Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Un récit fait par un journaliste qui, observateur du parti socialiste depuis la Libération, témoigne, raconte des événements auxquels il a lui-même assisté et, pour certains, pris part.
Des « maîtres », des prêtres et des religieuses, des ouvriers, des instituteurs et des paysans ; des hommes et des femmes de toutes origines, de tous milieux sociaux, de tous partis... tels sont ceux que Michel Dion a rencontrés, ceux qu'il a écoutés parler de la politique, telle qu'ils la conçoivent, telle qu'ils la vivent. Avec eux nous découvrons la France profonde, celle qui reste la « fille aînée de l'Église ». À travers de larges extraits de leurs propos, qu'il explicite par ses propres analyses, Michel Dion nous aide à mieux percevoir le glissement à droite des mentalités. En faisant ressortir les racines profondes du refus de la politique d'un peuple hautement politisé, il nous montre les chemins qu'emprunte celui-ci pour construire de nouvelles façons de « faire de la politique ».
Le 1er mai 1890, une grande journée internationale de manifestations en vue de réduire à huit heures la durée légale de la journée de travail. Le 1er Mai est né, fruit des luttes ouvrières du 19e siècle finissant.
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Le but de ce livre est de recueillir de façon concise les informations de la presse et quelques réflexions politiques.
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Qu'est ce qui est inhibé dans l'homme, comment libérer les potentialités de chaque individu ? Voilà la question centrale posée par Lucien Bonnafé qui traite, au fond, des libertés et de la liberté tout au long de son oeuvre, lui qui persiste à « demander la lumière à la région des ténèbres ». Toute réflexion de la part d'un psychiatre est enracinée dans un ensemble, et s'il vaut mieux prévenir que guérir les effets du « mal de vivre », on ne saurait réduire cette prévention à une dimension étroitement technique. Les textes ici rassemblés, s'ils témoignent à trente ans d'intervalle de la permanence de cette critique féconde de la psychiatrie, donnent à voir également la fertilité d'une pensée jamais dogmatique, jamais enclose dans les bornes d'un découpage professionnel du savoir. Aider tout un chacun à disposer librement de soi suppose l'examen minutieux des conditions oppressives de l'existence, la prise en compte du cadre de vie, du temps de vivre, de la relation humaine, du langage, de la poésie et des possibilités contenues en chacun de cultiver au mieux l'art de reconnaître et de combattre toutes les contraintes pour vivre plus libre. L'auteur s'est plu à emprunter au Paysan de Paris d'Aragon les paroles qui invitent, par les voies de l'amour, à une « grande résolution philosophique des ténèbres ».
« Syndicalisme en crise », « classe ouvrière découragée », « CGT solitaire et repliée sur elle-même », voilà ce qu'on entend depuis quelques mois dans la presse écrite et parlée... Qu'en est-il en réalité ? Après « Syndicats et luttes de classe », « Syndicats et socialisme », Henri Krasucki, secrétaire confédéral de la CGT, directeur de La Vie Ouvrière, nous donne à nouveau un livre qui traite à fond des problèmes syndicaux en France aujourd'hui, sans rien esquiver, dans un style direct, à l'intention d'un large public de travailleurs, de syndicalistes et de tous ceux qu'intéressent l'évolution des luttes sociales et le mouvement de la société. Peut-on lutter avec succès pour défendre les revendications des salariés ? Qu'est-ce qu'on entend par « recentrage » de la CFDT ? Plus généralement, qu'est-ce que la lutte pour l'unité d'action syndicale et pour l'union en vue de changements fondamentaux, dans un contexte de crise, où certains se laissent séduire par les sirènes du réformisme et de la collaboration de classe ? Questions d'importance et de brûlante actualité, sur lesquelles ce livre vous apprendra certainement quelque chose.
La dialectique serait-elle passée de mode - avec le marxisme ? Pour admettre cette thèse, il faudrait admettre également qu'il y eut un mode de penser dialectique. À coup sûr, le marxisme suscita à certaines époques (vers 1956, vers 1968), un engouement dans les milieux intellectuels et universitaires qui débordait de beaucoup les spécialistes de Marx et les cercles politiquement intéressés. Ceci avant la « crise du marxisme » qu'il ne faut pas confondre avec la fin d'une mode. Mais la dialectique ? Il n'est pas assuré, aujourd'hui, qu'elle ait bien « pris », qu'elle se soit bien greffée sur une tradition cartésienne éprise d'une certaine clarté et d'une évidence qui se situe au début du raisonnement. Alors que la pensée dialectique avance, parfois se modifie et change en cours de route et ne trouve son déploiement qu'à la fin. Pourtant la dialectique continue. Comme tendrait à le prouver la réédition de ce livre, qui cherche sans le dissimuler à enseigner la dialectique, c'est-à-dire la démarche (méthode) qui, sans abolir la logique, mais sans rester dans ses limites, analyse les contradictions dans le savoir et les conflits dans la réalité. La pensée dialectique s'avère alors plus souple, plus affinée que la simple logique et que la théorie des évidences dans la pensée distincte et claire.
