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Littérature
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La poesie revelatrice
Savard-Huot Helene
- Les Éditions Crescendo!
- Pulsion
- 9 Septembre 2014
- 9782897261818
Cet ouvrage utilise la poésie comme un jeu d'ombre et de lumière à travers lequel vous pourrez trouver votre voix, votre voie, votre vie. Une invitation à mieux vous connaître mais aussi de partir à la découverte de l'autre.
Nul besoin d'être expert. Il s'adresse à tous. Enfants, adolescents, adultes, hommes ou femmes, jeunes ou sages, parents ou grands-parents qui veulent explorer les sentiers du coeur et la fontaine de la vie grâce aux mots.
Parcourez les thèmes dans l'ordre chronologique suggéré et faites les exercices proposés. Ces étapes vous permettront d'acquérir de meilleurs atouts pour vous lancer dans la création poétique.
Finalement, vous pourriez également jouer à La Poésie révélatrice en formant équipe avec un enfant ou un adolescent qui vous révèlera, comme un prisme, des facettes de votre enfant intérieur ou de votre propre jeunesse enfuie. Vous bénéficierez d'une amitié ou d'un amour renouvelé et créerez
des joies inédites lors d'échanges riches de sens.
En prime, l'analyse du dernier thème vous offrira une clé sur l'inconscient.
Bref, tout un voyage au coeur de l'être humain. Une invitation à se découvrir,
à se révéler, à mieux se comprendre.
Ouvrez-vous comme une fleur, en laissant la pluie bienfaisante des mots arroser votre coeur dévoilant ainsi votre âme.
La Poésie, c'est aussi de l'amour ! -
America hors-piste est un poème-récit qui nous convoque à la traversée du continent américain en dehors des sentiers battus : s'y révèle l'âme du voyageur immigrant, ou plutôt de l'étranger en chacun de nous. Il nous invite à prendre le pouls d'une terre en friche. À travers les réminiscences du passé, les «éclaboussures de voix», l'homme est aux abois, interpelé par des effluves sauvages, le relief d'une démesure qui s'infiltre comme douleur et promesses. Un univers qui lance le défi; un monde à conquérir où s'entrecoupent les repères du temps et de l'espace.
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Y marcher jusqu'à l'orée dévoile une suite d'instants au fil des saisons, s'allongeant parfois en prose libre relatant une ambiance (haïbun), premier recueil de haïku et de haïbun écrits de 2005 à 2008. Telles les pierres blanches semées le long du chemin emprunté, ses poèmes en trois vers (haïku) se veulent autant d'évocations ramenant le lecteur vers ses propres émotions face aux joies et revers captés dans l'intimité du quotidien.
fraîcheur de juillet
dans le ruisseau de la Mule -
juste encore un peu
Dénuée d'intellectualisme, cette poésie est l'art du non-dit exprimant une empathie envers des éléments d'un univers partagé, offrant ainsi au lecteur une ouverture en continuité avec sa propre expérience et lui laissant toute liberté de ressentir la scène à sa guise. -
Cet ouvrage poétique puise son inspiration à la naissance de notre humanité. Il explore la vie des origines, celle dont nous sommes issus et dont nous voudrions nous extraire, mais qui continue de teinter nos comportements. Mais cette force atavique qui sommeille en nous n'est pas le seul sujet de réflexion car le fleuve endormi, c'est aussi le flot pulsionnel qui se retrouve en nous, comme individu, nous pousse à agir et à nous transformer, au fil du temps et des expériences.Jean-Guy Olivier prend tour à tour dans les idées des romantiques et des parnassiens pour proposer à la lecture les thèmes qui lui sont chers : la dignité et l'autonomie de l'art, l'adoration de la beauté et la saine nécessité du travail impeccable. Mais l'originalité du texte réside sans doute dans l'idée que pour son développement, l'être humain doive demeurer en lien avec l'autre et avec son environnement.Et comme le dit si justement Nicolas Sarrasin dans sa préface : « ce recueil constitue un hommage à la beauté et à la simplicité devant les plus spectaculaires et les plus obscures facettes de la vie. C'est une vaste fresque d'où surgissent les allégories d'une humanité s'abreuvant à la lumière du monde? »
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Le corps en écharpe c'est le corps qui se souvient et qui cherche son identité à travers la musique. Il raconte sa survie grâce à une parole donnée et abandonnée.Le corps en écharpe c'est l'amour des mots. Parfois récits parfois proses poétiques volontairement imbriqués pour n'offrir qu'une vision de nos propres guerres, de toutes les belligérances. Puis, en filigrane, la décimation identitaire, un appel à la délivrance.Le corps en écharpe c'est oser nommer l'innommable et le tabou, déterrer ce qui se terre en soi ou qui nous colle à la peau comme une sangsue. Cette chose qui nous suit insidieuse, qui nous habite, moteur de nos actions.
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Quand j'entrerai dans mon métier de morte
Thibaudeau Claudine
- Les Éditions Crescendo!
- Pulsion
- 13 Août 2011
- 9782923715988
Depuis que je sais lire et écrire, la poésie m'habite. Ma mère m'apprit à connaître et à dire les grands poètes. Libres penseurs, mes parents me permirent d'évoluer sans pression vers une spiritualité étrangère à toute religiosité. À vingt ans, j'écrivais déjà. Il m'a fallu l'insistance de mes amis pour me décider à offrir mon premier recueil de poèmes à Marcel Broquet. Totalement dépourvue d'ambition personnelle, je croyais plus important de faire connaître nos excellents poètes plutôt que de me consacrer à la diffusion de mes écrits. J'avais pris à c?ur le progrès culturel de la ville où j'avais grandi . J'étais la privilégiée, «la fille du château ». Déjà, à cet âge si tendre, on me saluait avec respect. Ce traitement de faveur, immérité bien sûr, a fait de moi une incorrigible marginale.Ma poésie, soigneusement enfouie dans le tiroir de mon bonheur-du-jour, fut tirée de sa cachette avec beaucoup de réticence. Quand ce petit recueil verra le jour, j'espère que cette mort que j'aurai tenté d'apprivoiser tout au long de ces pages, apparaîtra moins hostile aux quelques lecteurs qui feuilletteront ce témoignage d'une âme en quête de » l'inespérable » pour emprunter le mot de mon cher poète Jean Royer.elle brandit son âge comme un trophéeoutil de sa survie, panoplie de combatson rire mitrailleur assassine le temps
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Ces paroles de nacre vont jusqu'à la limite d'elles-mêmes, interrogent le mal, la mort, et cherchent, derrière le chaos, les racines de la paix et de l'amour.
Le verbe ici est imagé, lumineux, riche en émotion, d'une désarmante et complexe transparence et simplicité.
De l'ensemble de ces pages aux écorchures vives se dégagent, avec un style concis, lapidaire, le désir d'un monde meilleur et un appel à la fraternité universelle.
La dernière suite poétique de ce recueil rend un vibrant hommage à l'apport exceptionnel de l'oeuvre de Brigitte Bardot qui enseigne « aux analphabètes de la douceur / l'éclatant cadeau de / vivre libre ».