Les pieds dans la misère, le regard tourné vers la réussite... Découvrez le coup de coeur des lecteurs 2016 !?
Une Italienne de quinze ans débarque avec son fils dans le New York des années vingt... L'histoire commence, vertigineuse, tumultueuse. Elle s'achève quelques heures plus tard sans qu'on ait pu fermer le livre, la magie Di Fulvio.
Roman de l'enfance volée, Le Gang des rêves brûle d'une ardeur rédemptrice : chacun s'y bat pour conserver son intégrité et, dans la boue, le sang, la terreur et la pitié, toujours garder l'illusion de la pureté.
Le récit bouleversant de la lutte quotidienne d'une jeune mère qui se bat pour offrir une meilleure vie à son fils.
EXTRAIT
Au début, ils avaient été deux à la regarder grandir. Sa mère et le patron. L'une avec appréhension, l'autre avec la concupiscence indolente dont il était coutumier. Mais avant qu'elle ne devienne femme, sa mère avait fait en sorte que le patron ne la regarde plus.
Quand la petite fille avait eu douze ans, sa mère avait extrait de graines de pavots un suc dense, comme elle l'avait appris des vieilles femmes. Elle avait fait boire ce jus à la petite fille et, lorsqu'elle l'avait vue chanceler, hébétée, elle l'avait chargée sur son épaule. Elle avait traversé la route poussiéreuse qui passait devant leur masure - bâtie sur les terres du patron - et marché jusqu'à la grève, à un endroit où se dressait un vieux chêne tout sec.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
QUELLE INCROYABLE DÉCOUVERTE !!!! Personne n'en parle et pourtant toute la Griffe est restée scotchée par ce roman... somptueusement bouleversant, d'une force dévastatrice hors normes. - La Griffe Noire
Il y a quelque chose de scorcesien chez Di Fulvio. - Zoé Courtois, Lemonde.fr
Plusieurs histoires se croisent dans ce livre merveilleux. Du rêve américain à l'histoire de l'immigration aux États-Unis, on a l'impression de plonger dans un film de Scorsese. - Corriere della sera
New-York, début des années 20... Que la folle Histoire commence ! Guerre des gangs imaginée, survie dans les différents quartiers de New York, rêve de réussite et amours éconduites... Une MERVEILLE de roman ! - Librairie Delamain Paris
Il y a du sang, de la terreur, de l'amitié, de l'aventure, de la pitié, du grand et bel amour, bref, tout ce qui fait l'étoffe d'un page-turner : vibrant d'énergie et passionnant ! - Les libraires masqués du Grenier, Fanny
Véritable coup de coeur pour cette grande saga et cet auteur qui nous donne l'impression de nous balader dans les rues de New York. [...] À lire très vite ! - Nolim
Ces héros-là souffrent, se battent, saignent, vivent avec une exaltation qui bouleverse dans l'amour et le sang, et ne peut laisser indifférent. Lorsqu'on les quitte, on est un peu étourdi, bien secoué et déçu, aussi, car l'émotion qu'ils nous ont transmis est peu habituelle [...] Et puis, si on était triviales, on dirait qu'autant de fièvre, de plaisir, d'exaltation mais aussi de pages à moins de dix euros, on en a pour son argent. Vraiment. Alors, succomberez-vous aussi au phénomène ? - Elle.fr
Ça se lit comme une saga, un chef-d'oeuvre ! - Gérard Collard, Les déblogeurs.tv
À PROPOS DE L'AUTEUR
Dramaturge, le Romain Luca Di Fulvio est l'auteur de dix romans. Deux d'entre eux ont déjà été adaptés au cinéma ; ce sera le destin du Gang des rêves, qui se lit comme un film et dont chaque page est une nouvelle séquence.
Venus des quatre coins de l'Europe, trois destins brisés se retrouvent dans l'enfer de Buenos Aires en 1912.
Argentine, 1912. Trois destins, trois chemins qui se croisent et se perdent, trois jeunes gens bousculés par la vie rêvant d'un monde nouveau.
Rosetta a été déshonorée à Alcamo, la famille de Raquel est massacrée à Sorochyintsi, Rocco refuse de se soumettre à la loi de Palerme.
Venus vaincus des quatre coins d'Europe, ils n'auraient jamais dû se rencontrer.
Ils se retrouvent dans l'enfer de Buenos Aires.
Découvrez sans plus attendre le nouveau roman historique de l'auteur des best-sellers internationaux Le Gang des rêves, Les Enfants de Venise et Le Soleil des rebelles !
EXTRAIT
« Il est arrivé ? » dit le policier en entrant dans la pièce où le capitaine Ramirez tenait Raquel prisonnière. Elle comprit qu'il parlait d'Amos. Et il lui sembla totalement absurde d'être arrivée jusqu'ici pour mourir d'une manière aussi stupide et cruelle. « Fais-le attendre à l'arrière, ordonna le capitaine. Je lui amène la fille. » Mais ensuite, il leva la main : « Non, attends ! Je vais lui parler d'abord, sourit-il. Mieux vaut préciser tout de suite les termes de la... transaction. On ne va pas faire ça juste pour sa belle gueule de juif, hein ? » Il cligna de l'oeil, et l'autre se mit à rire.
