Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Un petit livre qui aurait aussi pu s'intituler Dieu, tout simplement. Une approche, au plus prêt, de ce qui ne saurait se dire.
Par ce chant, le barde breton célébrait en 1981 l'amitié et le deuil d'un autre barde breton, X. Grall.
Un premier ouvrage qui ne laisse filer que quelques mots à chaque page. Une incisive retenue, qui suscite l'évidence dans la clarté de l'air.
Quatorze petits textes, poèmes de l'anodin, comme les qualifie l'auteur.
Des poèmes de la fille de Paul Valéry : une écriture nuancée, où la sensibilité ne va pas sans humour.
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L'ombre au cours d'un parcours, la lente révélation au cours de l'ombre entre les écorces et ramures porte, de la pensée à la parole et de la parole à l'écriture, un charme immédiat.
Parues dans la Nouvelle revue française en 1955, ces pages discrètes ne donnent pas tout à la première lecture. Elles ont les vertus, à la fois, de la retenue et du don sans retenue.
Voici la première présentation d'une oeuvre plus éloignée de nous qu'il n'y paraît d'abord. Pierre Oster, en effet, non content de remettre en chantier chaque page de ses Dieux, (et d'en multiplier comme à l'envi des versions toujours impossibles), a choisi de prouver jusque dans l'action littéraire la quasi-inexistence de ce qu'en vain l'on désigne sous le vocable trompeur de corpus. La poésie [...] à ses yeux ne possède aujourd'hui de valeur que propédeutique. Leçon que Valéry patronne ; mais l'auteur de La jeune Parque n'a-t-il pas trop vite renoncé à son grand projet d'écriture perpétuelle ? Bernadette Engel-Roux est la ferveur, la force, la finesse mêmes, et se montre capable d'indépendance dans l'analyse d'un univers presque contigu au sien. Une lecture incomparablement mobile lui dicte des inspirations que je crois pouvoir dire judicieuses. G. Olgiati
De la pensée, de la perfection, du détachement, de la non-présence, du silence... Ainsi s'ordonnent en une suite subtile les pensées du poète.
Les thèmes du désert et du désir apparaissent à Salah Stétié à la fois dialectiquement liés, et présents au coeur de toute démarche poétique, de toute mystique aussi bien, comme le manifestent leurs formulateurs. Ainsi, Jouve, Bonnefoy, Du Boucher, St-John Perse, mais aussi Hlderlin, Celan, Rilke, ou bien Maître Eckhart, Angelus Silesius, ou encore Hallâj, Djelâl-Eddine Roûmi, Imrûl'-Quays, Badr Chaker Es-Sayyâb, puis de nos jours Adonis (parmi d'autres), ont-ils en commun une sorte de secret, qu'ils assument chacun pour sa part, et qui relève de la fine pointe de l'être. Ce secret, Salah Stétié le vit intensément et sait ici l'offrir à partager, au cours d'une réflexion déployée en arabesque avancées aiguës et retours à l'antécédent, entrelacs analytiques et dénouements inversant les contraires constamment orientée sur et par les permanences originelles. Salah Stétié est né à Beyrouth, en 1929. Diplomate (ancien ambassadeur du Liban), écrivain (auteur de plus de vingt-cinq livres : poésie, essais, traductions...), il est de ceux qui, infiniment cultivés, ont dépassé la culture pour tenir un langage qui revivifie l'essentiel. De ceux, aussi, qui ont à coeur de faire se féconder mutuellement, dans l'attention et l'intuition partagées, les traditions occidentale et arabe. Et, parmi ceux là, il n'est pas le moindre, c'est le moins qu'on puisse dire.
Dans ces petites proses poétiques, Yann Le Chevalier n'intervient guère, n'interprète pas, ne cherche qu'à laisser simplement les choses nous dire leur vérité, aller leur cours en nous-même. Ah oui ! voilà des pages salubres, sans autre parti pris que l'attention au moment qui passe, et qui a failli passer sans qu'on n'y prenne garde... Sans qu'on l'aime ! Vraiment salubre, ce cours des choses.
Un poème en prose, qui approche et cerne les choses sans les nommer.
L'oeuvre de Saint-John Perse pose une énigme, que je tenterai de résoudre..., écrivait J. Paulhan. Une étude sur l'aventure de l'âme humaine.
Le discours prononcé lors du Congrès de l'association Les enfants du Gard le 17 mars 1962. Avec 12 crocodiles, emblème de Nîmes, dessinés par R. Wogensky.
L'auteur, naturaliste et ethnologue, nous livre les impressions de son deuxième voyage en Afrique, en 1925. En parcourant le Cameroun, le Tchad, le Sénégal, il réalisa 59 aquarelles reproduites ici.