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Saga Egmont
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Dorante, un homme de bonne famille, est ruiné. Son Valet, Dubois, dorénavant au service de la jeune et riche veuve Araminte, orchestre un mariage entre celle-ci et son ancien maître pour le renflouer. Par la parole, le mensonge et la manipulation, Dubois doit parvenir à faire tomber Araminte dans les bras de Dorante, qui est loin d'avoir un coeur de pierre : les fausses confidences s'infusent d'un amour naissant.
Marivaux (1688-1763) est né dans une famille noble. Il grandit en Auvergne, puis travaille à Limoges où il publie sa première pièce «Le Père Prudent et Équitable», en 1706. Dans le conflit opposant Anciens et Modernes, il prend part aux Modernes avec des parodies, entre autres, d'«Homère»: «L'Iliade travestie» (1716). Son premier succès est «Arlequin poli par l'amour». Parmi ses pièces populaires, on y retrouve des comédies sentimentales - genre qu'il révolutionne pour en faire des classiques: «Le Jeu de l'amour et du hasard» (1730). Il est aussi connu pour ses comédies sociales «L'Île des Esclaves» en 1725, «La Nouvelle Colonie» en 1729. Malgré tout, Marivaux n'a jamais connu de succès éclatant: sa réputation s'est surtout fondée sur son côté moraliste et philosophe, bien qu'il se soit toujours tenu à l'écart de ceux-ci. Marivaux est élu à l'Académie française en 1742, contre Voltaire. -
À la suite d'un naufrage, Iphicrate et Euphrosine échouent avec leurs esclaves, Arlequin et Cléanthis, sur l'île de nulle-part. On la surnomme «l'île des esclaves», car selon sa république, chacun doit changer son nom, ses vêtements et sa condition. Les anciens valets ont trois ans pour faire de leurs maîtres, maintenant esclaves, des êtres humains bons, vertueux et raisonnables. Mais cet échange libère chez Arlequin et Cléanthis des désirs de vengeance ; et ce n'est que par le coeur que l'on pourra dépasser les différences.
À travers cette comédie et utopie, Marivaux remet en question l'injustice orgueilleuse, et fait triompher l'humilité et le pardon dans un monde où la condition sociale «n'est qu'une épreuve que les dieux font sur nous.»
Marivaux (1688-1763) est né dans une famille noble. Il grandit en Auvergne, puis travaille à Limoges où il publie sa première pièce «Le Père Prudent et Équitable», en 1706. Dans le conflit opposant Anciens et Modernes, il prend part aux Modernes avec des parodies, entre autres, d'«Homère»: «L'Iliade travestie» (1716). Son premier succès est «Arlequin poli par l'amour». Parmi ses pièces populaires, on y retrouve des comédies sentimentales - genre qu'il révolutionne pour en faire des classiques: «Le Jeu de l'amour et du hasard» (1730). Il est aussi connu pour ses comédies sociales «L'Île des Esclaves» en 1725, «La Nouvelle Colonie» en 1729. Malgré tout, Marivaux n'a jamais connu de succès éclatant: sa réputation s'est surtout fondée sur son côté moraliste et philosophe, bien qu'il se soit toujours tenu à l'écart de ceux-ci. Marivaux est élu à l'Académie française en 1742, contre Voltaire. -
Que faire lorsque l'on aime le fils de ses ennemis? La princesse Léonide, fille des souverains usurpateurs de Sparte, décide de se travestir en homme pour séduire l'héritier légitime Agis.
Sous le faux nom de Phocion, elle s'introduit dans la demeure d'Hermocrate le philosophe où se cache Agis. Mais pour atteindre son but, Léonide doit tour à tour se faire aimer comme un homme par Léontine, la soeur du philosophe, et comme une femme par Hermocrate.
Qu'importe, l'amour l'emportera.
Parue en 1732, «Le Triomphe de l'amour» est une ode aux sentiments véritables. Marivaux, au travers de ses personnages travestis, nous apprend à s'affranchir du genre, et à faire triompher l'amour dans un monde où l'apparence règne en maître.
Marivaux (1688-1763) est né dans une famille noble. Il grandit en Auvergne, puis travaille à Limoges où il publie sa première pièce «Le Père Prudent et Équitable», en 1706. Dans le conflit opposant Anciens et Modernes, il prend part aux Modernes avec des parodies, entre autres, d'«Homère»: «L'Iliade travestie» (1716). Son premier succès est «Arlequin poli par l'amour». Parmi ses pièces populaires, on y retrouve des comédies sentimentales - genre qu'il révolutionne pour en faire des classiques: «Le Jeu de l'amour et du hasard» (1730). Il est aussi connu pour ses comédies sociales «L'Île des Esclaves» en 1725, «La Nouvelle Colonie» en 1729. Malgré tout, Marivaux n'a jamais connu de succès éclatant: sa réputation s'est surtout fondée sur son côté moraliste et philosophe, bien qu'il se soit toujours tenu à l'écart de ceux-ci. Marivaux est élu à l'Académie française en 1742, contre Voltaire. -
Avant de régner, le prince de Léon veut explorer le monde, connaître la nature humaine, et peut-être trouver l'amour. Quoi de mieux que de se travestir en Lélio pour rester discret lorsqu'on désir partir à l'aventure? Sur sa route, il a sauvé Hortense d'une attaque de Brigands. Plus tard, le prince -Lélio-, devenu mercenaire dans l'armée de la princesse de Barcelone, remporte une glorieuse victoire. Dès lors, la princesse n'a d'yeux que pour Lélio... Mais c'est Hortense que le Prince aime, et celle-ci n'est autre que la confidente de la Princesse.
Au travers les yeux d'un travesti, Marivaux épingle la situation du XVIIIe siècle, et remet en question la hiérarchie, l'apparence, et la prise de pouvoir.
Marivaux (1688-1763) est né dans une famille noble. Il grandit en Auvergne, puis travaille à Limoges où il publie sa première pièce «Le Père Prudent et Équitable», en 1706. Dans le conflit opposant Anciens et Modernes, il prend part aux Modernes avec des parodies, entre autres, d'«Homère»: «L'Iliade travestie» (1716). Son premier succès est «Arlequin poli par l'amour». Parmi ses pièces populaires, on y retrouve des comédies sentimentales - genre qu'il révolutionne pour en faire des classiques: «Le Jeu de l'amour et du hasard» (1730). Il est aussi connu pour ses comédies sociales «L'Île des Esclaves» en 1725, «La Nouvelle Colonie» en 1729. Malgré tout, Marivaux n'a jamais connu de succès éclatant: sa réputation s'est surtout fondée sur son côté moraliste et philosophe, bien qu'il se soit toujours tenu à l'écart de ceux-ci. Cependant, Marivaux est élu à l'Académie française en 1742, contre Voltaire.