Filtrer
Langues
Robert Laffont (réédition numérique FeniXX)
-
Le trésor du Tubantia
Peillard Leonce
- Robert Laffont (réédition numérique FeniXX)
- 24 Novembre 2017
- 9782221201107
Dans la nuit du 15 au 16 mars 1916, le paquebot hollandais Tubantia est torpillé et coulé au large d'Ostende par un sous-marin allemand. Banale serait l'histoire de ce « neutre » en route pour l'Amérique du Sud, si ses cales n'avaient contenu des meules de fromage recelant un immense trésor : des lingots d'or allemand d'une valeur de deux millions de livres sterling et, sans doute, une partie du trésor du Kaiser. Pourquoi cette expédition montée en pleine guerre par les services secrets allemands ? Quels sont les ordres, les raisons qui obligèrent le lieutenant de vaisseau Metz, commandant l'Ub 13, à envoyer par le fond ce paquebot et son trésor, un trésor allemand ? Ce trésor, en tout cas, un homme en connaissait l'existence : l'Irlandais O'Donnaigain, agent des services allemands. La paix revenue, il rêva de se l'approprier ; il s'ouvrit de son projet au major Sippé, ancien as de l'aviation anglaise, de passage à Hambourg, et celui-ci, à son tour, au capitaine au long cours Paul Truck, un Dunkerquois. Homme d'action et d'aventures, disposant des moyens nécessaires au renflouement de l'épave, Paul Truck, directeur à la Société maritime nationale, mit tout en oeuvre pour réussir dans son entreprise. Mais d'autres, des Anglais, guignaient aussi le trésor... Cette ténébreuse affaire, Léonce Peillard l'a lui-même vécue ; il a connu les principaux protagonistes ; depuis, il a longuement enquêté en France, en Allemagne, en Hollande, en Angleterre. Aujourd'hui, sans prétendre avoir levé tous les voiles, il nous en donne un récit passionnant, qui ressemble à un roman, plein d'étonnants personnages et où revit toute une époque. Tous ceux qui aiment le mystère, comme tous ceux qui aiment la mer, voudront lire le nouveau livre de l'auteur de « L'affaire du Laconia », de « Coulez le Tirpitz ! » et de « La bataille de l'Atlantique », l'un de nos grands écrivains maritimes.
-
L'Affaire du Laconia
Peillard Leonce
- Robert Laffont (réédition numérique FeniXX)
- Ce jour-là
- 16 Juin 2016
- 9782221179208
Le 12 septembre 1942, à huit heures du soir, le Laconia, vieux paquebot de la "White Cunard Line", se trouvait à 300 milles au sud du cap Palmas, dans l'Atlantique sud. Il regagnait l'Angleterre, venant de Suez, avec trois mille passagers - dont un grand nombre de femmes et d'enfants - à son bord. À huit heures dix, un sous-marin allemand, l'U.156, avec comme commandant Werner Hartenstein, le torpillait et le coulait...
Hartenstein circulait au milieu des épaves, à la recherche du commandant du Laconia, pour le faire prisonnier, lorsqu'il entendit appeler "au secours" en italien. Il repêcha quelques naufragés, et apprit ainsi que le Laconia contenait dans ses cales mille huit cents Italiens faits prisonniers en Libye. Hartenstein recueillit près de deux cents hommes sur son petit sous-marin, et prit les canots en remorque. Affolé par l'ampleur du désastre, par le spectacle de ces femmes et ces enfants nageant la nuit au milieu des requins, il télégraphia à l'Amiral Doenitz : "J'ai coulé Laconia ; malheureusement, 1 800 prisonniers italiens..."
L'état-major de l'Amiral était d'avis de rejeter tout le monde à l'eau. Mais Doenitz lui-même s'y opposa. Mieux, il donna l'ordre - à trois sous-marins allemands et à un sous-marin italien - de rallier le lieu du naufrage. Il demanda aussi aux Français d'envoyer des bâtiments.
L'U.505, l'U.506, le Cappelini, firent aussitôt route vers le point indiqué, tandis qu'à Dakar la Gloire appareillait, que l'Annamite et le Dumont-Durville étaient déroutés.
