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Archipel
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Quand Corinne découvre des pièces de la maison de poupée de son enfance, elle y voit un signe du destin. Mais peu à peu, elle se sent harcelée. Quelqu'un l'observe... qui lui veut du mal. Un suspense vendu à 50 000 exemplaires en Angleterre, " une histoire à glacer le sang qui vous fera douter de vos proches ", ( The Sun). " Une histoire à faire frissonner,
qui vous fera douter de tous les personnages. "
The Sun
Corinne, Londonienne de 34 ans, a déjà eu recours à trois FIV. Mais cette fois, elle en est sure, c'est la bonne. Elle va tomber enceinte. Cette cheminée miniature en terre cuite, qu'elle découvre un matin sur le pas de sa porte, n'est-elle pas un signe du destin ?
Cette cheminée coiffait le toit de la maison de poupée que son père adoré célèbre architecte décédé il y a bientôt un an avait construite pour elle et sa soeur Ashley quand elles étaient enfants.
Bientôt, d'autres éléments de cette maison de poupée font leur apparition : une petite porte bleue sur le clavier de son ordinateur, un minuscule cheval à bascule sur son oreiller...
Corinne prend peur. Qui s'introduit chez elle ? Qui l'espionne ? La même personne qui passe des coups de téléphone anonymes à Ashley ? Y a-t-il encore quelqu'un en qui la jeune femme puisse avoir confiance ? -
De nombreux récits sur la Résistance racontent la vie des réseaux ayant contribué à libérer la France. Plus rares sont les témoignages des " étrangers de l'ombre " qui, au prix des mêmes périls que les résistants français, ont aidé ces derniers à s'approvisionner en armes, en argent et en faux papiers, leur ont prêté main forte lors d'actes de sabotage, ont assuré les communications avec les Alliés et exfiltré les aviateurs dont les appareils étaient tombés en territoire occupé.Ces étrangers - dont nombre de Canadiens francophones - appartenaient au SOE (Special Operations Executive) et au MI9 (le 9e bureau militaire britannique). L'un de ces réseaux, ayant permis de sauver 307 agents et soldats alliés en frôlant cent fois la mort, était mené par l'officier québécois Lucien Dumais, assisté de son compatriote Raymond Labrosse. Son nom ? Le réseau Shelburn.Ce livre raconte l'histoire secrète de ce réseau et des héros qui le composaient, sans qui rien n'aurait été possible. Et réhabilite, ainsi, un pan de l'Histoire crucial et injustement méconnu.
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Histoires vécues du débarquement ; 6 juin 1944 : le matin des Canadiens
Alain Stanké, Jean-louis Morgan
- Archipel
- 1 Juin 2014
- 9782809815047
Ce jour-là, à Juno Beach, ils furent des milliers à perdre la vie. À l'aide de témoignages bouleversants, Alain Stanké et Jean-Louis Morgan racontent l'épopée des fantassins et officiers canadiens mais aussi celle de Normands dont plus de vingt mille furent les victimes " collatérales " des bombardements.Parmi les témoignages, celui de Maurice Tremblay, le premier à soigner le para américain John Steele, resté accroché au clocher de Sainte-Mère-Église ; celui d'une fillette de dix ans (maintenant octogénaire) qui offrit un foulard à son libérateur canadien et qui le retrouva des décennies plus tard. Mais aussi le récit inédit de Charly Forbes, lieutenant d'infanterie qui devint le combattant canadien le plus décoré de la Seconde Guerre mondiale.Documents classés " secrets ", récits de pilotes, redécouverte d'un souterrain par des enfants qui s'y cachèrent, souvenirs d'un couple qui eut l'idée peu banale de se marier un certain 6 juin 1944 côtoient les aventures incroyables d'agents canadiens et québécois du MI9 et de la SOE britanniques.