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Philippe Labro
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Paris, 1961. Lucas à Élisabeth : "Pourquoi m'as-tu quitté ?"
New York, 2001. Élisabeth à Lucas : "Qu'es-tu devenu ?"
Avec ce nouveau roman, Philippe Labro signe une traversée vertigineuse des années qui ont précédé le basculement de l'Occident dans le XXIe siècle. C'est une histoire d'amour - un rendez-vous manqué, puis retrouvé - entre un homme et une femme dont les destins s'écrivent entre Paris et New York au rythme d'évènements et de portraits saisissants. -
"Les rencontres sont les cadeaux de la vie."
Entre souvenirs et citations, aveux et sagesse, ce livre offre une plongée dans les mille vies de Philippe Labro qui, au contact de personnages illustres, s'est enrichi de leurs enseignements. On découvre ses passions pour la littérature, la musique, la politique et la nature. Mais aussi les portraits inédits de Hallyday, Gainsbourg, Gary ; les 5 leçons de Churchill ; les mots d'une infirmière ; les glaciers bleus et le tronc d'un aspen ; le frère disparu ; Picasso et Prévert face à la mer ; Belmondo qui meurt dans les bras de Denner ; la tendresse infinie des enfants ; Luchini, Trintignant, Chirac ; les résistantes... C'est comme une rivière qui coule, celle d'une vie. -
Invité par une prestigieuse université de Virginie, un jeune Français découvre émerveillé la vie dorée des college boys, leurs équipes sportives, leur campus dans une vallée paradisiaque. C'est le temps d'une Amérique sage, celle d'avant l'explosion des moeurs et le fracas des années soixante.
Très vite, le jeune homme comprend qu'il reste un "étudiant étranger". Il va franchir des lignes, transgresser des tabous, sans même s'en rendre compte : d'abord en faisant l'amour avec une jeune institutrice noire, April. Ensuite en tombant amoureux d'une héritière de Boston, Elisabeth, personnage fantasque et corrosif...
Sur un ton limpide de sincérité, ce récit de formation ressuscite, avec humour et nostalgie, les jours fragiles de l'adolescence, quand "tout était la première fois". -
'Netka, il y a du slave dans ce nom qui sonne clair. Elle a cinquante pour cent de sang polonais dans ses veines. Il me faudra beaucoup de temps pour identifier la Pologne, chercher la trace du père inconnu, éclaircir les mystères, imaginer l'enfant-valise, la petite fille abandonnée. Elle est, elle était ma mère.'
Philippe Labro. -
« C'est arrivé en douce, subrepticement, sournoisement, sans prévenir, une vraie saloperie, une lente et insidieuse pénétration. Je suis l'esclave d'une chose indéfinissable qui est en train de me détruire et je lui obéis sans aucune résistance... »
La dépression nerveuse : ça peut tomber sur n'importe qui, même sur un homme au sommet de la réussite. Philippe Labro revient de l'enfer. Il le dit. Il dit surtout qu'on peut en sortir, que tout le monde peut remonter la pente. -
Des cornichons au chocolat
Philippe Labro
- JC Lattès
- Romans contemporains
- 24 Janvier 2007
- 9782709631112
Stéphanie a 13 ans, un chat confident nommé Garfunkel, du culot, des problèmes - parmi lesquels ses mauvaises notes à la Ferme (le lycée) et la mésentente de ses parents - un goût discutable pour les sandwiches aux cornichons et au chocolat, une vision dérangeante sur les adultes et un style et une verve inimitables...
En 1983, Philippe Labro avait préféré s'effacer derrière ce texte que lui avait inspiré une personne très proche et présenter Des cornichons au chocolat comme le journal d'une jeune écolière, Stéphanie. Mais aujourd'hui pour que les lecteurs comprennent mieux son cheminement romanesque et l'importance de ce texte qui forme avec Manuela et Franz et Clara, une sorte de trilogie féminine sur l'adolescence et la naissance du sentiment amoureux, Philippe Labro a eu à coeur de se dévoiler en ré-éditant ce texte qui lui est si cher. -
"La maladie qui m'a conduit à la réanimation m'a emmené plus loin que la réa, bien au-delà du cap Horn, dans ce qu'il convient d'appeler une expérience de mort approchée.
