bernard anton
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À travers l'extase du couple, chacun se révèle à l'autre
source manifeste d'éveil / pont vers / le centre profond de
l'univers / fontaine accessible aux merveilles / rappel de la
continuelle / expérience interne / de l'éternel. Expérience
mystique de l'être qui opère à travers l'expérience amoureuse, à travers le corps-poème. Ces textes haletants, où s'entremêlent raison et passion, racontent, avec silences et subtilités, une histoire d'amour de sa naissance à sa floraison. -
Le livre-CD Slams de l'Âme regroupe vingt-six slams, dont vingt enregistrés et accompagnés d'une musique originale. Parole fondamentalement rythmée et rimée, le slam devient chez l'auteur un médium privilégié pour contester les injustices et les absurdités, pour réinterroger nos relations et conditions de vie au quotidien. Amour, environnement, actualité : BEN traite ces thèmes avec des mots de liberté et de révolte, proclamés et percutants.
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Ce recueil de slams traite de l'amour, de la mort, de l'environnement, de l'art de vivre, de la joie de vivre. Ici, les objets apparemment inanimés (comme la poésie, les mots, l'arbre, l'eau) parlent, bougent, discutent. Ces slams sombres ramènent à l'essentiel, chantent les hardiesses de l'âme, la justesse des intuitions fortes qui montent. Le titre Slams polygames illustre le libre mariage de ce nouveau genre littéraire avec toutes les cultures, tendances, langues, nations, générations.
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Osez le biopardon : pour votre mieux-etre
Bernard Anton
- Les Éditions Crescendo!
- Santé Bien-Être
- 14 Septembre 2016
- 9782923860992
Pourquoi un livre sur le pardon et même le Biopardon md ?
Pourquoi réfléchir sur ce geste ardu, utopique, voire impopulaire, antithétique à
notre société d'aujourd'hui ? Pourquoi pardonner ? A-t-on besoin de pardon ? Y a-t-il un lien entre le pardon et la santé du sujet pardonné ou pardonnant ? Le pardon
peut-il vraiment guérir et de quoi ? Quelle différence le pardon peut-il amener dans
notre vie ? Quel en serait le modus operandi ? La nécessité d'une telle réflexion s'impose, vu l'importance du sujet et le manque de compréhension d'un tel don et de ses effets.
Avec un langage accessible et un esprit d'ouverture, l'auteur revisite, dans le
premier chapitre, les composantes du pardon; les différentes traditions spirituelles dans le deuxième; quelques pratiques psychothérapeutiques actuelles qui prônent ses avantages dans le troisième et six extraits bibliques qui élucident cette thématique dans le quatrième. La cure de pardon se révèle, à la lumière de ce parcours, un besoin ontologique, une aspiration qui émane de la nature humaine aux prises avec sa conscience et sa relation avec soi et 'autre. Le sujet y recourt, depuis la nuit des temps, afin de retrouver l'harmonie et la santé intégrale. Vécu sincèrement, ce geste acquiert un grand pouvoir. Et l'individu et la communauté en sortent transformés. Un livre à lire absolument pour comprendre et redécouvrir la dynamique du Biopardon md qui vise le mieux-être.
Au terme de cette réflexion, l'auteur aboutit au concept de Biopardon md, méthode humaniste et transpersonnelle d'approche en relation d'aide. Ce système
d'intervention est présenté en détail. Suivent en annexe des feuilles de route et
des exercices pratiques qui illustrent son mode opératoire. -
Ces paroles de nacre vont jusqu'à la limite d'elles-mêmes, interrogent le mal, la mort, et cherchent, derrière le chaos, les racines de la paix et de l'amour.
Le verbe ici est imagé, lumineux, riche en émotion, d'une désarmante et complexe transparence et simplicité.
De l'ensemble de ces pages aux écorchures vives se dégagent, avec un style concis, lapidaire, le désir d'un monde meilleur et un appel à la fraternité universelle.
La dernière suite poétique de ce recueil rend un vibrant hommage à l'apport exceptionnel de l'oeuvre de Brigitte Bardot qui enseigne « aux analphabètes de la douceur / l'éclatant cadeau de / vivre libre ». -
La lettre du vieux et sage Arjuna, adressée à Dieu, décrit les crises, scandales et dérives de l'institution Église dont la posture, devenue si inconfortable et alarmante, déclenche un débat houleux dans plusieurs sociétés. L'auteur examine, sans complaisance, cette conjoncture brûlante d'actualité et propose des pistes d'actions innovantes.
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Tant que vie nous habite
Bernard Anton
- Éditions Marcel Broquet
- La Mandragore
- 4 Mai 2020
- 9782897264420
Basées sur des faits réels et peignant des archétypes humains fascinants, ces nouvelles décrivent l'univers intimiste de personnages qui se débattent avec les ennuis et surprises de chaque jour. Leur
courage de vivre ou de survivre séduit, nonobstant les événements contrariants, et nous rappelle à nous-mêmes.
Avec un souci du détail et une plume légère, fluide, ces pages interrogent différentes facettes de notre société. Elles révèlent qu'une part de lumière investit le quotidien et l'empêche de s'enliser dans le noir, en dépit de l'omniprésence de la mort et de la racine du mal difficile à arracher.
Tant que Vie, personnage à la fois Impérieux et fragile, nous habite, elle nous propulse vers des expériences et des horizons parfois palpitants, où se côtoient réel et merveilleux, ordinaire et inattendu, plaisir et déplaisir, amour et aversion.