Le capitaine sortit de la pièce, suivi du policier. « Reste là devant et ne fais entrer personne », commanda-t-il avant de fermer la porte. Dès qu'elle se retrouva seule, Raquel se recroquevilla sur le sol. Tout était fini. La vie était encore plus cruelle que les hommes.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Un ouvrage épique aux accents romanesques sur la soif de liberté abordant les thèmes des migrations et de l'injustice notamment celle des femmes et sur leur condition au début du XXe siècle. Un roman dont on savoure la finesse et la justesse [...] Un livre à la fois bouleversant, teinté d'acidité et de tendresse qui tiendra le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page. - Icicnancy.fr
Une fois de plus, on se laisse emporter par l'écriture captivante, poignante et parfois brutale mais jamais gratuitement de Luca di Fulvio, dans cette fresque historique sordide et violente, dans laquelle Rosetta, Rocco et Raquel brillent tels trois étincelles dans l'obscurité. - OnirikUn roman aussi poignant que haletant, qui plonge le lecteur dans les bas-fonds de la condition des migrants. Cent ans plus tard, les obstacles ont sûrement pris des formes différentes. Mais cette dureté a-t-elle vraiment évolué ? - Ouest France
Le Gang des rêves, Les Enfants de Venise, Le Soleil des rebelles. Que l'intrigue se passe au début de la Renaissance en Italie ou dans les années 1920 à New York, chaque roman fait un carton. Sorti en septembre dernier, Les Prisonniers de la liberté, quatrième livre de Luca Di Fulvio, semble bien partie pour emprunter le même chemin. - LeProgrès.fr
Avec des personnages extrêmement attachants, une intrigue qui tient en haleine et une réflexion sous-jacente sur la condition féminine et la corruption sous toutes ses formes, Luca Di Fulvio signe là un roman dont on redemande encore, même après 600 pages. Captivant et ébouriffant de bout en bout. Un vrai coup de coeur. - Joalie.donc.je.suis
À PROPOS DE L'AUTEUR
Né à Rome où il vit et écrit, Luca Di Fulvio est l'auteur de dix romans dont trois sagas mythiques, parues chez Slatkine & Cie : Le Gang des rêves, Les Enfants de Venise et Le Soleil des rebelles, toutes disponibles chez Pocket. Son nouveau roman, Les Prisonniers de la liberté, est en cours de traduction dans le monde entier.
Après l'immense succès du Gang des rêves, Luca di Fulvio signe ici un nouveau roman historique qui nous plonge dans l'Italie du XVIe siècle...
« Quand Mercurio s'était jeté dans le canal, Giuditta avait eu la tentation de le retenir. Ou de s'y jeter avec lui. Elle ne voulait pas renoncer à la sensation de sa main dans la sienne. Elle ne voulait pas renoncer à lui. Déjà, les nuits précédentes, dans le chariot, elle avait senti une forte attraction pour les yeux de cet étrange garçon. Qui était-il ? Il n'était pas prêtre, il le lui avait avoué. Quels mots avait-il dits en sautant du bateau ? Elle se souvenait à peine. Sa tête se faisait légère. "Je te retrouverai", voilà ce qu'il avait dit. »
La misère radieuse d'une bande d'enfants perdus, la fille secrète d'un médecin sans diplôme, la découverte de l'amour, l'or, le sang, la boue, l'honneur... pour son nouveau roman, Luca Di Fulvio vous emporte à Venise.
Une intrigue parfaitement conduite, des dialogues authentiques et des personnages tous plus attachants les uns que les autres... Un roman historique unique !
EXTRAIT
- On a donné nos poissons à des mendiants, continua Benedetta. Nous, on voulait manger comme les riches... alors je suis allée à l'auberge et j'ai commandé plein de bonnes choses, et le patron... il m'a demandé si j'avais de quoi payer. Moi, j'ai montré ma pièce d'or. Il l'a mordue pour voir si elle était vraie. Puis il m'a dit : "Elle est à moi, cette pièce. Tu peux aller te plaindre aux gardes de sa sainteté, si tu veux. Tu seras bien en peine de prouver d'où elle vient, cette pièce d'or, vu que tu pues la voleuse à une lieue. Disparais." Il s'est mis à rire, et j'étais déjà partie qu'il riait encore...
- Le maudit voleur ! », s'exclama Zolfo.
Mercurio les fixa. « Et qu'est-ce que vous voulez ? »
Benedetta parut surprise. « Je... commença-t-elle à dire.
- Nous... », bafouilla Zolfo.
Mercurio les fixait sans rien dire.
« Aide-nous, finit par dire Benedetta.
- Oui, aide-nous, dit Zolfo en écho.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Après Le Gang des rêves, Luca Di Fulvio confirme son talent de conteur, particulièrement bien rendu par la traduction. On se régale jusqu'à la dernière page. - Delphine Peras, L'Express
Les enfants de Venise confirme l'allégresse d'une plume qui se muscle, qui s'enrichit, qui s'étoffe. Nul doute que Luca di Fulvio soit en train de s'imposer comme l'un des nouveaux grands auteurs de notre temps. - Lettres it be
Luca Di Fulvio nous entraîne dans une saga haletante qui emprunte autant à l'univers de Dumas qu'à la Comedia del Arte. - MotspourmotsVoilà donc une histoire romanesque comme on les aime, sur fond historique, avec une foule de personnages attachants qui ne livrent pas tout de suite leur vérité. - Le Livre d'aprèsUn roman si intense qu'il se lit en apnée et vous laisse orphelin une fois refermé. - Papillon, Journal d'une lectrice
Quel souffle romanesque ! [...] De nombreux personnages hauts en couleur, attachants, parfois terribles, dans tous les cas décrits avec une grande minutie et dont les noms (Scavamorto, Scarabello...) et les attitudes (ingéniosité, ruse, travestissement) nous font inéluctablement penser à la commedia dell' arte dont les premières troupes apparaissaient en ce début du XVIe siècle. C'est tout simplement fabuleux ! - Blog Lire au lit
À PROPOS DE L'AUTEUR
Dramaturge, le romain Luca Di Fulvio est l'auteur de dix romans, dont deux ont déjà été adaptés au cinéma. Aujourd'hui, il revient avec un nouveau roman historique, Les enfants de Venise.
Après l'immense succès du Gang des rêves et des Enfants de Venise, découvrez sans plus attendre la nouvelle épopée de Luca di Fulvio !
Le jeune prince Marcus est encore un enfant lorsqu'il assiste impuissant au massacre de toute sa famille.
Seul rescapé de cette boucherie fomentée par Ojsternig, ennemi héréditaire de la famille de Marcus qui va s'asseoir sur le trône, Marcus ne doit son salut qu'à la jeune Héloïse, fille d'Agnès, la lavandière du village qui l'accueillera sous son toit pour l'élever comme s'il était son fils.
Luca di Fulvio retrace l'ascension paradoxale d'un petit prince, un demi-dieu qui va devoir apprendre dans la douleur comment devenir un homme.