Le Parti communiste, par sa nature même, exige des approches historiques nouvelles et diversifiées. Replacer le Parti communiste dans le milieu dans lequel il évolue permet de mieux comprendre les raisons de ses succès et de ses échecs. Outre le Parti et son organisation, l'influence électorale et les conditions structurelles (« le milieu »), une étude d'implantation doit aussi, par des méthodes appropriées, rendre compte de la présence diffuse du Parti dont on est amené à mesurer au fil des années tout l'impact. Cet ouvrage présente plusieurs volets : une synthèse temporaire et problématique de l'implantation du Parti Communiste en France et dans la région parisienne dans l'entre-deux-guerres ; des types méthodologiques d'approches : une commune ouvrière (Ivry), un arrondissement parisien (le 18e), des logements collectifs (Bagneux), une entreprise (Renault), des militants (le Cher), une élection révélatrice (le Var).
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Dans cet ouvrage, l'auteur a voulu aussi bien remettre en cause les simplifications abusives véhiculées à son sujet que répondre aux interrogations du public français.
Le livre formule de multiples propositions précises d'action dans les entreprises et les régions. Il présente une politique nouvelle. Il milite pour des libertés autogestionnaires.
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Faire mieux comprendre les Etats-Unis et le peuple américain, son existence réelle, concrète, tel est le but de cet ouvrage.
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La Bête sauvage, débridée et insatiable, c'est l'image choisie par Hegel pour désigner la société civile lorsqu'elle n'est plus qu'un marché, lorsque se réalise l'hégémonie du libéralisme (ou néo libéralisme). Alors, le conditionnement capitaliste devient tout-puissant... Comment se fait-il que cette métamorphose économique et spirituelle, effectuée par la société française au cours des dernières décennies, soit totalement incomprise, prétexte à toutes les méprises, non-dit et non su d'une époque qui croit tout dire et tout savoir ? La prétendue dénonciation de la prétendue « société de consommation » par les prétendus freudo marxistes n'a été que le meilleur camouflage de la Bête sauvage. L'idéologie du néo capitalisme veut que son libéralisme libertaire soit confondu avec la liberté humaine. Mais l'une des raisons essentielles de la méconnaissance de la nouvelle société ne réside-t-elle pas dans la dogmatisation du marxisme, responsable d'un important retard théorique (retard au demeurant souligné par le 24e Congrès du PCF) ? Le dogmatisme a engendré un très curieux phénomène d'archaïsme polémique : toute la vie culturelle et politique s'est agglutinée sur la défense ou la condamnation d'une autre société, d'une autre époque, d'une autre économie politique, d'une autre stratégie révolutionnaire. Débusquer la Bête sauvage sera définir l'ultime lutte des classes, celle de l'affrontement de la stratégie capitaliste du pourrissement de l'histoire et de la stratégie révolutionnaire en pays « post-industrialisé ».
L'intellectuel est un individu qui a acquis quelque notoriété dans le domaine culturel et qui l'utilise dans la vie politique pour dire le juste et le vrai. C'est d'une institution typiquement française que ce livre raconte l'histoire. Mais aujourd'hui, comme beaucoup d'institutions, celle-ci est en crise. Ainsi défini, l'intellectuel a du mal à porter les conquêtes de notre siècle : celles de la connaissance, du développement scientifique et technique, des avancées artistiques. S'agit-il d'un constat pessimiste : les intellectuels seraient-ils définitivement enfermés dans « le music-hall des âmes nobles » et dans la frivolité mondaine ? Certainement pas : simplement la représentation traditionnelle des intellectuels ne coïncide plus avec ce qu'ils sont devenus. Les voies de leur engagement dans la culture sont désormais autres et l'idée même de culture doit être élargie...
Le 16 octobre 1940, André Tollet, secrétaire de l'Union des syndicats CGT de la région parisienne, est arrêté par la police française. Conduit à la Santé, il est ensuite transféré au camp de Royallieu, près de Compiègne. Il s'évadera le 21 juin 1942, rejoindra le combat de la Résistance et deviendra président du Comité parisien de Libération. Ce sont ces longs mois d'emprisonnement qu'André Tollet nous décrit dans le Souterrain. Surtout, ce livre est le récit du travail acharné pour creuser le tunnel qui permettra à l'auteur et à dix-huit de ses compagnons de retrouver la liberté.
Ce livre repose sur l'hypothèse que tout progrès dans la connaissance du travail impose d'associer les travailleurs eux-mêmes à la recherche et à la réflexion théorique.
Au coeur de ce livre, une grande question : la libération de la femme. Où en sommes-nous ? Comment avancer ? Que proposent les communistes ? Dans les trente dernières années, la vie des femmes a été complètement bouleversée : nouvelle place dans le travail, la société, maîtrise de la maternité... Les progrès de notre époque leur ouvrent d'immenses possibilités. L'égalité est à portée de la main. Pourtant, sur le chemin difficile de leur émancipation, les femmes rencontrent des obstacles qui sont le produit d'un vieil ordre social fondé sur l'exploitation et l'oppression : difficultés de vie, discriminations, mentalités rétrogrades. La lutte des femmes est une dimension essentielle du combat pour la libération humaine qui travaille aujourd'hui le monde. Dans notre pays, elle appelle une société de justice et de liberté : le socialisme à la française. Cette nouvelle société que les communistes veulent construire avec les femmes sera riche de leurs aspirations, de leurs conquêtes, de leur volonté de bonheur. Ce livre, en abordant tous les sujets qui tiennent au coeur des femmes, a été écrit pour toutes celles qui luttent, qui espèrent dans le changement intervenu le 10 mai. C'est un message d'espoir, de confiance, pour mieux comprendre la condition des femmes et pour la transformer.
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