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jean paul delfino
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Le roman de la vie de Suzanne Valadon
Modèle de Renoir, muse de Degas, égérie de Satie et grand amour de Toulouse- Lautrec, Suzanne Valadon (1865-1938) a d'abord été écuyère de cirque avant de devenir modèle pour les plus grands. Femme libre et farouchement indépendante, elle se lance elle-même dans la peinture et devient la première femme admise à la Société Nationale de Beaux-Arts. Elle est la mère de Maurice Utrillo. Le roman la cueille à la fin de sa carrière, bien après la brouille avec son fils. Entre l'absinthe, le tabac, un jeune amant qui la couve (Gazi le Tatar, de trente-cinq ans son cadet), Francis Carco qui veut écrire sa biographie et l'efflorescence trouble de ses souvenirs, Suzanne se raconte. Entre vérité et légende, l'histoire d'une femme libre à en mourir. Les mille vies de Suzanne l'insoumise. -
Paris, 1870. Clara, gamine de quinze ans, est cueillie sur les barricades de la Commune et condamnée comme pétroleuse à huit ans de bagne. Au même moment, Mané, esclave, rentre de la guerre qui a opposé le Brésil au Paraguay. L'empereur Dom Pedro II lui a promis la liberté. Il n'a pas tenu parole. Mané s'enfuit donc vers
cette terre de liberté voisine, une terre nommée Guyane. Alphonse de Saint-Cussien, rejeton d'une famille de parvenus, multiplie les frasques. Joueur invétéré, il accumule les dettes et se voit contraint de quitter la France pour échapper à ses créanciers.
Au fil de cette flamboyante saga, Jean-Paul Delfino confirme son immense talent de conteur. Son tableau sans concession de la politique coloniale française en Guyane entremêle ces trois destins, trois affluents qui n'auraient jamais dû se croiser, mais que le cours de l'Histoire a réunis en un seul fleuve, puissant et tumultueux comme le Maroni. -
En 1897, la publication de
J'accuse... ! plonge la France dans un climat délétère où l'antisémitisme s'affi che fi èrement. Au coeur de la polémique, Émile Zola déchaîne des torrents de haine, devenant la cible privilégiée des confrères jaloux, des ligues et de la presse d'extrême droite. Jusqu'à devenir l'homme à abattre ? La piste est sérieuse lorsqu'en 1902, l'auteur des Rougon-Macquart succombe à une intoxication suspecte au gaz méphitique. Qui, parmi ses proches ou adversaires, avait intérêt à le faire défi nitivement taire ?
Assassins ! retrace la vie passionnante du gamin d'Aix-en-Provence devenu un mythe littéraire.
Car, à l'heure de mourir, que valent les honneurs face au souvenir du poème dédié à son premier amour ? Que pèse le succès face aux caresses d'une lingère ? En écho aux réminiscences du condamné, les ennemis défi lent sur la scène d'un pays aux idéaux sacrifiés sur l'autel de l'intolérance. -
Paris, 1925. Dans le bouillonnement des années folles, deux hommes vont vivre une nuit d'exception. À la poursuite d'une femme fantomatique et aimée, sur les traces de Jean Cocteau qui leur a volé l'argument d'un opéra, ils sillonnent la nuit parisienne, de la Closerie des Lilas au Père-Lachaise, de l'Opéra Garnier à la banlieue rouge. Dans les méandres de la Ville Lumière, ils vont rebondir de caboulots en night-clubs et se laisseront entraîner dans une valse canaille durant laquelle ils croiseront Chagall et les époux Delaunay, Toulouse-Lautrec, Modigliani, Abel Gance, Chaplin ou encore la mémoire d'Apollinaire. Dans cette course folle, ils vont refaire le monde, rêver de gloire, pêcher le grand requin blanc sur les rives de la Seine, se promener à dos de girafe ou partir vers l'inconnu à bord d'une locomotive Pacific. Ces deux hommes, dont le génie n'est pas encore reconnu, se nomment Blaise Cendrars et Erik Satie. Ensemble, ils vont se trouver et se perdre, tenter de réenchanter le monde, jusqu'au bout de la nuit.