Au cours de cette traversée, j'ai vu et entendu toutes sortes de choses. Des monstres, des anges, des paysages et des visages, du vide et du trop-plein, de la compassion, de l'horreur et de l'amour. Aux prises avec un bouleversement constant du temps et de la durée ; quand les jours et les nuits n'avaient plus aucun sens, aucune construction ; lorsque je perdais tout repère ; lorsque je revoyais des moments de ma vie ancienne et de ma vie à venir. Lorsque deux Moi-même s'affrontaient en un dialogue permanent, quand l'un de ces deux Moi disait :
- Tu vas mourir, laisse aller, c'est foutu, tandis que l'autre Moi répliquait :
- Non, bats-toi, il faut vivre." -
""On a tiré sur le Président", c'est la phrase que toute l'Amérique a prononcée le 22 novembre 1963, jour de la mort de JF Kennedy. Je l'ai entendue sur la côte Est des États-Unis où je me trouvais. J'ai filé à New York pour prendre le premier avion pour Dallas. Sur place, j'ai vécu l'événement dans les couloirs du quartier général de la police. J'ai vu Oswald, j'ai rencontré Jack Ruby, la veille du jour où il assassina Oswald. J'ai connu les flics, la presse, la confusion, le Texas, les mystères."
Pour la première fois, Philippe Labro livre son récit authentique et passionnant - accompagné de sa vision de la personnalité de JFK et de sa conviction sur qui a "tiré sur le Président". -
La Villa, à l'écart d'une petite ville du sud-ouest de la France, ressemble, avec son immense jardin, à un paradis où rien ne peut arriver. C'est bien ce qu'avait voulu le père, un homme juste et sage. Voyant approcher la guerre, il avait quitté Paris pour mettre sa jeune femme et leurs sept enfants à l'abri. Mais quand déferlent les années quarante, le malheur atteint les univers les plus protégés. Bientôt, la Villa se peuplera d'étranges jardiniers et cuisinières. Ce sont des hommes, des femmes, des enfants traqués, en danger de mort. Puis les Allemands vont arriver et violer le sanctuaire.
La paix revenue, le père sacrifie repos et confort ; il arrache ses enfants à leur paradis afin de mieux assurer leur avenir.
Cette histoire est vue par un enfant. Il traverse des tragédies et rencontre des solitudes, il connaît l'enchantement de la découverte de la vie, la nature. Jamais le petit garçon n'oubliera l'imposante figure de ce père au passé mystérieux ; cette mère qui semble une grande soeur ; Dora la juive allemande qui feint d'être muette ; Sam, le jeune prof aux manières insolites ; et les jambes gainées de soie de la jolie Madame Blèze...
Sur le même ton limpide de sincérité, l'auteur de L'étudiant étranger nous livre son portrait de la province, sa vision de la famille, le tableau nostalgique d'une enfance qui a peut-être été la sienne. -
'Rien ne vous prépare à l'Ouest', dit le narrateur, l'étudiant étranger de Philippe Labro, parti travailler tout un été dans les montagnes du Colorado. Pour atteindre ce territoire irréel et sauvage, il est d'abord confronté au peuple de la 'route'. Il rencontre Amy, la fille Clarke, aux cheveux fous, qui exhalent des senteurs de fleurs séchées - la liberté même. Il vivra avec elle un grand amour, fulgurant, dont le souvenir ne cessera de le hanter. Dans l'Ouest, c'est un autre monde, celui d'hommes porteurs de mystère : Bill, colosse impénétrable, recherché par d'étranges motards; Dick, et son regard insensé de cascadeur; Mack, qui l'initie aux secrets de la forêt. Au terme de cette aventure initiatique, qu'est devenu le jeune homme ignorant, apeuré, assoiffé de vivre et de savoir qui se faisait appeler Frenchy ?