Un roman d'apprentissage émouvant et haut en couleurs, par le maître du genre !
EXTRAIT
Jamais autant de sang innocent ne fut versé, sur cette langue de terre connue sous le nom de Raühnvahl, qu'en ce matin du 21 septembre de l'an de grâce 1407. dans cette partie de l'arc alpin qui délimite la péninsule italique et la sépare abruptement du reste de l'empire comme de l'Europe, un soleil froid venait de se lever sur la petite vallée désolée qu'enserraient des cimes hostiles culminant à plus de dix mille pieds. Le seigneur de ce royaume était le prince Marcus Ier de Saxe, père de Marcus II de Saxe, prince héréditaire. Ce matin-là, le petit Marcus II de Saxe, assis sur son lit gigantesque au matelas rembourré de duvet d'oie fin et chaud, frissonna, nu et ensommeillé, ses jambes se balançant loin du sol, bien qu'il soit grand pour ses neuf ans. Il avait des yeux verts, paresseux comme ceux d'un chat, de longs cheveux blonds et brillants qui tombaient en boucles sur ses épaules, et une peau si lisse et si blanche qu'on aurait dit celle d'une fille. Eilika, la gouvernante qui s'occupait jour et nuit de son petit seigneur, et dormait comme un chien fidèle sur une couche de paille au pied du lit, enveloppa les épaules de l'enfant dans une toile de lin passée dans l'eau bouillante puis essorée.
Au contact de la toile tiède, le petit prince grogna de plaisir et ferma les yeux.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Un véritable emballement. Succomberez-vous au phénomène di Fulvio ? - Adèle Bréau, Elle
Comme «le Gang des Rêves», qui a fait un tabac en Allemagne où l'auteur est une star, Le Soleil des Rebelles offre une galerie de personnages hauts en couleur, brutes épaisses qui feraient passer Game of Thrones pour Bambi. Bientôt sur Netflix ? - Didier Jacob, Nouvel Obs
Le Dickens italien. Des pavés que l'on n'arrive pas à lâcher un fois la première page lue. Luca di Fulvio a le don d'entraîner son lecteur dans une épopée romanesque à 100 à l'heure. Un zeste de violence, beaucoup de suspense, sans oublier une histoire d'amour avec un grand A ! - Sandrine Bajos, Le Parisien
Aucune hésitation, vous pouvez le consommer tout de suite, cul sec ou le garder comme provision de pavé pour le hamac de cet été. Pensez simplement à prévenir votre entourage que vous n'y serez pour personne pendant quelques jours. Et moi je me demande ce que Luca di Fulvio va bien pouvoir nous inventer la prochaine fois... - Nicole Grundlinger, motspourmots.fr
À PROPOS DE L'AUTEUR
On ne présente plus Luca di Fulvio ! Il est l'auteur du Gang des rêves et des Enfants de Venise, deux sagas à couper le souffle dont le succès retentissant en France doit beaucoup à la mobilisation des blogueurs, qui ont fait en quelques mois de Luca di Fulvio un véritable phénomène.
Une guerre sanglante éclate dans les rues de Bari suite à l'enlèvement du fils de l'un des parrains de la ville...
Été 1992. Meurtres, attentats, enlèvements : la Mafia fait régner la terreur dans les rues de Bari. Quand il apprend qu'un enfant a été kidnappé, le maréchal Pietro Fenoglio sait que le point de non-retour est atteint : il s'agit du fils d'un des parrains les plus puissants de la ville. La guerre est déclarée. Le chef du clan rival, qui sent le vent tourner, décide de collaborer avec la justice pour sauver sa peau. Il se lance alors dans un récit hypnotique qui fera plonger Fenoglio et le lecteur au plus profond d'un système où l'omerta est le mot d'ordre.
Un polar haletant, par l'un des meilleurs connaisseurs de la Mafia.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Gianrico Carofiglio est né à Bari en 1961. Procureur, conseiller du Comité anti-mafia au Parlement italien, il a été Sénateur de 2008 à 2013. Ses livres sont traduits dans le monde entier.
Une enfance en Afrique.
Le premier roman de Roukiata Ouedraogo est le récit très personnel d'une petite fille confrontée à l'univers des hommes. Avec l'humour tendre qui l'a rendue célèbre en France et dans toute la Francophonie, l'actrice burkinabè tient la chronique douce du drame qui a bouleversé son enfance.
Dans ce roman, l'auteure raconte avec humour et tendresse son enfance au Burkina Faso.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Roukiata Ouedraogo est née à Fada N'Gourma, au Burkina Faso. Ancienne élève du Cours Florent, elle enchaîne tournages et tournées. Chroniqueuse sur France Inter, elle y parle beaucoup de sa mère, comme dans ce livre.
Après New York, Venise ou Buenos Aires, Luca Di Fulvio a choisi Rome pour décor, sa ville natale, l'endroit où il écrit tous ses livres. L'action se passe en 1870, l'année où est née l'Italie. Dans cette ville-monde encore occupée par les troupes françaises, où s'affrontent monarchistes et républicains, trois personnages se croisent, se perdent et se retrouvent. Il y a Pietro, qui veut changer la vie avec un appareil photo, Marta, l'enfant de la balle, et Nella, l'improbable comtesse républicaine. Pietro et Nella sont orphelins. Rome va les adopter.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE"On a envie de connaître la suite sans vouloir que l'histoire finisse trop vite!!!!" Irouini83, Amazon
"Si vous voulez rêver un moment, lisez ce livre..." Alain, Amazon
"Un roman immersif qui se dévore." LeBoudoirduLivre, Amazon
À PROPOS DE L'AUTEUR
Traduit dans le monde entier, Luca Di Fulvio est l'auteur du best-seller international Le Gang des rêves, publié comme tous ses romans chez Slatkine & Cie et chez Pocket.
