Le féminisme est à la mode. Par l'intermédiaire de vedettes affichant fièrement leurs couleurs ou encore par le biais du mouvement «#AgressionNonDénoncée», il s'impose à nouveau dans l'espace public et médiatique. Mais ces deux phénomènes répondent-ils de la même logique ? Entre la démocratisation longtemps souhaitée de la pensée féministe et sa simple récupération marchande, il persiste une tension difficile à désamorcer.
Le féminisme est à la mode. Par l'intermédiaire de vedettes affichant fièrement leurs couleurs ou encore par le biais du mouvement «#AgressionNonDénoncée», il s'impose à nouveau dans l'espace public et médiatique. Mais ces deux phénomènes répondent-ils de la même logique ? Entre la démocratisation longtemps souhaitée de la pensée féministe et sa simple récupération marchande, il persiste une tension difficile à désamorcer.
Considéré dans ce mode d'emploi pour retrouver une maitrise de notre temps: Nos horaires surchargés. Le désir de «vivre à fond». Hartmut Rosa et l'accélération généralisée. L'humilité dont il faudra faire preuve. L'amitié, les bibliothèques publiques et le bungee. La résistance collective.
En nous penchant sur la notion de qualité de vie sous l'angle collectif autant qu'individuel, nous regardons ses coutures historiques, politiques et sociologiques, et nous nous autorisons à rêver à ce qu'elle devrait être.
Il sera question de décélération, de saillies de trottoir, de villes durables et d'architecture, d'inventions inutiles, de nécessaires évasions de la réalité et de bien d'autres choses encore.
Pour le dossier «Le Québec conscient», Aurélie Lanctôt, chroniqueuse et rédactrice en chef de la revue Liberté, interroge notre système éducatif.
Dans cette rubrique, nous brossons le portrait d'une personne qui oeuvre à bâtir le Québec nouveau.