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Par une nuit de neige qui finit par immobiliser Paris, monsieur Jaume se rend dans un café de la rue Saint-André-des-Arts. En veine de confidences, il raconte à Virgile, un bistrotier désabusé, la malédiction qui le frappe. Monsieur Jaume est immortel.
Toute la nuit durant, et avec la promesse de lui révéler son secret, il va confier à Virgile ses multiples existences passées. Né à Marseille en 1702, il fuit la grande peste, part à l'aventure en Afrique, cultive le café en Guyane, meurt à cent reprises et revient à la vie autant de fois. Peintre d'ex-voto au Brésil, guetteur de cadavres sur le Rhône, négrier à l'occasion, clerc de notaire à Paris, ermite au Portugal ou spectateur de la révolution de 1848, Jaume connaîtra l'amour, l'amitié et la trahison.
Tout d'abord sceptique, Virgile l'écoute. Puis, peu à peu, sa curiosité s'éveille et il se laisse prendre au jeu. Être immortel semble bien tentant. Mais n'est-ce pas le pire cadeau que le sort puisse offrir à un homme ?
Avec
Les Voyages de sable, Jean-Paul Delfino nous invite à une longue traversée poétique et fantastique, où une nuit dure trois siècles et l'arrière-salle d'un café ouvre sur les cinq continents. -
Novembre 1755, Lisbonne. Un tremblement de terre historique ravage la capitale du Portugal. Pour la reconstruire, le Marquis de Pombal fait appel à Dom Cristiano da Fonseca, jeune fils d'un commerçant lisboète. Au même instant, Zumbi, fils d'esclave, quitte Rio de Janeiro pour faire fortune dans la quête de l'or et des diamants à Ouro Preto, au Brésil. Au fil de leurs aventures, les deux hommes verront leurs destinées se croiser et se déchirer, sur fond de soif de l'or, d'essor du Brésil, du bannissement du Marquis de Pombal, d'aspiration à l'indépendance du Minas Gerais, des conspirations indépendantistes, de confréries de Nègres libres. Dans cette saga romanesque historique, Zumbi et Dom Cristiano da Fonseca tutoieront les anges et plongeront tour à tour dans les affres de la déchéance, aux côtés de personnages emblématiques du Brésil et du Portugal que sont Tiradentes, le sculpteur estropié Aleijadinho, la dynastie des Tavora, le musicien Domingos Caldas Barbosa ou encore Chica da Silva et Chico Rei.
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Lisbonne, novembre 1807. Les troupes de Napoléon, dirigées par le Général Junot, envahissent le Portugal. Sans armée digne de ce nom, Dom Joao VI, suivi par l'ensemble des membres de la Cour royale et de la noblesse, est obligé de fuir en catastrophe, emportant avec lui, dans une cinquantaine de navires, toutes les richesses de son royaume. Leur seule destination possible : la lointaine colonie du Brésil. Au même moment, à Rio de Janeiro, Dona Josefina, une responsable du candomblé, l'un des cultes spirites issus de l'Afrique, accepte de collaborer avec un vieux médecin portugais à l'un des premiers ouvrages rendant compte de la condition des esclaves du Brésil. Tout d'abord jetée en prison, elle finira par mener à bien son projet et s'attirera les foudres de l'église. Dans un respect scrupuleux des faits historiques, Jean-Paul Delfino dépeint, avec violence et tendresse, la naissance du Brésil au monde moderne : une réalité composée d'intrigues royales, d'aventures tumultueuses et de déchirements amoureux. De la souffrance des gamins des rues à la passion de Joao VI pour cette colonie qui n'en sera bientôt plus une, de la déclaration d'indépendance du Brésil par Dom Pedro I à l'abolition de l'esclavage, Pour l'amour de Rio dresse un portrait haletant et méconnu d'une nation en marche vers son destin.