« Je sais que tu ne crois pas à ces choses-là, mais tu n'as qu'à regarder ce qui s'est passé dans notre famille. D'abord Iacomo, avec ses manies, qui a fini pendu à une poutre. Ensuite Achille, il voulait jouer aux héros et c'est un miracle s'il n'est pas mort fusillé. Et ta tante Edvige ? Elle a détruit deux familles. Et ma soeur Adele, qui s'est retrouvée à l'autre bout de la planète, avec ses fantaisies d'amour, et veuve presque tout de suite. N'oublie jamais, Guido... si nous ne les contrôlons pas, les rêves finiront par nous apporter une tragédie. Et elle sera pire que tous les malheurs que nous avons déjà connus. C'est notre ancêtre, la Tsigane, qui l'a vu dans ses cartes. Elle ne se trompait jamais.»
L'histoire commence en 1800, à Stellata, dans la plaine du Pô, le jour où Giacomo Casadio tombe amoureux. Peut-on contrôler son destin ? Faut-il renoncer à ses rêves ? Une saga à l'italienne, somptueuse comme un fleuve.
À PROPOS DE L'AUTEURE
En écrivant l'histoire romancée de sa famille, la poétesse italienne Daniela Raimondi a provoqué une déflagration éditoriale qui a gagné le monde entier où Le Sortilège de Stellata est partout en traduction.
Enaiat a dix ans lorsque sa mère l'oblige à fuir leur petit village de Nava, dans la vallée de Ghazni, en Afghanistan. Elle l'abandonne de l'autre côté de la frontière, au Pakistan, pour le protéger car Enaiat appartient à l'ethnie des Hazaras, persécutée par les Pachtounes et les talibans. Pour lui débute alors un périple de cinq années jusqu'en Italie en passant par l'Iran, la Turquie et la Grèce
À PROPOS DE L'AUTEUR
Né à Turin, Fabio Geda est diplômé en sciences de la communication avec une thèse en mercatique. Il travaille comme éducateur, d'abord comme bénévole, puis dans une coopérative. Son premier roman, Per il resto del viaggio ho sparato agli indiani, est sélectionné pour le prix Strega.
Il fait une percée en 2010 avec le roman Dans la mer, il y a des crocodiles (italien : Nel mare ci sono i coccodrilli) basé sur une histoire vraie d'Enaiat Akbari, le roman devient un best-seller, vendu à plus de 400 000 exemplaires en Italie et traduit dans plus de 30 langues.
Un road trip pas comme les autres !
Francis, dix-sept ans, vit avec sa mère dans un trailer park, à Claymont, New Jersey. Lorsqu'il apprend qu'il est le fils d'un donneur anonyme sélectionné pour son QI, Francis se met en tête de retrouver son géniteur. Il entraîne dans son road trip son meilleur ami, le geek Grover, et la mystérieuse Anne-May, dont il vient de tomber amoureux.
Un roman qui vous fera voyager sur les routes des Etat-Unis.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Traduit dans 34 langues, Benedict Wells est l'auteur de cinq romans dont La Fin de la solitude.
Qui sont donc ces mystérieux croisés modernes qui laissent derrière eux des scènes de crime dignes des plus beaux scénarios de vengeance?
La nef de l'église de Saint-Thibéry n'a jamais été aussi pleine. Les policiers de l'Hérault enterrent l'une des leurs. La cérémonie est interrompue par une étrange procession. À la file indienne, six hommes énucléés cheminent avec un mot gravé sur le torse en lettres de sang : HERESIX...
Au Cap-d'Agde, la petite Maeva Tolzan disparaît...
Dans un train fantôme filant dans la nuit entre Béziers et Narbonne, Alexia fête ses 18 ans en compagnie du garçon qu'elle aime, mais les choses ne vont pas se passer comme elle le rêvait...
Sur fond de vengeance noire et de crime mafieux, les personnages du procureur Feuz s'épanouissent au soleil du Midi. Ils y trouvent une épaisseur nouvelle, une impunité différente.
Nicolas Feuz joue avec eux, se promène dans le temps - des cathares à nos jours -, enchaîne les retournements, perd le lecteur dans des culs-de-sac et livre, sur fond de brutalité sourde, un plaidoyer magistral contre les violences faites aux femmes.
Lauréat du Prix du meilleur polar du Salon du livre de Paris 2015, ce polar est une épopée délirante, un roman qui file à cent à l'heure et évoque les instincts les plus sombres de l'espère humaine.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
"Un polar abominablement génial réservé à un public avide de sensations fortes." - Jérôme Toledano, Librairie Les Cyclades
"Un polar intelligent et cruel à ne pas mettre entre toutes les mains" -L'atelier de Litote, Bepolar
À PROPOS DE L'AUTEUR
Nicolas Feuz est le procureur du canton de Neuchâtel, en Suisse. En 2010, il se lance dans l'écriture de polars, et remporte en 2015 le Prix du meilleur polar du Salon du livre de Paris. Trois thrillers à succès suivront, tous publiés chez Slatkine & Cie et repris au Livre de Poche : Horrora Borealis (2018), Le Miroir des âmes (2018) et L'Ombre du renard (2019). En 2020, il publie 2 romans durant les 1ère et 2eme vagues de la pandémie et publie aussi son polar L'engrenage du mal.
Qui se cache derrière la fameuse Marguerite Steinheil, cette femme connue aujourd'hui pour cette partie sulfureuse de l'histoire de France ?
C'est une histoire bien française. Le 16 février 1899, à l'Élysée,
Félix Faure s'étouffe de plaisir dans les bras de sa maîtresse, une certaine Mme Steinheil. « Le Président a-t-il encore sa connaissance ? Non, elle est sortie par l'escalier de service. » Clemenceau commente : « Il se voulait César, il ne fut que Pompée. »
Mais qui était cette mystérieuse Madame S ?
Assurément pas une cocotte. Héritière d'une grande famille d'industriels protestants, mariée trop jeune à un peintre trop vieux, Madame S est alors la coqueluche du Tout-Paris politique. Sur fond d'affaire Dreyfus, elle se rapproche de Félix Faure et s'installe au coeur du pouvoir et des secrets d'État. Après la mort du Président, elle disparaît. On la retrouve neuf ans plus tard, accusée du meurtre de sa mère et de son mari. Elle est emprisonnée, jugée, innocentée. Disparaît encore. Épouse un lord anglais, s'installe à Brighton et finit enlevée au Maroc...
