"Solennels parmi les couples sans amour, ils dansaient, d'eux seuls préoccupés, goûtaient l'un à l'autre, soigneux, profonds, perdus. Béate d'être tenue et guidée, elle ignorait le monde, écoutait le bonheur dans ses veines, parfois s'admirant dans les hautes glaces des murs, élégante, émouvante, exceptionnelle, femme aimée, parfois reculant la tête pour mieux le voir qui lui murmurait des merveilles point toujours comprises, car elle le regardait trop, mais toujours de toute son âme approuvées, qui lui murmurait qu'ils étaient amoureux, et elle avait alors un impalpable rire tremblé, voilà, oui, c'était cela, amoureux, et il lui murmurait qu'il se mourait de baiser et bénir les longs cils recourbés, mais non pas ici, plus tard, lorsqu'ils seraient seuls, et alors elle murmurait qu'ils avaient toute la vie, et soudain elle avait peur de lui avoir déplu, trop sûre d'elle, mais non, ô bonheur, il lui souriait et contre lui la gardait et murmurait que tous les soirs ils se verraient."
Ariane devant son seigneur, son maître, son aimé Solal, tous deux entourés d'une foule de comparses : ce roman n'est rien de moins que le chef-d'oeuvre de la littérature amoureuse de notre époque.
Dans cet ouvrage, l'auteur a voulu célébrer ses deux mères : l'esseulée et la vaillante, l'étouffée et la valeureuse, la jetée-dans-la-fosse et la toute-donnée.
La première, celle qui lui a donné le jour, une paysanne, à la suite d'un amour malheureux, d'un mariage qui l'a déçue, puis quatre maternités rapprochées, a sombré dans une profonde dépression. Hospitalisée un mois après la naissance de son dernier enfant, elle est morte huit ans plus tard dans d'atroces conditions.
La seconde, mère d'une famille nombreuse, elle aussi paysanne, a recueilli cet enfant et l'a élevé comme s'il avait été son fils.
Après avoir évoqué ces deux émouvantes figures, l'auteur relate succinctement son parcours. Ce faisant, il nous raconte la naissance à soi-même d'un homme qui est parvenu à triompher de la "détresse impensable" dont il était prisonnier. Voilà pourquoi "Lambeaux" est avant tout un livre d'espoir.
« Tant qu'il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles », écrivait Victor Hugo dans la préface des Misérables.
Dénoncer la misère, tenter de faire changer la société de son époque, tels sont bien les buts qu'il poursuit dans ce roman monumental dont les héros sont tous entrés dans l'imaginaire collectif.Très influencé par le roman-feuilleton, Victor Hugo ne néglige aucune des ressources qu'offre le romanesque. Jean Valjean, le forçat libéré, Fantine, la malheureuse fille mère, Cosette, l'enfant martyre, Gavroche, le gamin de Paris, ou encore l'impitoyable Javert entraînent ainsi le lecteur dans une intrigue foisonnante qui le mène de Paris à Montreuil-sur-Mer, de l'infâme auberge des Thénardier aux héroïques barricades républicaines du début des années 1830...Bibliolycée propose :
o un choix d'extraits annotés,
o un questionnaire bilan de première lecture,
o des questionnaires d'analyse de l'oeuvre,
o six corpus accompagnés de questions d'observation, de travaux d'écriture et de lectures d'images,
o une présentation de Victor Hugo et de son époque,
o un aperçu du genre de l'oeuvre et de sa place dans l'histoire littéraire.
Il est le plus célèbre des profs de philo, il eut comme élèves Simone Weil, Raymond Aron ou encore Julien Gracq, qui voyait en lui un "admirable éveilleur". Au XXIe siècle encore ses "Propos sur le bonheur" sont étudiés dans la plupart des cours de philosophie en terminale. La raison ? Alain le moraliste était concis, limpide et concret, et il parvenait à faire aimer les penseurs et la pensée. Aujourd'hui, on parlerait presque de philosophie pratique, tant ses propos sont ancrés dans le réel de nos émotions et de la vie quotidienne.
Cette édition est augmentée de sept nouveaux propos sur l'apparence et la vérité, la rhétorique et l'éloquence, l'intelligence au travail et l'art d'enseigner, et plus généralement sur les moyens de savoir ce qu'on pense.
