Dans ces nouvelles où se mêlent réalisme et fantastique, Marie Rouanet, comme à son habitude, saisit ce qui autour d'elle semble le plus mince, le plus fugitif, le plus ténu, hommes, enfants, animaux. Elle crée un univers complexe et quotidien, serein et inquiétant.
Dans un magasin d'antiquités, les personnages d'une même famille se meuvent. L'auteur pose sur cet univers clos un regard d'entomologiste, et nous révèle les drames du quotidien.
Les fragments qui forment ce petit ouvrage ont été classés par l'auteur selon un ordre assez contestable, sans rapport aucun avec la chronologie de leur rédaction. Sans doute réprouvera-t-on une telle négligence et un manque de soin si ostensible ; on reprochera peut-être à l'auteur la désinvolture avec laquelle, sous le couvert de singer le Hasard, il a rassemblé des évocations et des souvenirs qui n'ont de commun que leur occurrence dans la partie nord du seizième arrondissement. Il est clair qu'il ne s'agissait pas, for him, de réaliser un quelconque Baedeker de Chaillot et de Passy, encore moins de faire l'exacte revue de tout ce qu'on peut y voir, mais plutôt d'inviter le lecteur à faire en sa compagnie une manière de promenade - une petite excursion dans l'espace et le temps.
Les fragments qui forment ce petit ouvrage ont été classés par l'auteur selon un ordre assez contestable, sans rapport aucun avec la chronologie de leur rédaction. Sans doute réprouvera-t-on une telle négligence et un manque de soin si ostensible ; on reprochera peut-être à l'auteur la désinvolture avec laquelle, sous le couvert de singer le Hasard, il a rassemblé des évocations et des souvenirs qui n'ont de commun que leur occurrence dans la partie nord du seizième arrondissement. Il est clair qu'il ne s'agissait pas, for him, de réaliser un quelconque Baedeker de Chaillot et de Passy, encore moins de faire l'exacte revue de tout ce qu'on peut y voir, mais plutôt d'inviter le lecteur à faire en sa compagnie une manière de promenade - une petite excursion dans l'espace et le temps.
S'il fallait un jour distiller l'esprit de la corrida, c'est peut-être ça qui resterait : des moments qui se suivent et qui ne se ressemblent pas forcément. A la réflexion, qui ne se ressemblent jamais. François Zumbiehl, qui naguère sut faire parler des toreros illustres, arrive ici à rendre les instants éloquents, instants de drame ou de triomphe, instants de transfiguration, qui en apprennent plus sur le monde de la tauromachie que le mieux documenté des traités techniques. Les croquis qu'il propose ici, levés comme à la sanguine, à la taurine, tracent un itinéraire en douce dans ce qu'il est convenu d'appeler "la Planète des toros". Dans ce voyage à la géographie plaisante, précise, tous les lecteurs, les connaisseurs, les amateurs et les autres, trouveront leur voie.
S'il fallait un jour distiller l'esprit de la corrida, c'est peut-être ça qui resterait : des moments qui se suivent et qui ne se ressemblent pas forcément. A la réflexion, qui ne se ressemblent jamais. François Zumbiehl, qui naguère sut faire parler des toreros illustres, arrive ici à rendre les instants éloquents, instants de drame ou de triomphe, instants de transfiguration, qui en apprennent plus sur le monde de la tauromachie que le mieux documenté des traités techniques. Les croquis qu'il propose ici, levés comme à la sanguine, à la taurine, tracent un itinéraire en douce dans ce qu'il est convenu d'appeler "la Planète des toros". Dans ce voyage à la géographie plaisante, précise, tous les lecteurs, les connaisseurs, les amateurs et les autres, trouveront leur voie.
Bien que ses collègues séraphins et archanges le charrient souvent sur ses origines (il est née sur Terre), et que ses frères humains s'étonnent qu'un familier du ciel n'en rapporte que des nouvelles équivoques ou consternantes, Marcel Cogito insiste, reprend ses aventures où elle l'avaient laissé : dans la nature languedocienne, dont il hante les friches, les prés salés, les escarpements ; en ville, où il passe dégourdir son néant, prendre le pouls de l'art, tester la coexistence réelle ; chez lui enfin, où il dort, prie et meurt.
Une suite de brèves nouvelles, cruelles et graves, par l'auteur de $$Nous, les filles$$ (Payot, 1990).
Ce qui aurait pu être un séjour idyllique et conventionnel d'un couple adultère en week-end dans une ferme en Sologne se détraque et glisse de moments contrariés et ratés en un épouvantable cauchemar.
Noël Tuot est-il un poète iconoclaste et véhément, blasphémateur ?
Une femme, seule, parle, ne cesse de parler, des petites joies, des petits maux de la vie courante.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.