Sa vie est un roman.
Suivez les traces de l'intrigante Madame S, ou Meg, dans cette enquête palpitante qui vous emmènera dans les secrets de la France de Dreyfus, des crises d'Etat, de Felix Faure, de Zola ou encore d'une sexualité librement assumée...
EXTRAIT
Lorsque Meg visite la capitale, personne n'a oublié la Commune, la famine, les vingt mille morts. La basilique de Montmartre vient d'être terminée. Construite pour expier les crimes des communards « à l'origine des malheurs de la France », elle laisse imaginer aux monarchistes qu'ils ont fait rendre gorge à la Gueuse. Mais la République est bien là. Jules Grévy est déjà le troisième président, il a décrété le 14 juillet fête nationale et fait adopter la Marseillaise comme hymne de tous les Français. Il a surtout amnistié les communards, dont Jules Vallès.
Condamné à mort, l'auteur de L'Enfant et de L'Insurgé a quitté son exil londonien, pour reprendre, à Paris, la parution du Cri du peuple, l'organe révolutionnaire de la Commune. Il lui faut de l'aide et de l'argent. Il trouvera en cette chère Séverine une secrétaire de rédaction d'exception, et en son compagnon, Adrien Guébhard, un médecin dévoué, qui met aussi la main à la poche pour financer le journal. Avec Vallès, Séverine apprend le métier, publie ses premiers articles. Elle tient à bout de bras Le Cri du peuple, et en prend la direction quand Vallès meurt, chez elle, en 1885.
L'histoire de Marguerite Steinheil n'a pas encore commencé. Elle n'est encore que Mlle Japy, qui quitte Paris à la fin de l'été 1889 et reprend le train vers Bayonne.
CE QU'EN DIT LA CRITIQUE
"J'ai adoré ce livre écrit comme une enquête, qui m'a permis de développer un vrai attachement à Meg et m'a fait me questionner sur les affaires de la République. Avec Meg, je prends conscience que les disparités homme-femme ont souvent coûté cher à mes soeurs d'armes, et je dois dire que cela me révolte! A la question des jurés, je la déclare "non coupable". Et toi ?" - Kay 13, Babelio
L'auteure nous livre une belle biographie sur une des femmes les plus influentes mais aussi une des plus inconnues de cette période. Grâce aux recherches qu'elle a menées, nous vacillons entre une IIIème République bancale et déchirée par l'Affaire Dreyfus et l'histoire d'une femme qui a côtoyé les plus grands hommes du moment et qui finira par vouloir retrouver l'anonymat. Bref c'est extrêmement riche et on est captivé. - Ogrimoire, Babelio
À PROPOS DE L'AUTEURE
Historienne et psychanalyste, Sylvie Lausberg est présidente du Conseil des femmes francophones (Belgique), elle mène depuis près de vingt ans des recherches sur Marguerite Japy-Steinheil.
Bari vaut bien un meurtre. Un homme au passé trouble est retrouvé mort, tué d'un coup de couteau à la gorge. Une vieille voisine est absolument certaine d'avoir vu un jeune au comportement suspect s'enfuir du bâtiment où le crime a eu lieu. La femme a noté un numéro de plaque d'immatriculation et remarqué que le garçon avait jeté quelque chose dans une poubelle. À ce stade, l'affaire semble close. Mais Pietro Fenoglio n'est pas totalement convaincu, il sent que quelque chose d'étrange plane autour de ce meurtre. Sa persévérance permettra-t-elle de faire éclater la vérité ?
À PROPOS DE L'AUTEUR
Gianrico Carofiglio est né à Bari en 1961. Procureur, conseiller du Comité anti-mafia au Parlement italien, il a été sénateur de 2008 à 2013. Ses livres sont traduits dans le monde entier.
Quatre hommes se réveillent et découvrent qu'ils sont séquestrés. Quel lien peut bien les unir ? Ils vont devoir le découvrir rapidement...
Une fin d'été caniculaire qui transpire la vengeance, un mois de janvier polaire où la justice relève les compteurs. Entre ces deux temps s'installe un aller-retour oppressant, réglé comme une montre suisse à complication. La scène se passe entre Lausanne et La Chaux-de-Fonds. Quatre hommes sont enlevés et séquestrés dans des moulins souterrains désaffectés. Ils ne se connaissent pas et pourtant tout les réunit.
Le nouveau roman du procureur Feuz a l'échappement inquiétant d'un barillet dont on armerait le remontoir à vide. Implacable, impeccable. De la très grande horlogerie.
Un thriller oppressant, signé d'une main de maître.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Le meilleur des trois tomes de la série. [...] Cela démarre sur les chapeaux de roues, puis se déroule à fond la caisse, les actions et les meurtres s'accumulent, comme dans un épisode de 24h/chrono... - cathjack.ch
Tout pour bien faire dans ce troisième tome qui se veut plus émotionnel, plus fort avec des personnages beaucoup plus développés qui prennent corps, qui prennent substance. - Valérie, Sangpages.com
Comme toujours avec Nicolas Feuz, il y a nombre de rebondissements, le suspense reste constant jusqu'à la fin, impossible à deviner. [...] Le côté régional de ces polars les rend encore plus agréables et intéressants pour les habitants du coin. - PAT0212, patpolar48361071.wordpress.com
Quand une lecture vous capte de bout en bout, qu'une histoire vous embarque et que votre seule intention n'est bientôt plus que de tourner au plus vite la page qui vient, il faut le reconnaître : L'engrenage du mal a tout d'un bon livre, un bon polar comme on les adore ! - lettres-it-be.fr
À PROPOS DE L'AUTEUR
Nicolas Feuz est le procureur du canton de Neuchâtel, en Suisse. En 2010, il se lance dans l'écriture de polars, et remporte en 2015 le Prix du meilleur polar du Salon du livre de Paris.