Alors que le premier tome est publié à compte d'auteur chez Grasset en 1913 grâce à René Blum (Proust en conserve la propriété littéraire), la guerre stoppe la publication du deuxième tome et permet à Proust de remodeler son oeuvre, cette dernière prenant de l'ampleur au fil des nuits de travail épuisant. L'auteur retravaille sans cesse ses dactylographies autant que ses brouillons et ses manuscrits, et souhaite interrompre sa collaboration avec l'éditeur. La Nouvelle Revue française, dirigée par Gaston Gallimard, est en pleine bataille éditoriale avec Grasset depuis 1914 mais a commis l'erreur de refuser en 1913 de publier Du côté de chez Swann par l'entremise d'André Gide, figure dominante du comité éditorial de la NRF qui juge que c'est un livre de snob dédié à Gaston Calmette, directeur du Figaro. Extrait : De tous les modes de production de l'amour, de tous les agents de dissémination du mal sacré, il est bien l'un des plus efficaces, ce grand souffle d'agitation qui parfois passe sur nous. Alors l'être avec qui nous nous plaisons à ce moment-là, le sort en est jeté, c'est lui que nous aimerons. Il n'est même pas besoin qu'il nous plût jusque-là plus ou même autant que d'autres. Ce qu'il fallait, c'est que notre goût pour lui devînt exclusif. Et cette condition-là est réalisée quand -- à ce moment où il nous a fait défaut -- à la recherche des plaisirs que son agrément nous donnait, s'est brusquement substitué en nous un besoin anxieux qui a pour objet cet être même, un besoin absurde que les lois de ce monde rendent impossible à satisfaire et difficile à guérir -- le besoin insensé et douloureux de le posséder.
À l'ombre des jeunes filles en fleurs est le second tome d'À la recherche du temps perdu de Marcel Proust publié en 1919 chez Gallimard. Il reçoit la même année le prix Goncourt. Extrait : Seulement, quand le milieu du mois de janvier approcha, une fois déçues mes espérances d'une lettre pour le jour de l'an et la douleur supplémentaire qui avait accompagné leur déception une fois calmée, ce fut mon chagrin d'avant «~les Fêtes~» qui recommença. Ce qu'il y avait peut-être encore en lui de plus cruel, c'est que j'en fusse moi-même l'artisan inconscient, volontaire, impitoyable et patient. La seule chose à laquelle je tinsse, mes relations avec Gilberte, c'est moi qui travaillais à les rendre impossibles en créant peu à peu, par la séparation prolongée d'avec mon amie, non pas son indifférence, mais ce qui reviendrait finalement au même, la mienne. C'était à un long et cruel suicide du moi qui en moi-même aimait Gilberte que je m'acharnais avec continuité, avec la clairvoyance non seulement de ce que je faisais dans le présent, mais de ce qui en résulterait pour l'avenir~; je savais non pas seulement que dans un certain temps je n'aimerais plus Gilberte, mais encore qu'elle-même le regretterait, et que les tentatives qu'elle ferait alors pour me voir seraient aussi vaines que celles d'aujourd'hui, non plus parce que je l'aimerais trop, mais parce que j'aimerais certainement une autre femme que je resterais à désirer, à attendre, pendant des heures dont je n'oserais pas distraire une parcelle pour Gilberte qui ne me serait plus rien.
Ce livre numérique présente "La Guerre et la Paix (Texte intégral)" avec une table des matières dynamique et détaillée et des notes du traducteur.
La Guerre et la Paix ou Guerre et Paix est un roman de Léon Tolstoï. Publié entre 1865 et 1869 dans Russkii Vestnik, un périodique de l'époque, ce livre narre l'histoire de la Russie à l'époque de Napoléon Ier (notamment la campagne de Russie en 1812). La Guerre et la Paix fut à l'époque de sa publication un immense succès, bien que Tolstoï ne s'y attendît pas. La richesse et le réalisme de ses détails ainsi que ses nombreuses descriptions psychologiques font qu'il est souvent considéré comme un roman majeur de l'histoire de la littérature. Tolstoï y développe une théorie fataliste de l'histoire, où le libre arbitre n'a qu'une importance mineure et où tous les événements n'obéissent qu'à un déterminisme historique inéluctable. La Guerre et la Paix a engendré un nouveau genre de fiction. Bien qu'aujourd'hui considéré comme un roman, cette oeuvre a cassé de si nombreux codes du roman de son époque que de nombreux critiques ne le considérèrent pas comme tel.
Le célèbre roman médiéval, dans une adaptation nouvelle qui en restitue toute la saveur malicieuse et satirique. En lien avec le thème « Résister au plus fort » du nouveau programme de français en 6e.
L'oeuvre
Dans cette sélection de quinze récits issus du roman médiéval, c'est Renart, le nargueur universel, qui tient la vedette et nous fait rire avec ses mille et une ruses.
Le dossier pédagogique et l'enquête
o Le dossier pédagogique comprend :
- des propositions d'ateliers à faire en classe ;
- un guide de lecture avec des repères et un parcours en 8 étapes ;
- un groupement de textes et images, sur le thème « Le triomphe de la ruse »..
o L'enquête « Hommes et animaux au Moyen Âge » porte sur la vie à la campagne et la cohabitation des hommes et des animaux au Moyen Âge.