Cependant que beaucoup de naufragés disparaissaient noyés, blessés, ou tués par les requins, Hartenstein envoyait un message en clair et en anglais aux Alliés, les priant de l'aider dans son sauvetage. L'U.505 et l'U.506 arrivaient, et prenaient à leur bord les naufragés.
Mais, le 16 septembre à midi, un avion, un quadrimoteur, survolait l'U.156 et le bombardait. Le sous-marin, après s'être débarrassé de ses passagers, plongea, avec de graves avaries. L'avion - on le sait aujourd'hui - était un B.24 Liberator américain.
Ce drame, unique dans les annales de la Marine par le nombre des naufragés, et par la nationalité des navires venus au secours des rescapés - allemands, italiens, français - devait avoir des conséquences graves. Furieux, l'Amiral Doenitz devait, en effet, interdire formellement le sauvetage des naufragés de navires torpillés. C'est cet ordre, l'ordre Triton Null, et son appartenance au gouvernement d'Hitler, qui devaient lui valoir, à Nuremberg, dix ans de prison. -
La Bataille de l'Atlantique (1939-1945)
Peillard Leonce
- Robert Laffont (réédition numérique FeniXX)
- 16 Juin 2016
- 9782221179352
Voici, réunis en un seul volume, les deux tomes de « La bataille de l'Atlantique » de Léonce Peillard, parus en 1974. Illustré de cartes, de documents, et de nombreuses photographies, cet ouvrage traduit en allemand et en italien est considéré comme l'ouvrage de référence indispensable sur cet épisode décisif de la Seconde Guerre mondiale.
La mer, les hommes, la guerre : Léonce Peillard a réuni, pour cette magistrale histoire de la bataille de l'Atlantique, tous les éléments du grand drame, qui s'est joué dans l'Océan de 1939 à 1942. De la mer, il a une connaissance personnelle. Les hommes, il les a interrogés, et le grand amiral Dnitz donne une préface à l'ouvrage. La guerre, il l'a étudiée dans des documents inédits, et dans des travaux personnels qui trouvent ici leur couronnement. Car, cette bataille, de 1939 à 1942, est bien le centre des conflits sur mer qui ont décidé - pour une large part - du sort de la Guerre mondiale.
Nous suivons d'abord l'action méthodique - et audacieuse - de la Kriegsmarine. Elle lance un défi à la Royal Navy : avec les U-Boote, les cuirassés de poche qui ne se souvient du Graf Spee ? , les "raiders". Et, de 1939 à 1942, elle gagne, mettant en pièces les convois, isolant l'Angleterre des États-Unis.
Puis, l'histoire tourne. Dès la fin de l'année 1942, les sous-marins de Dnitz deviennent des "loups", traqués par les "chasseurs". La Royal Navy a fourbi ses armes : navires plus rapides, moyens de détection perfectionnés, surveillance aérienne accrue de l'Atlantique. Les U-Boote sont, malgré leur plus grand rayon d'action, tenus en échec. Et les convois passent. La maîtrise de la mer est de nouveau aux mains des Alliés, malgré les efforts et les exploits des marins allemands. Quant aux "raiders" allemands, ils sont écrasés sous les bombes dans les fjords ou les ports où ils se cachent. C'est la fin de la Marine de guerre allemande. -
La bataille de l'Atlantique (1)
Leonce Peillard
- Robert Laffont (réédition numérique FeniXX)
- L'histoire que nous vivons
- 7 Novembre 2017
- 9782221213186
La mer, les hommes, la guerre : Léonce Peillard a réuni, pour cette magistrale histoire de la bataille de l'Atlantique, tous les éléments du grand drame, qui s'est joué dans l'Océan de 1939 à 1942. De la mer, il a une connaissance personnelle. Les hommes, il les a interrogés et le grand-amiral Dnitz donne une préface à l'ouvrage. La guerre, il l'a étudiée dans des documents inédits et dans des travaux personnels qui trouvent ici leur couronnement.