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'Le sage doit rechercher le point de départ de tout désordre. Où? Tout commence par le manque d'amour.'
(Mo-tzu, philosophe chinois)
Trois destins parallèles s'entrecroisent, trois vies dont le seul point commun est le manque d'amour : Maria, une jeune orpheline californienne d'une beauté rare, Caroline, une Parisienne trentenaire, enfin Marcus Marcus, célébrité de la télévision, mégalo et parano. Autour d'eux, vont graviter toutes sortes de gens : la femme de l'ambassadeur américain en France, une intraitable executive woman, un détective privé, une coach sans scrupule, des loups et des agneaux...
Philippe Labro nous offre, de San Francisco jusqu'aux cercles de pouvoir parisien, une ronde étourdissante. Pour dresser de manière drôle, critique et profondément attachante, un portrait captivant de nos contemporains. -
Sur un paquebot qui va vers l'Amérique, un jeune homme rencontre une femme qui lui fait perdre toute innocence.
Dans un bistrot, un inconnu vient me dire : 'Je vous ai eu dans ma ligne de mire, en Algérie.'
C'est parce qu'il avait froid, dans une briqueterie en Hongrie, que mon voisin, quant il était petit enfant, a échappé à Auschwitz.
Par trois fois, le 'flûtiste invisible', qu'on peut appeler le hasard - ou la main de Dieu -, fait basculer des existences. Pourquoi ? C'est toute la question de ce roman.
Philippe Labro. -
Voici l'histoire d'un Américain.
Comme les cadavres que l'on découvre vite après les crimes, cette histoire est encore toute chaude. Aussi, la vie de cet Américain se raconte-t-elle par secousses. Il n'y a pas si longtemps, son corps tremblait, son coeur battait, son sang sautait.
Pour certains d'entre les vivants, il n'est pas mort. Il tressaute encore, il tressaille toujours. Voici l'histoire de sa vie : l'enregistrement des spasmes d'Al Capone. -
Toute une génération qui fut romantique sans le savoir s'est reconnue dans ce portrait. Celui des hommes qui eurent vingt ans au moment de la guerre d'Algérie, entre 1950 et 1960. Découvrant la violence et la mort, mais aussi la beauté d'Alger sous le soleil, la magie des plages nues, obsédés par l'adolescence perdue, hantés par le mythe du cinéma américain, confrontés avec la torture, ils deviennent bientôt des adultes, c'est-à-dire qu'ils perdent leur innocence, s'ils gardent leurs nostalgies.
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Le "petit garçon" a grandi. Lycéen à Paris, il a quinze ans. C'est l'âge de la solitude, des rêves, de l'attente. Un inconnu, Alexandre, entre alors dans sa vie. Le charme slave, la grâce, l'élégance font de lui un être à part. Alexandre a une soeur. Et peut-être le merveilleux jeune homme n'est-il qu'une pâle copie de cette Anna, beauté fantasque et secrète, dont l'innocent narrateur va tomber totalement amoureux...
Cette histoire tendre et cruelle se passe au début des années cinquante. Elle est à la fois le roman d'un premier amour, et la chronique exacte d'une époque où les jeunes n'avaient pas de droits, pas de moyens, où la guerre froide allait aboutir à la guerre de Corée - quand le verbe aimer avait tout son sens, quand l'air de cithare du Troisième homme résonnait dans un univers sans télé, sans pilule, sans vitesse...
On se prend à envier ces adolescents dont les tumultes sentimentaux se déroulent entre le square Lamartine et la place du Trocadéro, qu'ils traversent parfois pour aller au Palais de Chaillot, écouter, sans comprendre la chance qui leur est donnée, le grand, l'unique Wilhelm Kempff.