Pour l'enseignant
Sur www.classiquesetcie.com, en accès gratuit réservé, un guide pédagogique, avec un descriptif complet de la séquence, et des fiches d'activités photocopiables.
Roman de cape et d'épée. L'aventure avec un A majuscule.
Roman de pur plaisir. Nostalgique ? Peut-être... Trop vite lu ? Peut-être encore... Mais ne soyez donc pas déçu, puisque l'aventure continue « vingt ans après ».
Cette édition de référence propose dans un même volume, deux grands romans d'aventures d'Alexandre Dumas, « Les trois mousquetaires » et sa suite « Vingt ans après »...
Format professionnel électronique © Ink Book édition.
Été 1865, Saint-Pétersbourg. Écrasé par la pauvreté, le jeune Raskolnikov doit abandonner ses études. Arpentant la ville, désorienté, il se croit appelé à un grand avenir et, dédaigneux de la loi morale, fomente le meurtre de sa logeuse, une vieille usurière. Mais en réalisant ce " songe monstrueux ", il sombre : les conséquences de son acte le rongent. Jusqu'à ce qu'il finisse par se rendre et accepter la condamnation, seule voie de rédemption pour lui.
OEuvre majeure de la littérature russe,
Crime et Châtiment est le roman de la déchéance humaine, Raskolnikov son témoin incarné. Écrivain de la conscience et du doute, Dostoïevski offre, avec cette plongée troublante dans la psyché d'un criminel, une vibrante réflexion sur la dualité de l'Homme, son mystère, et les possibles lueurs de son salut.
Toutes les histoires du premier volume excitent tellement la curiosité, qu'en effet il est bien difficile de n'avoir pas envie de savoir le reste, surtout lorsqu'on peut dire ce que le sultan disait de sa femme en se levant ; JE LA FERAI TOUJOURS BIEN MOURIR DEMAIN.RÉSUMÉ Le sultan Schahriar, irrité de l'infidélité de sa sultane, prend le parti de faire étrangler, le matin, sa nouvelle épouse de la veille. La fille de son vizir parvient à faire cesser ces noces meurtrières, et à sauver sa propre vie en amusant le sultan par des contes.
LE LIVRE Le sultan Shahryar, en représailles à la suite de l'infidélité de son épouse, la condamne à mort et, afin d'être certain de ne plus être trompé, il décide de faire exécuter chaque matin la femme qu'il aura épousée la veille. Shéhérazade, la fille du grand vizir, se propose d'épouser le sultan. Aidée
de sa soeur, elle raconte chaque nuit au sultan une histoire dont la suite est reportée au lendemain. Le sultan reporte l'exécution de jour en jour afin de connaître la suite du récit commencé la veille. Peu à peu, Shéhérazade gagne la confiance de son mari et finalement, au bout de mille et une nuits, il renonce à la faire exécuter.
50 , , , . , « , », « », « », « , ». . , 2002 , . .
" Prince des philosophes ", selon Deleuze, " moment crucial de la pensée moderne ", selon Hegel, Baruch Spinoza (1632- 1677) est considéré comme le philosophe le plus dérangeant du XVIIe siècle. Héritier dissident de Descartes, il décida de suivre la raison jusqu'au bout et élabora ainsi une philosophie radicalement neuve, aux conséquences révolutionnaires. Ce volume permet d'accéder à l'intégralité de ses écrits dans les traductions originelles de Charles Appuhn, depuis Les Principes de la philosophie de Descartes jusqu'au chef-d'oeuvre qu'est l'Éthique, en passant par le Traité politique, le Traité théologico-politique, le Traité de la réforme de l'entendement, le Court Traité, les Pensées métaphysiques et la correspondance. Outre la rigueur métaphysique préfigurée par le Court Traité et accomplie dans l'Éthique, on voit ici se déployer une réflexion de grande envergure et aux directions multiples. Politique d'abord : Spinoza traite du droit naturel, du contrat social, de la nature des régimes et des États, comme de la place des affects dans l'élaboration d'un champ social. Théologique ensuite : il teste une nouvelle méthode littérale de lecture de la Bible, en attribuant à l'interprétation une portion congrue. Morale enfin : le philosophe interroge les thèmes de la liberté, du bien et du mal dans leur existence même. Autant de domaines où s'affirme la volonté de n'obéir qu'à la raison et d'en accepter les verdicts et les principes. Nul n'a mieux défini que Spinoza ce que signifie philosopher : " Ne pas rire, ne pas déplorer, ne pas haïr, mais comprendre. "
Le Râmâyana est l'un des écrits fondamentaux de l'Hindouisme. Ce texte sacré, d'une force incroyable, suscite encore de nos jours une immense ferveur.