Car, cette bataille de 1939 à 1942 est bien le centre des conflits sur mer, qui ont décidé - pour une large part - du sort de la Guerre mondiale. Nous suivons ici l'action méthodique et audacieuse de la Kriegsmarine. Elle lance un défi à la Royal Navy : avec les U-Boote, les cuirassés de poche qui ne se souvient du Graf Spee ? les « raiders ». Et, de 1939 à 1942, elle gagne, mettant en pièces les convois, isolant l'Angleterre des États-Unis.
Léonce Peillard nous donne à voir les navires, les péripéties de la bataille, les hommes au combat. Vie et précision sont les qualités maîtresses de cet ouvrage, où s'annonce - alors que s'achève l'année 1942 - la revanche implacable des Marines alliées. -
La bataille de l'Atlantique (2)
Leonce Peillard
- Robert Laffont (réédition numérique FeniXX)
- L'histoire que nous vivons
- 7 Novembre 2017
- 9782221214053
La victoire des chasseurs 1942-1945
C'est la revanche des Marines alliées, que Léonce Peillard raconte dans ce second tome de sa magistrale « Bataille de l'Atlantique ».
L'Histoire a tourné. Dès la fin de l'année 1942, les sous-marins de Dnitz deviennent des « loups » traqués par les « chasseurs ». La Royal Navy a fourbi ses armes : navires plus rapides, moyens de détection perfectionnés, surveillance aérienne accrue de l'Atlantique. Les U-Boote sont, malgré leur plus grand rayon d'action, tenus en échec. Et les convois passent. La maîtrise de la mer est de nouveau aux mains des Alliés, malgré les efforts et les exploits des marins allemands. Quant aux « readers » allemands, ils sont écrasés sous les bombes dans les fjords ou les ports où ils se cachent. C'est la fin de la Marine de guerre allemande.
Léonce Peillard a utilisé de nombreux documents inédits. Il raconte, il explique. Le premier volume était préfacé par le grand amiral Karl Dnitz. Celui-ci est précédé d'un texte de l'amiral britannique Sir Peter Gretton. Ainsi, symboliquement, Léonce Peillard a-t-il voulu marquer les deux visages de la bataille de l'Atlantique, épisode décisif de la Deuxième Guerre mondiale. -
Histoire générale de la guerre sous-marine
Leonce Peillard
- Robert Laffont (réédition numérique FeniXX)
- L'histoire que nous vivons
- 26 Avril 2018
- 9782221214473
Entre 1939 et 1945, de la Manche à l'océan Indien, du Pacifique à l'Arctique, opérant seuls ou en « meutes », les sous-marins ont livré bataille. Guerre cruelle, faite de longues veilles, d'angoisses quand éclatent les grenades, de rapides attaques et de tragédies. Jamais on n'avait rassemblé, dans une même étude, tous les aspects de ces affrontements : le livre de Léonce Peillard vient combler cette lacune. Toutes les mers, toutes les flottes, tous les combats, sont évoqués dans son « Histoire générale de la guerre sous-marine (1939-1945) ». Il a puisé sa documentation auprès des hommes qui, durant le second conflit mondial, ont dirigé la bataille ou commandé des unités, et il a consulté les différents documents et archives publiés. Il peut, ainsi, dresser un tableau d'ensemble et apporter des informations inédites - sur les opérations des sous-marins soviétiques ou japonais, par exemple. Mais Léonce Peillard ne se contente pas de nous retracer la guerre sous-marine, il nous la fait vivre : les attaques succèdent aux poursuites ; l'aventure d'un sous-marin anglais, débarquant une personnalité sur les côtes occupées par l'ennemi, précède celle d'un U-Boot traquant un porte-avions allié, ou encore l'action téméraire de marins italiens,plaçant sous la coque de bateaux anglais des charges d'explosifs. L'histoire générale de la guerre sous-marine est donc non seulement une contribution importante à l'histoire de la guerre, mais aussi le récit de combats impitoyables, où apparaissent, quelles que soient les nations auxquelles ils appartiennent, les visages de ces sous-mariniers qui « inlassablement labourent la mer ».