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Le Piéton de Paris
Marié, deux enfants, Théophraste Sentiero est un homme sans histoires. Aussi prête-t-il peu d'attention à ces tremblements inopinés qui agitent ses jambes et ses pieds en ce soir de Noël. Hélas, ces trépidations s'accentuent et la médecine n'y entend rien. C'est un vieux libraire cacochyme et presque aveugle qui va le tirer d'affaire en lui proposant un remède pour le moins surprenant : écouter ses pieds puisqu'ils sont si pressés d'aller quelque part.
Au fil de ses déambulations, Théo croise une faune interlope qui compte ses piliers de comptoir et ses prostituées philosophes. Mais il y a surtout cette sylphide qui lui entrouvre les portes d'un horizon insoupçonné...
Peuplé par des personnages truculents qui surgissent telles les figures du tarot sur le chemin de Théo,
L'Homme qui marche est une berceuse enchanteresse. Ode à un Paris évanoui, il envoûtera ceux qui accepteront de s'en remettre à la chance, ou au destin. -
De Belem à Porto Alegre, de Rio de Janeiro à Recife, Fortaleza, São Luis ou Rio Branco, le Brésil est le fruit de trois cultures. Les Amérindiens, les Européens et les Africains ont ainsi tous trois contribué à bâtir cette nation, à forger cette âme à nulle autre pareille. Chacun y a apporté son histoire, mais aussi ses croyances, ses connaissances, ses fantasmes et ses peurs. Grand comme seize fois la France, ce pays-continent fascine même si, trop souvent, l'on s'arrête à son sujet à des images toutes faites. Avec Contes et Légendes du Brésil, Jean-Paul Delfino entrouvre les portes de ce pays complexe d'une manière différente. Grâce à plus de soixante récits, tous issus de la mémoire collective brésilienne, il donne au lecteur la possibilité de comprendre autrement ce peuple métissé. Au fil de ces pages, qui s'adressent aussi bien aux adultes qu'aux enfants, des thèmes toujours d'actualité prennent une résonance différente. Protection de la planète, racisme, mythes et religions, explications du monde, Princes et Princesses, amours contrariées ou êtres surnaturels : c'est un Brésil enfin différent qui est offert au lecteur, entre éclats de rire et surprise, malice et saudade.
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Couleurs Brasil ; petites et grandes histoires de la musique brésilienne
Jean-Paul Delfino
- Le Passage
- Essais et documents
- 5 Juin 2014
- 9782847422375
Georges Moustaki, Pierre Barouh ou Claude Nougaro sont sans doute les artistes les plus " brésiliens " de France. Mais la liste, souvent étonnante, est loin de s'arrêter là : Brigitte Bardot qui enflamme Rio de Janeiro avec Maria Ninguem, Nicoletta et Fio maravilha, Dalida et Manha de Carnaval, France Gall et La Banda, Sacha Distel et Desafinado, Michel Fugain et Fais comme l'oiseau ou encore Henri Salvador, Lucien Jeunesse, Lio, Pierre Vassiliu, Gloria Lasso, Philippe Katerine... Les liens musicaux qui unissent la France et le Brésil sont infinis. Dans cet ouvrage, les plus grands standards du samba et de la bossa nova sont mis en lumière et racontent leurs voyages au-dessus de l'Atlantique. Qui sait que Si tu vas à Rio est, à l'origine, une chanson écrite pour célébrer la mémoire d'une étoile morte ? Que Essa moça tá diferente de Chico Buarque a attendu vingt ans avant de devenir un tube mondial ? Que les chansons de Nougaro n'ont rien à voir avec les textes originaux ? Que Fio maravilha, popularisée par Nicoletta, décrit en fait une action de football d'anthologie ? Que la Lambada n'est pas brésilienne, mais bolivienne ? Couleurs Brésil revient sur les relations amoureuses qui, depuis toujours, unissent la France et le Brésil. Ses multiples histoires et anecdotes lèvent le voile sur un monde fantastique, celui des trésors méconnus de la musique populaire brésilienne.
