Quelle est la nature polymorphe, rebelle à toute délimitation, et donc proprement étonnante, du sublime ? En quoi consiste sa véhémence, sa force dynamique et dangereuse ? Comment expliquer les paradoxes de la sidération ou du plaisir négatif que son sentiment, sa passion ou même sa crise, engendrent chez tous ceux qui en font, moins l'expérience que l'épreuve ? Telles sont les trois principales questions que l'ouvrage entend poser dans l'inspiration des travaux de Baldine Saint Girons et de son livre Fiat Lux. Une philosophie du sublime (1993).
Avec le soutien de l'École nationale supérieure d'architecture Paris Val de Seine, du CERILAC EA4410 (Centre d'études et de recherches interdisciplinaires de l'UFR Lettres, arts et cinéma) de l'université Paris Diderot (Paris 7) et l'équipe d'accueil HCA (Histoire et critique des arts) de l'université Rennes 2.
Céline Flécheux est maître de conférences en esthétique à l'université Paris Diderot ; Pierre-Henry Frangne est professeur de philosophie de l'art à l'université Rennes 2 ; Didier Laroque est professeur en théorie et pratique de l'architecture à l'École nationale supérieure d'architecture de Paris Val de Seine.
"L'enregistrement affectera l'auditeur vers lequel finalement toute cette activité est dirigée." Ce sont ces changements, promis par Glenn Gould en 1966, que cet ouvrage repère et analyse. Musicologue, ethnomusicologue, historien des arts contemporains et des techniques d'enregistrement, producteur de disques, ingénieur du son, directeur artistique, musicien, théoricien du cinéma et philosophe, tous tendent l'oreille dans ce livre au monde sonore, musical et cinématographique contemporain.
Le livre explore à la fois la théorie mallarméenne de la musique, sa mise en pratique poétique, et les compositeurs qui mirent Mallarmé en musique : principalement Debussy, puis Boulez qui en fit le coeur de son entreprise.