Trois thrillers à succès suivront, tous publiés chez Slatkine & Cie et repris au Livre de Poche : Horrora Borealis (2018), Le Miroir des âmes (2018) et L'Ombre du renard (2019).
Vivant reclus et cherchant la solitude, Niels se retrouve malgré lui embarqué dans une enquête de meurtres en série...
« J'ai mis mes mains en visière au-dessus de mes yeux, car la surface des eaux brillait comme du mica, puis j'ai vu les rangées de tables à huîtres alignées à perte de vue. Sur un bateau à fond plat, des gendarmes s'affairaient. Certains étaient en train d'enfiler des combinaisons blanches, d'autres discutaient entre eux. Le bateau était amarré à une table. En fait de table, c'était des pieux métalliques plantés dans le fond de l'étang supportant des madriers sur lesquels étaient disposées des perches posées transversalement. Sur les perches étaient installées les cordes à huîtres et au bout de la table, il y avait la masse sombre mais parfaitement reconnaissable d'un homme.»
Niels s'est retiré loin du monde. Dans sa cabane de pêcheur, au coeur d'un Sud encore sauvage, il fabrique des leurres qu'il vend sur Internet. Coupé des hommes et de leur folie, il n'aspire qu'à la paix. Mais, à côté de chez lui, on découvre le corps sans vie d'un ostréiculteur. Puis d'un second. Les deux portent le même tatouage sur le bras. Niels se retrouve impliqué dans une affaire sordide qui le conduit sur les traces d'un vieux groupe de rock local dont les membres appartiennent, dit-on, à l'extrême droite.
Un thriller palpitant et renversant qu'il est impossible de lâcher une fois commencé !
À PROPOS DE L'AUTEUR
Charles Aubert était directeur commercial d'une société d'assurances. À la faveur d'un plan social, il décide de quitter la ville et s'installe au sud de Montpellier, avec femme et enfants. Il choisit une cabane au bord de l'étang des Moures, où il fabrique des bracelets-montres, à son rythme, en écrivant ses ouvrages. Après le succès de Bleu Calypso et de Rouge Tango, Vert samba est le nouveau polar doux de Charles Aubert.
Une prise d'otages dans une mine de sel, un passé entremêlé au présent, l'inspecteur Andreas n'a que quelques heures pour découvrir l'identité des ravisseurs et leurs motivations !
« Saler sa propre vie était une exhortation à être en paix avec soi-même et avec les autres. Saler sa vie signifiait s'élever contre toute forme d'injustice, de discrimination et d'intolérance. Saler sa vie, c'était mettre au coeur de son existence une exigence morale d'amour qui dépasse frontières et différences. Pourtant, ils étaient allés trop loin. »
Le 16 mai 1826, Aaron Salzberg descend d'une diligence sur la place de Bex. Il a quitté sa Pologne natale pour travailler dans les mines de sel qui font la notoriété de la petite ville suisse. Son exil dans les Alpes vaudoises va tourner à la tragédie. Près de deux siècles plus tard, l'inspecteur Andreas Auer est appelé en urgence : un homme, déguisé en Charlot, retient des otages dans la mine. Parmi eux, les élèves d'une classe de l'enseignement secondaire. Le compte à rebours commence.
Une enquête surprenante qui conduira le lecteur à remonter le passé...
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Mais quel polar ! Je ne connaissais Marc Voltenauer que de nom, n'ayant pas lu ses précédents ouvrages. Avec Les protégés de Sainte Kinga, j'ai été conquise dès les premières pages, à ne plus pouvoir lâcher le bouquin. Quel suspense ! - Cancie, Babelio
Il serait bien réducteur et simpliste de dire que cette nouvelle enquête de Marc Voltenauer via son inspecteur Andreas Auer ne manque pas de sel. Car elle ne manque pas non plus d'épices explosives et autres ingrédients gustatifs pour faire de ce thriller psychologique un plat de choix ; si l'oeuvre de l'écrivain suisse commence à prendre de l'épaisseur, cet opus est encore plus réussi que les précédents, véritable chevauchée fantastique au coeur des Alpes et les profondeurs des âmes humaines. - Squirelito, Babelio
Encore une captivante aventure d'Andreas Auer qui nous fait passer un très bon moment. Marc Voltenauer est un auteur que j'attend chaque année avec impatience et le cru 2020 ne m'a pas déçu.- GrandSchtroumpf, Booknode
À PROPOS DE L'AUTEUR
Après le succès de ses trois premiers polars, Le Dragon du Muveran, Qui a tué Heidi ? et L'Aigle de sang, publiés chez Slatkine & Cie et repris en poche chez Pocket, Marc Voltenauer est de retour avec une nouvelle enquête de l'inspecteur Andreas Auer.
Qui veut tuer Greta Thunberg ? Un tueur en série sévit entre Paris et Genève. Ses victimes ont toutes un point commun, elles se prénomment Greta.
Chargé de l'enquête, le procureur Jemsen est empêtré dans une procédure disciplinaire : il a fait libérer une de ses proches, activiste écologiste. Très vite, le meurtrier est identifié. Mais son nom correspond à celui d'un petit garçon décédé de longue date. Un assassin fantôme. La traque commence entre la France et la Suisse.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Nicolas Feuz est le procureur du canton de Neuchâtel. Les polars qu'il a publiés chez Slatkine & Cie, repris au Livre de Poche, ont chaque fois été numéro 1 des ventes en Suisse : Le Miroir des âmes (2018), L'Ombre du renard (2019), L'Engrenage du mal (2020) qui reprennent le personnage récurrent du Procureur Jemsen. Brume Rouge s'inscrit dans la continuité de cette série judiciaire. Il a aussi en outre publié quotidiennement en ligne pendant le premier confinement le feuilleton d'un polar devenu depuis un livre-événement : Restez chez vous (2020). En 2021, le procureur Feuz publie Heresix, un polar unique, qui se déroule en France
« Cet été je suis tombé amoureux et ma mère est morte. »
Sam, quinze ans, a trouvé un job de vacances dans un vieux cinéma de quartier, à Grady, Missouri. Sa vie va basculer.