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Un vieil atrabilaire occupe un étrange manoir au sommet d'une falaise dunaire. Isla Negra. Tel est le nom du refuge de Jonas. Lorsque les pouvoirs publics tentent de l'expulser, la maison se transforme en camp retranché. En ville, chacun prend parti, et l'on voit s'affronter une centenaire qui tenait autrefois le plus grand bordel de la région, une beauté factice qui ne reconnaît plus son reflet dans le miroir, un huissier qui se révèle poète, un promoteur véreux et envieux. Et la foule des habitants, curieux, médisants, souvent lâches. À mesure que la falaise s'effondre, les masques tombent. Jonas, lui, ne lâche rien. Et chaque matin, il braque sa longuevue sur l'horizon, car de là seul peut encore surgir l'espoir. Fable écologiste, Isla Negra porte la voix des irréductibles qui refusent de céder au consumérisme et dénonce la facilité qui nous incite à détourner le regard. À travers cette allégorie, Jean-Paul Delfino brosse aussi le portrait savoureux de ces cabossés de la vie qu'il croque comme personne.
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Follement amoureux de son pays, Dom Pedro II, empereur humaniste, a une mission : transformer Rio de Janeiro en une capitale étincelante et le Brésil du XIXe siècle en l'une des nations les plus puissantes du monde. S'inspirant des idées généreuses des Lumières, il bouscule l'ordre établi, ouvre les frontières à la modernité, encourage le développement des arts et des sciences et accompagne l'essor des chemins de fer, de l'industrie, de la photographie... alors que le peuple lutte pour sa survie, sa liberté et la fin de l'esclavage. Dans ce roman foisonnant se croisent les destins de personnages hauts en couleur : Zumbi, un homme autrefois injustement condamné, mutilé, les yeux crevés, qui garde l'espoir que sa fille, Marina, après dix ans passés en prison, viendra le retrouver ; Rosa, une ancienne prostituée au grand coeur ; Filomena, fille d'un fazendeiro réactionnaire et raciste et d'une esclave Minas ; Raimundo, maton dans la lugubre prison du Calabouço et mélomane à ses heures ; l'énigmatique Madame de Barral, issue à la fois du peuple et de la noblesse, de Bahia et de Paris, mariée et amante impossible de Dom Pedro II... Amours contrariées, soubresauts de l'histoire, assassinats, révoltes, espoirs, luttes fratricides, traite négrière, mais aussi musique populaire, poésie, délices gastronomiques, sensualité et coups de théâtre ponctuent cette saga brésilienne. Et lorsque se calment la fureur et les larmes, affleure la saudade, ce sentiment si particulier teinté de langueur et de nostalgie. Saudade est le huitième volet de la Suite brésilienne de Jean-Paul Delfino, une fresque commencée en 2005 avec Corcovado et qui couvre une période de près de trois siècles.
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À l'aube du XXe siècle, le Brésil est une poudrière. Avec l'avènement de la démocratie et la fin de l'esclavage, le pays bouillonne et se cherche un futur. À Rio de Janeiro, les bandes s'affrontent avec violence pour défendre leurs territoires et la capoeira est encore l'apanage des mauvais garçons. Naissance du cinéma, idéaux anarchistes venus d'Europe, droits des travailleurs et des syndicats bafoués par la force, premières luttes féministes, émergence de la samba, déferlement du carnaval, reconstruction du centre historique : la ville fait table rase du passé, bien décidée à devenir enfin la capitale flamboyante de l'Amérique latine. Au même moment, entre Vieux-Port, quais de la Joliette et Belsunce, Marseille se glorifie d'être la porte de l'Orient et d'accueillir l'Exposition universelle de 1906. Mais entre les troubles sociaux, le ressentiment envers les premières vagues d'immigrés et les terribles conditions de vie du prolétariat, la cité phocéenne semble prête elle aussi à exploser. C'est là, de Rio de Janeiro à Marseille, que Marina et Filomena vont suivre leurs destins tumultueux. C'est là encore que vont se faire et se défaire les passions amoureuses de leurs petites-filles, Josefina et Sigisberta. C'est là, enfin, que vont naître et grandir Jean Dimare et Zumbi, les deux héros de Corcovado, premier volet de la Suite brésilienne de Jean-Paul Delfino.
