditions Delachaux et Niestlé, la plus ancienne maison consacrée aux livres sur la nature.
Diplômée en philosophie et littérature, Élise Rousseau est journaliste et auteur d'ouvrages sur la nature et les animaux. Elle œuvre aussi pour la protection de l'environnement.