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Les Impliqués
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La lettre du vieux et sage Arjuna, adressée à Dieu, décrit les crises, scandales et dérives de l'institution Église dont la posture, devenue si inconfortable et alarmante, déclenche un débat houleux dans plusieurs sociétés. L'auteur examine, sans complaisance, cette conjoncture brûlante d'actualité et propose des pistes d'actions innovantes.
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Ecrire le drame planétaire de la COVID-19 qui marquera l'histoire contemporaine est un défi de taille. En effet, comment illustrer la révolte, la précarité, voire l'impuissance qui nous transpercent dans ces circonstances ? Ces traces tangibles saisissent des émotions vécues à brûle-pourpoint au quotidien. Elles portent à bout de bras une lecture anthropologique des affres d'un continuum jalonné de surprises et de désolation. Elles ouvrent les fenêtres dans le noir et nous aident à appréhender l'aporie de la condition humaine souffrante.
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Célébrades est un recueil d'éclats poétiques qui célèbrent l'immortelle Brigitte Bardot à qui nous devons notre « délivrance » et « liberté colorée ». Des poèmes courts, à la japonaise, lui rendent un vibrant hommage. L'une de ces stances chante « intrépide au pinacle / l'aigle dans sa gloire n'a pu / monter plus haut ». Regroupées autour de cinq autres thèmes, soit l'hiver, l'amour, la nature, le quotidien, les voyages, ces pages saisissent la beauté instantanée et l'âme des choses. L'émerveillement et l'observation lapidaire en constituent la trame commune. Le suffixe -ade qui indique l'action, ajouté aux titres, les met en mouvement et dynamise leur portée significative.
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La guerre en direct de l'Ukraine a ébranlé le monde entier. Un mouvement universel de solidarité et de compassion s'est formé instantanément pour soutenir la résistance légitime de ce pays et dénoncer les crimes contre l'humanité. Les poèmes courts de Bernard Anton suivent cette mouvance. Ils décrivent d'une façon concise et lapidaire des scènes déchirantes. Ces haïkus, écrits dans la spontanéité, transmettent l'expérience de moments vécus en pleine conscience. Entourés de silence et portés par le silence, ces pages qui traitent de la souffrance d'un peuple et du mal viscéral, - aussi de la liberté et de l'amour dans d'autres parties rédigées antérieurement - témoignent d'une écoute et d'une communion intenses. Ils transposent l'indicible, l'énergie soutenue de l'instant présent.
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Éva cherche à se détacher des illusions du monde. Violette se dévoue et prête main-forte à une amie. Gustave rêve d'une vie de couple harmonieuse avant de mourir. Un automobiliste survit à une tempête et à l'injustice. Un voyageur épicurien est témoin de scènes abracadabrantes. Mike serait vilipendé à cause de son succès. Un observateur-né passe en revue ses voisins la veille de son déménagement. Amoureuse de poésie, Jeanne va jusqu'au bout de sa loyauté.Broyés par les épreuves, ces personnages, inspirés de la vie réelle, conservent malgré tout leur dignité. Ils grandiront grâce souvent à un moment d'éclaircie.Le lecteur est entraîné, au fil des pages, dans des récits coups-de-poing qui décapent les drames des rapports conflictuels. Il finit par mieux comprendre les percées parfois lumineuses du quotidien. Une sagesse s'en dégage et lui en apprend davantage sur les hauts et les bas de la condition humaine telle qu'elle existe aujourd'hui.
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Le poète dénonce ici la violence et réfléchit sur l'ampleur inouïe du mal en décrivant un pays ébranlé par des bombardements et des atrocités quotidiennes. De quel droit ravager une nation pacifique et raser tout sur son passage, y compris l'humain ? Une telle invasion génocidaire, basée sur le mensonge, peut-elle se produire dans notre société qui se prétend civilisée et régie par des droits internationaux ? Après Lauriers pour l'Ukraine, les haïkus dans Anathema sur l'usurpateur évoquent l'exacerbation et l'indignation devant des crimes de guerre et d'agression continus. Le terme « anathema », selon l'étymologie grecque, signifie « colère des dieux ». Une postface résume le fil de l'actualité de cette guerre horrible.
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Après Lauriers pour l'Ukraine et Anathema sur l'usurpateur, Bernard Anton complète sa trilogie avec une tragi-comédie présentant, sous un angle inédit, l'absurdité horrible d'une guerre qui ravage injustement un pays pacifique.
Une gamme d'émotions spectaculaires défile et secoue le lecteur. Des trente-deux tableaux poignants, reliés par un fil conducteur subtil, émerge un appel à la paix et au bonheur. Une parole libérée et libératrice défie le despotisme.
Les bribes d'humour et de poésie de cette pièce de théâtre allègent le propos dramatique et donnent à mieux comprendre les enjeux d'une hécatombe inouïe.
Le titre Déconfiture des escobars désigne l'échec des menteurs et des hypocrites qui justifient indûment leurs méfaits et tournent les événements malencontreux à leur avantage.