Le livre de Patrick Zylberman met en lumière le paradoxe du vaccin : quand il fait défaut, sa nécessité est évidente parce que les gens meurent ; quand on en dispose, certains en ont plus peur que de la maladie dont il protège, et partent en croisade... contre la vaccination. Si la variole a disparu...
À l'Ouest, du nouveau. Fin septembre 2005, le coordinateur pour la lutte contre la grippe aviaire et humaine à Genève prédisait de 2 à 150 millions de morts dans le monde lors d'une prochaine pandémie, 'comme en 1918!' tenait-il à préciser. Assurément, un nouveau spectre hante le monde transatlant...