Une merveilleuse histoire d'amour et d'amitié, par le plus talentueux romancier de la nouvelle littérature allemande.
Traduit de l'allemand par Dominique Autrand.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
« Un magnifique roman, qui touche au plus profond, au plus sensible, au plus tendre, au plus joyeux aussi. » Florence, librairie de Port Maria
À PROPOS DE L'AUTEUR
Benedict Wells est né en 1984 à Munich. Depuis La Fin de la solitude, tous ses romans sont publiés par Slatkine & Cie et repris au Livre de Poche. Hard Land, paru en Allemagne en 2021, est resté 52 semaines dans la liste des meilleures ventes du Spiegel et a déjà été cédé dans 17 pays.
Les Zinzins de l'espace, Oggy et les cafards, Zig et Sharko... Depuis deux générations, les enfants du monde entier rient de ces animations géniales qui nourrissent leur imaginaire. Et il y a aussi les longs métrages : Gainsbourg ou J'ai perdu mon corps qui ont marqué leur époque. Ce parcours hors normes est l'oeuvre du studio Xilam, un modèle de réussite à la française qui a glané les plus hautes récompenses, dont une nomination aux Oscars.
Marc du Pontavice, son créateur, raconte les hasards, les audaces, les succès comme les échecs d'une vie de producteur. L'histoire de trente ans d'animation, sur fond d'Iggy Pop.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Marc du Pontavice est une figure de l'audiovisuel français. Spécialisé, entre autres, dans la production de programmes d'animation pour le petit écran, il a notamment lancé les séries Les Zinzins de l'espace, Oggy et les cafards et Les Nouvelles aventures de Lucky Luke.
Quel est ce secret qui a fait mourir un pape et bouleverse l'ordre du monde ?
Pour tenir une promesse, Gioia Carminati entreprend de retrouver un manuscrit qui remonte à l'écriture des évangiles. Son enquête la conduit de Rome à l'Inde en passant par le Languedoc, où tout pourrait commencer. Mais elle n'est pas la seule à s'intéresser à ce texte interdit.
Un voyage mystérieux, la traversée de 2 000 ans d'histoire, un merveilleux roman pour oublier tout le reste.
À PROPOS DE L'AUTEUR
De la Corée à Las Vegas, de Mexico à Agadir, de Mombasa à Vienne, de Shanghai à Paris, Thao Tenet s'est nourri des secrets les plus intimes des hommes et des civilisations. Ingénieur de formation, la question des miracles et du divin vint à lui très tôt. Il dédie Le Secret de Marthe à tous ceux qui s'interrogent.
Ce roman noir de la justice française se déroule en 1977, sous la présidence Giscard d'Estaing, à quelques mois des législatives.
Robert Badinter vient de sauver de la peine capitale le meurtrier d'un enfant, Patrick Henry. Une clémence qui révolte les partisans de la guillotine, dont les plus ultras se recrutent chez les magistrats. Pour les durs de la magistrature, hier encore juges sous Pétain ou aux colonies, les têtes doivent continuer à tomber en France. Quoi qu'il arrive. La lutte est engagée avec ceux qui font le jeu, au sein de l'appareil judiciaire, de l'abolitionnisme. Et entre chers collègues, on se cache derrière la porte pour se frapper dans le dos.
Arrive Pierre Journiac, un procureur obscur à qui on confie justement d'obtenir des condamnations à mort. On sait peu de choses de lui, si ce n'est qu'il vit seul, qu'il chasse beaucoup et qu'il était en Algérie au pire moment. Mais dans cette France des années 70 qui a déjà peur et à qui l'on promet déjà la sécurité, Journiac est-il vraiment la bonne personne pour accomplir cette mission ?
À PROPOS DE L'AUTEUR
Vincent Courcelle-Labrousse est avocat au barreau de Paris et ancien secrétaire de la Conférence. Il a écrit avec Nicolas Marmié La Guerre du Rif (prix Lyautey).
Jonas Duval est un écrivain à succès. Il part à la recherche d'un père qu'il n'a pas connu et qui aurait été vu pour la dernière fois sur l'île Indigo. Au rythme d'une tempête annoncée, il découvre une nature fascinante, se confronte à la violence des hommes et rencontre une femme étrange et sauvage qui va changer sa vie. Entre aventure, quête initiatique et suspense, ce roman subtil et poétique est un voyage entre terre et mer où la beauté du monde et la profondeur des êtres finissent par se révéler.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Charles Aubert, à la faveur d'un changement de vie, quitte la ville et s'installe au sud de Montpellier avec sa famille. Il choisit une maison proche de l'étang des Moures, où il écrit ses romans, à son rythme.
L'inspecteur Auer quitte son petit village des Alpes vaudoises pour retourner sur les traces de ses ancêtres en Suède.
Après la révélation du lourd secret familial que sa soeur ne pouvait plus garder, Andreas retourne à Gotland sur les traces de son histoire personnelle.
En arrivant sur l'île, il est loin de s'imaginer que ce passé qui le hantait va devenir un cauchemar. Andreas se retrouve dans le cimetière de Fide devant... sa propre tombe. Et, à côté, celle de ses vrais parents et de sa soeur. Que s'est-il passé ?
La femme qui portait un masque de fer ne peut se permettre que la vérité éclate au grand jour. Une femme est retrouvée assassinée selon un ancien rite viking : sa cage thoracique est ouverte dans le dos, les côtes sectionnées et déployées comme des ailes...
Retrouvez l'inspecteur Auer dans un polar haletant sur les traces de son passé en plein coeur d'anciens rites vikings.
EXTRAIT
Andreas se réveilla en nage. L'horloge indiquait 4 h 30. Il avait la sensation désagréable d'avoir été tenu en éveil toute la nuit par son cerveau qui générait des images troublantes et angoissantes. Ces rêves pouvaient être d'origine post-traumatique, selon les dires de son psychanalyste. Ces dernières années, il avait vécu une multitude d'événements éprouvants et douloureux qui alimentaient ses cauchemars. Il parvenait à saisir l'origine de la plupart d'entre eux, mais celui qu'il venait de faire restait un mystère. Ce rêve revenait à intervalles réguliers. D'une fois sur l'autre, les détails différaient, de nouveaux éléments apparaissaient. Les oiseaux étaient parfois des aigles blancs, parfois de sinistres corbeaux noirs. Cette nuit, pour la première fois, les volatiles avaient pris un visage humain : l'un d'eux avait celui de Mikaël.