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Rio de Janeiro, 1821. Vaincu par les manigances de Cour de la noblesse portugaise et des Cortes, Dom Joao VI, roi du Brésil, se voit dans l'obligation de rejoindre Lisbonne et la vieille Europe. Derrière lui, il abandonne une colonie sur le point de conquérir son indépendance et qui sera désormais dirigée par son fils, Dom Pedro I, un être infâme et tyrannique qui s'autoproclamera bientôt premier empereur du Brésil. Irrésistiblement attirée par les fastes du pouvoir et du palais impérial, la jeune Madalena, fille de la très estimée Dona Josefina, gardienne d'un culte spirite, va tout quitter pour cet empereur de pacotille. Hélas, rapidement réduite à l'état d'esclave par celui-ci, elle ne rêvera que de vengeance et d'assassinat pendant que sa fille Marina et son mari Zumbi, afin d'échapper aux soldats de l'empereur, sillonneront le pays en intégrant une troupe de cirque. Dans un pays qui n'aspire qu'à la modernité, où les gens de la rue côtoient des capitaines d'industries aux fortunes colossales, où les immeubles luxueux se multiplient et où les immigrants affluent par milliers pour se bâtir de nouvelles vies, cette fresque historique, obéissant à un sens profond du romanesque, emporte le lecteur dans un tourbillon d'aventures et d'émotions qui constitue un véritable chant d'amour pour le Brésil. Brasil est le septième volume de la Suite brésilienne de Jean-Paul Delfino, une fresque commencée en 2005 avec Corcovado et qui couvre une période de près de trois siècles.
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Bossa Nova, la grande aventure du Brésil fait bien entendu la part belle aux figures majeures de la Bossa Nova, et notamment au génial Joao Gilberto. Mais le livre nous fait surtout pénétrer dans les coulisses d'un mouvement où se croisent des acteurs moins connus - artistes, producteurs et même politiciens - qui, tous, au gré d'intrigues personnelles, de stratégies commerciales ou d'enjeux internationaux, participent de l'effervescence de cette incroyable aventure artistique et populaire.
Au milieu des années 1950, le Brésil vit une véritable révolution. Avec l'arrivée de la démocratie au pouvoir, c'est tout un peuple qui renaît à la vie et se met à inventer sa destinée. Création de l'improbable capitale Brasilia, poésie moderniste, Cinema Novo, première coupe du monde de football, foisonnement industriel et artistique : le Brésil est prêt, désormais, à entrer dans la modernité. Pour rythmer cette lame de fond, une nouvelle musique apparaît qui emporte tout sur son passage et s'impose rapidement dans le monde entier, au même titre que le jazz, le rock ou le blues, comme un genre musical à part entière : la Bossa Nova.
Avec
Bossa Nova, la grande aventure du Brésil, Jean-Paul Delfino offre le résultat d'une enquête passionnée et sans concession qui fait bien entendu la part belle aux figures majeures que sont Vinicius de Moraes, Tom Jobim, Maria Bethânia ou encore le génial Joao Gilberto. Mais il nous fait surtout pénétrer dans les coulisses d'un mouvement où se croisent d'autres acteurs moins connus - artistes, producteurs et même politiciens - qui, tous, au gré d'intrigues personnelles, de stratégies commerciales ou d'enjeux internationaux, participent de l'effervescence de cette incroyable aventure artistique et populaire.
Le livre propose de plus en annexe une série d'interviews exclusives réalisées par l'auteur voilà trente ans et publiées aujourd'hui pour la première fois. Les créateurs de la Bossa Nova et leurs héritiers se livrent en toute liberté. Parmi eux : Baden Powell, Nara Leao, Ronaldo Boscoli, Caetano Veloso, Gilberto Gil, Maria Bethânia, Georges Moustaki, Claude Nougaro, Pierre Barouh, etc. Sans oublier la mystérieuse mais bien réelle interview
ao vivo de João Gilberto...