Le réalisme poétique et la dose optimale d'humanité de ces épisodes de vie saisissent les mouvements subtils des labyrinthes de l'âme, la dimension transcendante, souvent cachée, qui conduit à l'éveil. -
Ecrire le drame planétaire de la COVID-19 qui marquera l'histoire contemporaine est un défi de taille. En effet, comment illustrer la révolte, la précarité, voire l'impuissance qui nous transpercent dans ces circonstances ? Ces traces tangibles saisissent des émotions vécues à brûle-pourpoint au quotidien. Elles portent à bout de bras une lecture anthropologique des affres d'un continuum jalonné de surprises et de désolation. Elles ouvrent les fenêtres dans le noir et nous aident à appréhender l'aporie de la condition humaine souffrante.
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Célébrades est un recueil d'éclats poétiques qui célèbrent l'immortelle Brigitte Bardot à qui nous devons notre « délivrance » et « liberté colorée ». Des poèmes courts, à la japonaise, lui rendent un vibrant hommage. L'une de ces stances chante « intrépide au pinacle / l'aigle dans sa gloire n'a pu / monter plus haut ». Regroupées autour de cinq autres thèmes, soit l'hiver, l'amour, la nature, le quotidien, les voyages, ces pages saisissent la beauté instantanée et l'âme des choses. L'émerveillement et l'observation lapidaire en constituent la trame commune. Le suffixe -ade qui indique l'action, ajouté aux titres, les met en mouvement et dynamise leur portée significative.
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La guerre en direct de l'Ukraine a ébranlé le monde entier. Un mouvement universel de solidarité et de compassion s'est formé instantanément pour soutenir la résistance légitime de ce pays et dénoncer les crimes contre l'humanité. Les poèmes courts de Bernard Anton suivent cette mouvance. Ils décrivent d'une façon concise et lapidaire des scènes déchirantes. Ces haïkus, écrits dans la spontanéité, transmettent l'expérience de moments vécus en pleine conscience. Entourés de silence et portés par le silence, ces pages qui traitent de la souffrance d'un peuple et du mal viscéral, - aussi de la liberté et de l'amour dans d'autres parties rédigées antérieurement - témoignent d'une écoute et d'une communion intenses. Ils transposent l'indicible, l'énergie soutenue de l'instant présent.
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Éva cherche à se détacher des illusions du monde. Violette se dévoue et prête main-forte à une amie. Gustave rêve d'une vie de couple harmonieuse avant de mourir. Un automobiliste survit à une tempête et à l'injustice. Un voyageur épicurien est témoin de scènes abracadabrantes. Mike serait vilipendé à cause de son succès. Un observateur-né passe en revue ses voisins la veille de son déménagement. Amoureuse de poésie, Jeanne va jusqu'au bout de sa loyauté.Broyés par les épreuves, ces personnages, inspirés de la vie réelle, conservent malgré tout leur dignité. Ils grandiront grâce souvent à un moment d'éclaircie.Le lecteur est entraîné, au fil des pages, dans des récits coups-de-poing qui décapent les drames des rapports conflictuels. Il finit par mieux comprendre les percées parfois lumineuses du quotidien. Une sagesse s'en dégage et lui en apprend davantage sur les hauts et les bas de la condition humaine telle qu'elle existe aujourd'hui.
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Le poète dénonce ici la violence et réfléchit sur l'ampleur inouïe du mal en décrivant un pays ébranlé par des bombardements et des atrocités quotidiennes. De quel droit ravager une nation pacifique et raser tout sur son passage, y compris l'humain ? Une telle invasion génocidaire, basée sur le mensonge, peut-elle se produire dans notre société qui se prétend civilisée et régie par des droits internationaux ? Après Lauriers pour l'Ukraine, les haïkus dans Anathema sur l'usurpateur évoquent l'exacerbation et l'indignation devant des crimes de guerre et d'agression continus. Le terme « anathema », selon l'étymologie grecque, signifie « colère des dieux ». Une postface résume le fil de l'actualité de cette guerre horrible.
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Slam et poésie se rencontrent dans ce recueil. Le cri d'urgence et la spontanéité engagée de l'un complètent la rigueur et la littérarité épurée de l'autre. Ces textes témoignent d'une vive prise de conscience et prônent, malgré les noirs désordres, voire désastres, une relation harmonieuse avec soi, l'autre et l'univers. Par un regard lumineux et scrutateur, Bernard Anton saisit avec des images limpides la poésie et l'émotion cachées derrière les choses et les mots.
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L'auteur exprime ici les joies et les drames du quotidien. Ces réflexions sociales, environnementales, factuelles, existentielles, parfois tragiques ou humoristiques sont présentées avec art et profondeur, avec poésie et fraîcheur. Sa pensée étonne par la justesse et l'actualité de ses propos. Ces délires en slam abordent des thèmes comme l'amour, la mort, la justice, le bien-être, l'environnement. Ce langage poétique et universel, souvent sensuel, apparenté à l'oral, est d'une rare transparence.
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Après Lauriers pour l'Ukraine et Anathema sur l'usurpateur, Bernard Anton complète sa trilogie avec une tragi-comédie présentant, sous un angle inédit, l'absurdité horrible d'une guerre qui ravage injustement un pays pacifique.
Une gamme d'émotions spectaculaires défile et secoue le lecteur. Des trente-deux tableaux poignants, reliés par un fil conducteur subtil, émerge un appel à la paix et au bonheur. Une parole libérée et libératrice défie le despotisme.
Les bribes d'humour et de poésie de cette pièce de théâtre allègent le propos dramatique et donnent à mieux comprendre les enjeux d'une hécatombe inouïe.
Le titre Déconfiture des escobars désigne l'échec des menteurs et des hypocrites qui justifient indûment leurs méfaits et tournent les événements malencontreux à leur avantage.