Humour, nostalgie, émotion et violences des premières expériences, on retrouve, dans ces dialogues, scènes et portraits, le ton de sincérité de l'auteur de L'étudiant étranger. -
Le style Kennedy ou La 'sablité'
John Fitzgerald Kennedy où De l'injustice de la vie
Patrick Modiano ou Le jeune homme beige
Woody Allen ou Le cousin
Romain Gary ou Un dîner chez Lipp
Ernest Hemingway ou Les tables de la loi
André Malraux ou L'odeur du siècle
Jean-Luc Godard ou Jean-Luc
Jean-Pierre Melville ou S'avancer masqué
Jack Nicholson ou Quelque chose en plus
Jean-Paul Goude ou L'ornithorynque ébahi
François Mitterrand ou 'Une journée, c'est court. Une vie aussi'
Jean-Jacques Goldman ou 'Banalité préoccupante'
Katharine Graham ou Son ignorance était sa forme
Michel Platini ou L'art d'anticiper
Michel Rocard aux commandes de son planeur
Pierre Lazareff ou 'J'aime aussi les cons'
Francis Fukuyama ou L'inconnu qui croyait avoir raison
Jean-Patrick Manchette ou L'agoraphobe du XIIe arrondissement
Coupe du monde de rugby ou La solitude du trois-quarts aile à l'instant du plaquage
Dominique de Villepin/Olivier Schrameck ou Le Hussard et l'Horloger -
Le lecteur l'a connu petit garçon, lycéen, étudiant étranger, et bûcheron, l'espace d'un été, dans le rude Colorado. Le cycle s'achève avec ce roman, où le héros découvre à Paris un univers encore plus difficile d'accès : celui de la presse.
C'est le temps de la Nouvelle Vague du cinéma, des jeunes écrivains insolents ; l'avènement d'un monde mélangé, que traversent starlettes et bourgeoises équivoques, baroudeurs et parasites, voyous et futures célébrités. Notre débutant est d'autant plus anxieux de percer les mystères de Paris qu'une menace pèse sur lui : c'est la guerre d'Algérie, et son sursis peut être révoqué d'un jour à l'autre.
Les portraits et les scènes foisonnent dans cette fresque dressée à vive allure, ce panorama d'une ville fascinante et d'une profession qui ne l'est pas moins. Attendri mais jamais dupe, Philippe Labro se fait aussi historien d'une époque, quand la vie paraissait facile, à vingt ans, à la veille des années soixante. -
"Qui ne cherche pas ne vit pas. Le chemin est plus important que le but. Santos-Montané l'a dit : "Tu ne réussiras ta vie que si elle est guidée par une recherche personnelle".
Pour moi, maintenant, alors que le pick-up conduit par Larry Luke, le métayer, m'emmène enfin au ranch dans le comté de Ouray, au pied des forêts et des montagnes, j'ose m'intituler "chercheur de bleu".
Chercheur de bleu, la belle expression. N'es-tu donc que cela, petit homme, et n'as-tu, toute ta vie, couru après cette couleur, c'est-à-dire cette sérénité et ce refuge ? Le bleu, tu l'as rencontré sous beaucoup de latitudes, en chaque endroit et chaque moment de ton activité incessante. Mais n'es-tu pas aussi, comme tout autre homme, chercheur de Dieu ? Le bleu, n'est-ce pas la couleur du surnaturel ?" -
Pourquoi Henry Lescrabes, dernier grand patron de la presse française, rappelle-t-il de toute urgence, de l'autre bout du monde, son enquêteur préféré, Drifter ?
Avant de chavirer dans la mort, le patron lance le héros sur une piste : l'affaire Jason Villaï, ce chanteur célèbre passé par la fenêtre d'un gratte-ciel du front de Seine dans des circonstances douteuses. Quel message cache cette mission confiée in extremis comme un testament ?
