Innovation, often tempered by the language of inclusion, has become an indispensable element of contemporary development policy and practice in the so-called Global South. Driven by multinational companies, public-private partnerships and social enterprises, "innovation for development" aims to co-produce social goods (things of value) such as poverty alleviation with associated profit through innovative market-led solutions, opening up untapped and unserved markets in the developing world and exploiting the potential "fortune at the bottom of the pyramid". But innovation for development is a contested notion with the capacity to shelter multiple political agendas.
By reviewing existing academic theory and discussing four in-depth case studies from Bangladesh and India, this book interrogates how innovation for development is being framed, its politics and the impacts it is having on rural communities on the ground. The analysis suggests both an emerging hegemony constructed around a neoliberal, market-led agenda and the existence of countervailing voices that question this framing, sometimes radically so.
Seit einigen Jahren beschäftigt die Automatisierung beliebiger Prozesse und Prozessschritte mit der RPA-Technologie die Finanzwirtschaft. Mittlerweile aus dem Alltag vieler sachbearbeitenden Bereiche nicht mehr wegzudenken. Wie funktioniert die Technologie, wer trägt die Verantwortung und was sind die Risiken eines Einsatzes in der eigenen Bank? Das Buch beantwortet diese und viele verwandte Fragen zu RPA, die sich insbesondere interne und externe Prüfer, aber auch Entscheider stellen. Neben einer Einführung in die Technologie und der Einordnung in einen weitgefassten, strategischen Kontext, wird insbesondere die Thematik der richtigen "Prüfung und Beurteilung" der Technologie diskutiert.
Dans ce numéro d'Histoire Québec, sont mises de l'avant les pratiques de loisir culturel et leur impact dans la province. On y découvre que le loisir occupe paradoxalement une place essentielle. Ce dossier thématique aborde la place et le rôle des sociétés d'histoire mais aussi l'évolution des arts de la marionnette, des chorales, le jeu d'échecs et la collection de céramique. En apparence anodines, ces passions sont pourtant au coeur d'un dynamisme propre au Québec.
En plus de ce dossier, ce numéro souligne les 80 ans de la conférence de Québec, événement majeur de la Seconde Guerre Mondiale. Vous pourrez aussi en apprendre plus sur le développement des remèdes patentés au Québec à travers l'impressionnante collection de l'auteur et sur le développement du pipeline Montréal-Portland à Sutton. Finalement, à travers la chronique Mots d'ici du linguiste Gabriel Martin, découvrez l'origine du terme Estrie et les épineux débats l'entourant.
La France possède un formidable capital territorial : une géographie physique attrayante, mais aussi un équilibre régional remarquable dont peu de pays de taille comparable peuvent se targuer. En trente ans, la célèbre formule « Paris et le désert français » est devenue désuète : les forces centripètes qui faisaient de la capitale un ogre économique sont désormais compensées par des dynamiques centrifuges. Quels sont les facteurs qui ont permis aux territoires de l'ancien « désert » d'affirmer ainsi leur place ? En quoi ce nouvel équilibre est-il un atout majeur pour la France ? Et que faire aussi pour protéger ce capital territorial, mieux, pour qu'il devienne une ressource susceptible d'en attirer de nouvelles ? Mario Polèse est professeur en économie urbaine et régionale à l'Institut national de recherche scientifique à Montréal et titulaire de la chaire de recherche du Canada en études urbaines et régionales. Richard Shearmur est professeur de géographie à la School of Urban Planning de l'Université McGill à Montréal. Laurent Terral est chercheur à l'Institut français des sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux, et rattaché au laboratoire « Ville, Mobilité, Transport » de l'université Paris-Est.
Depuis les travaux fondateurs sur l'enseignement explicite datant des années 1970, de nombreuses méta-analyses ont montré l'efficacité de cette approche qui mise sur un enseignement direct ainsi que sur la clarification et le découpage des stratégies à enseigner, surtout auprès des élèves en difficulté. Couvrant même les comportements à développer pour favoriser l'apprentissage, cette approche est entre autres employée dans l'enseignement de la lecture, de l'écriture, des mathématiques et des sciences.
Le milieu scolaire s'est emparé de la méthode de l'enseignement explicite et l'a proposée aux enseignants en offrant des assises théoriques souvent inégales. Ce flou a provoqué bien des incompréhensions chez les pédagogues. De quoi parlent au juste les chercheurs qui ont tenté de théoriser l'enseignement explicite, une méthode d'enseignement totalement absente du Programme de formation de l'école québécoise en 2000 et introduite depuis dans des documents pédagogiques officiels comme le Référentiel en lecture ou en écriture pour les 10-15 ans du ministère de l'Éducation ? C'est ce que ce livre entend démystifier.
Le présent ouvrage brosse un portrait de l'enseignement explicite et de ses utilisations dans la francophonie. Il fait le point sur différents travaux de recherche et interroge les fondements théoriques de ce modèle d'enseignement afin de juger de son efficacité, ses défis et ses limites.