Avec le temps, Andreas avait l'impression que son rêve n'était pas seulement une représentation symbolique, mais qu'il renvoyait à un événement bien réel. Son inconscient tentait de faire remonter à la surface ce qui n'était sans doute pas qu'une chimère onirique, mais un souvenir tangible. Depuis que Jessica lui avait révélé son secret, il en était encore plus convaincu.
Andreas entra dans la cabine de douche, régla le mitigeur sur froid. L'eau glacée stimulait son organisme. Il sentait, sous son épiderme, le sang s'activer dans ses veines. La sensation de fatigue et la tension de la nuit disparurent au rythme de l'eau qui s'écoulait sur sa peau. Il ferma ensuite les yeux et leva la tête pour que le jet d'eau se déverse sur son visage. Ses pensées le transportèrent alors trois ans plus tôt. Il avait l'impression de revivre tous les instants de cette journée qui l'avait marqué au fer rouge. C'était le vendredi 5 avril 2013. Il voyait tout comme dans un film.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
C'est une plongée saisissante au coeur des Vikings et de leurs moeurs. Thor, Odin, sacrifices et coutumes barbares, runes, rites... Oserez-vous connaître le rite de "L'aigle de sang" ? - Elodie, Au Chapitre
L'écriture est fluide, le vocabulaire riche, il y a des fausses pistes et des rebondissements, bref, tout ce qu'il faut pour faire de polar un pur bonheur de lecture et un gros coup de coeur. - pat0212, Babelio
À PROPOS DE L'AUTEUR
Marc Voltenauer est né en 1973 à Genève d'un père allemand et d'une mère suédoise. Son premier roman, Le Dragon de Muveran, s'est vendu à plus de 60 000 exemplaires dans le monde francophone. En 2017, il poursuit les aventures d'Andreas Auer dans un second volume, Qui a tué Heidi ?, lui aussi numéro 1 des ventes en Suisse pendant plusieurs semaines.
Après la perte tragique de leurs parents dans un accident de voiture, trois orphelins tentent de se reconstruire à leur manière.
Jules n'a rien en commun avec ses frères et soeurs, Marty et Liz. Rien à part le tragique accident de voiture en France où ils passent toutes leurs vacances qui leur ôtent très jeunes leurs parents. Placés dans le même pensionnat froid et sans âmes, ils deviennent vite des étrangers les uns pour les autres, s'enfermant chacun dans une forme de solitude - écriture, drogue, écrans. Jules devient alors un loup solitaire. Jusqu'au jour où il rencontre la mystérieuse Alva, avec ses cheveux roux et ses lunettes en écailles. Elle sera son seul et unique amour. Les années passent. Mais le passé sera toujours là pour les rattraper.
La Fin de la solitude, lauréat du Prix de Littérature de l'Union Européenne 2011, est le roman du processus de deuil et de la solitude qui s'ensuit. Mais avant toute chose, c'est une grande histoire d'amour.
EXTRAIT
Je connais la mort depuis longtemps, mais désormais la mort me connaît aussi. Avec prudence, j'entrouvre les paupières, je cligne des yeux. L'obscurité se dissipe peu à peu. Une pièce nue, éclairée seulement par la lueur verte et rouge des appareils et le filet de lumière qui passe par la porte entrebâillée. Le silence nocturne d'un hôpital.
C'est comme si je sortais d'un rêve de plusieurs jours une douleur sourde et chaude dans la jambe droite, le ventre, la poitrine. Et dans la tête, un léger bourdonnement qui s'intensifie. Je devine ce qui a dû se passer. J'ai survécu.
Des images refont surface. Je quitte la ville à moto, j'accélère, je revois le virage devant moi. Les roues n'adhèrent plus, l'arbre fonce droit sur moi, j'essaie en vain de l'éviter, je ferme les yeux...
Qu'est-ce qui m'a sauvé ?
Je louche un peu pour inspecter mon corps. une minerve, la jambe droite immobilisée, sans doute un plâtre, la clavicule bandée. Avant l'accident, j'étais en bonne forme, en très bonne forme pour mon âge. C'est peut-être ce qui m'a aidé.
Avant l'accident... il y avait quoi avant ? Mais je ne veux pas m'en souvenir, j'aime autant repenser à ce jour où j'ai appris aux enfants à faire des ricochets ; aux mains gesticulantes de mon frère quand il bavardait avec moi. Au périple en italie avec ma femme, notre balade au petit matin le long d'une crique de la côte amalfitaine, quand tout s'éclaire autour de nous et que la mer écume doucement sur les rochers...
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Le John Irving que n'a pas écrit Irving. - New York Times
La fin de la solitude pourrait être la suite moderne de L'attrape-coeurs - Lettres-It-Be
Benedict Wells, le jeune prodige de la littérature Allemande. - Andrea Fies, ARTE
Benedict Wells raconte comment plusieurs personnages se croisent et tentent d'échapper à la solitude. - Contrepoints
On le referme le coeur lourd mais l'âme légère, bouleversé et attendri. - Toute la Culture
Benedict Wells a composé une merveilleuse histoire d'amour, à la fois triste, heureuse et bouleversante. - Hamburger Abendblatt
À PROPOS DE L'AUTEUR
À 24 ans, Benedict Wells publie le premier roman qu'il a commencé d'écrire à 16 ans, Becks, l'été dernier. La presse est unanime, il reçoit le prestigieux Prix des Arts et de la Culture.
En cours de traduction dans 24 pays, La Fin de la solitude, son quatrième roman, a été couronné par le Prix de Littérature de l'Union Européenne. En tête du palmarès des ventes du Spiegel pendant de nombreuses semaines consécutives, La Fin de la solitude est le premier des quatre livres de Wells que publie Slatkine & Cie.