Tour à tour l'enquête sera suivie, scrutée par Drifter et par une femme qui l'aime sans espoir de retour, Andréa, lucide et désabusée. Tous deux vont connaître les malédictions de notre 'civilisation' : sexe, argent, égoïsme, appétit de puissance, à travers les coulisses de cette fin de siècle. -
"Je n'écris que cela, des banalités. En fait, je suis nulle. Toutes mes amies me disent que je suis géniale et belle et sympa et positive, et mes parents disent la même chose et tout le monde me croit formidablement sûre de moi, si seulement ils savaient à quel point je me trouve nulle. J'ai tout faux. Je suis encore vierge, 9/10 (ou plutôt 10/10) de mes amies ne le sont plus depuis longtemps, elles ont toutes plus ou moins un garçon dans leur vie, et moi rien. Plaignez, plaignez la pauvre petite poule sans amour, la gentille fille de bon aloi qui ignore ce que l'amour physique veut dire, le bébé à l'enveloppe de femme qui a les chevilles trop épaisses, les hanches trop larges, un nez trop épaté, une oreille qui dit bonjour à l'autre, des fossettes trop hautes et un menton trop pointu, et qui marche en faisant des mouvements comme les bateaux qui tanguent dans le port lorsqu'il y a de la houle."
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"ce n'est qu'un début" ; mai 68 tel que le racontait Philippe Labro
Philippe Labro
- JC Lattès
- Essais et documents
- 2 Mai 2018
- 9782709662765
Publié à chaud en juillet 1968, Ce n'est qu'un début est le premier dossier complet des jours de mai qui ébranlèrent la France. Philippe Labro, Michèle Manceaux, 10 journalistes d'Édition Spéciale - la maison créée par Jean-Claude Lattès il y a juste 50 ans - ont suivi les événements jour après jour, heure après heure. Ils étaient à Nanterre, à la Sorbonne, derrière les barricades, au Ministère de l'Intérieur. Ils décrivent et font parler les leaders des étudiants de Daniel Cohn-Bendit à Alain Geismar, les hommes du 22 mars, les pro-chinois, les Katangais, les CRS, les ouvriers de Billancourt ...
Un document exceptionnel sur les quelques jours qui ont transformé notre pays à jamais. -
«Ton regard, aussi bien celui du romancier que celui du journaliste, sur tout sujet qui t'intéresse, chaque semaine. Tu as 7 500 signes pour le faire. Tel est le contrat. Un signe, c'est aussi bien une virgule, un blanc entre deux mots, qu'un guillemet ou un point d'exclamation, et, naturellement, des lettres qui forment des mots, lesquels traduisent une pensée ou proposent une image.
On prend des notes, on interroge, on fouille des archives, on consulte plusieurs ouvrages, on e-maile à des correspodants (amis et contacts aux États-Unis, en province, en Asie), on rencontre tel ou telle, on voyage. La plupart du temps, on dépasse le compte : 9 000, voire 10 000 signes. Alors, on rabote, on essaie de conserver ce que l'on croit être l'essence même d'un papier, et on n'oublie pas la phrase qu'un vieux routier prononça à l'adresse du grand écrivain Tom Wolfe, lorsqu'il faisait ses débuts dans la presse du New York des années 60 : Arrête-toi quand ça devient emmerdant.
En vérité, pour bien exercer ce métier, il ne faut jamais être emmerdant. Jamais.» -
« Pour moi, l'âge n'a aucune importance. Depuis la nuit des temps, les hommes et les femmes s'aiment d'amour, quelle que soit la différence. »
Philippe Labro
Classicisme pur de l'écriture, romantisme très moderne du sujet, suspense psychologique constant, densité humaine des protagonistes : par les moyens les plus surprenants, dans une veine entièrement renouvelée, Philippe Labro explore les facettes les plus secrètes et les plus troublantes du sentiment amoureux. Et nous captive là où on ne l'attendait pas. -
Tous célèbres
Philippe Labro
- Denoël (réédition numérique FeniXX)
- Le Poids des mots
- 25 Janvier 2019
- 9782207145876
Qu'y a-t-il de commun entre John Wayne, Bjorg, Carter, Jacques Brel et Yvonne de Gaulle ? Tous, "Monstres sacrés" de notre époque, ont été promus à la une du plus grand hebdomadaire français, Paris-Match, dans la chaleur de l'actualité. Qu'en reste-t-il après le coup de projecteur ? C'est dans cette deuxième lecture que nous entraîne Philippe Labro dont le regard sur son époque trace les contours du narcissisme, de la vanité, des poussières de la gloire...