Pour la première fois chez " Bouquins ", les oeuvres complètes du plus grand des historiens romains, accompagnées de nouvelles traductions.Né en Gaule Narbonnaise, le plus grand des historiens romains a vécu entre la seconde moitié du Ier et le début du IIe siècle. Une période sombre durant laquelle se succèdent à la tête de l'Empire des souverains fous et sanguinaires, comme Tibère, Caligula et Néron, et des empereurs plus respectueux de la morale et du peuple, tels Vespasien, Titus et Domitien.
Historien, Tacite l'est à part entière. Il s'appuie sur des informations vérifiées, évitant les deux écueils principaux qui menacent la relation exacte des faits : la flatterie et la haine du pouvoir. C'est aussi un portraitiste admirable de précision et de vitalité, un moraliste au patriotisme intransigeant qui dénonce les turpitudes des empereurs comme celles de la plèbe, un conteur dont les évocations de la Rome antique restent inégalées.
Tacite s'est mis tardivement à la composition littéraire, vouant d'abord son talent à l'art oratoire. L'oraison funèbre qu'il consacre à son beau-père,
La Vie de Julius Agricola, est un véritable manifeste politique contre le régime. Dans le
Dialogue des orateurs, il traite des problèmes de fond et de forme liés à l'exercice de l'éloquence. Ces premières oeuvres et la suivante,
De la Germanie, ont pour trait commun une analyse riche et documentée de l'histoire de son temps ; les trois livres sont présentés ici dans de nouvelles traductions de Catherine Salles. Suivront
Les Histoires et
Les Annales, sommes fondamentales dans lesquelles transparaissent les deux préoccupations majeures de l'auteur : la dégénérescence du pouvoir impérial et la menace étrangère aux frontières.
Cette édition des oeuvres complètes de Tacite témoigne de la vigueur et de la puissance stylistiques d'un écrivain que Racine et de Gaulle, notamment, considéraient comme un de leurs maîtres.
Texte intégral révisé suivi d'une biographie de Jean Giraudoux. Pas plus que dans ses romans, Giraudoux ne cherche sur la scène à briller par l'originalité des sujets: "Siegfried" n'est au fond qu'une adaptation, le thème d'"Ondine" est emprunté à La Motte-Fouqué, ceux d'"Electre", de "Judith", d'"Amphytrion", de "La guerre de Troie n'aura pas lieu" appartiennent au patrimoine le plus traditionnel. Seules de ses pièces, "Intermezzo" et "La Folle de Chaillot" sont absolument originales. Giraudoux dédaigne tout autant les fameux "conflits psychologiques", la peinture sociale ou celle des caractères. Ses pièces sont au-delà des particularités individuelles, hors du temps. Il retrouve ainsi la vertu essentiellement mythique, religieuse, du théâtre. Sans doute nous touche-t-il moins par la sensibilité que par l'intelligence, mais son dessein est de nous arracher à l'accidentel, de nous "confronter solennellement" avec le destin humain. Ce volume comprend les pièces suivantes: "Siegfried", "La Fin de Siegfried", "Amphitryon 38", "Judith", "Intermezzo", "Tessa", "La guerre de Troie n'aura pas lieu", "Électre", "Supplément au voyage de Cook", "L'impromptu de Paris", "Cantique des cantiques", "Ondine", "Sodome et Gomorrhe", "L'Apollon de Bellac", "La Folle de Chaillot", "Pour Lucrèce", "Les Gracques".
Éditorial :
Michel Crépu, Savoir voir venir
L'effet miroir des années trente :
Philippe Le Guillou, La comparaison impossible
Jacques Drillon, Hélas
Gilles Kepel, 2019 au regard de 1919 : stratégies pour l'après-guerre
Gwenaëlle Aubry, Ultrasons
Entretien :
Renaud Pasquier - Alexandre Postel, «Écrire comme on fume un cigare...»
La littérature aujourd'hui :
Marie Nimier, Willy
Boris Bergmann, Toute la terre dansera
Francesco Rapazzini, Une perruque avec des boucles noires - Sabine
Cyril Roger-Lacan, Une image. Aldo Moro - via Caetani, 9 mai 1978
Michel Jullien, Ceux des cendres
Isabelle Mayault, Un soir en ville dans une ville du Nord
La forme et le fond :
Marc Porée, Avoir trente ans dans les années trente : W. H. Auden et Louis MacNeice
Christophe Langlois, Les dons simples de Tagore
Eryck de Rubercy, La mémoire du bombardement de la cathédrale de Reims. Sur La cathédrale incendiée, de Thomas W. Gaehtgens
Christian Chevandier, Camus et la Libération : se taire sur ce que l'on a vécu
Notes de lecture :
Gabrielle Lécrivain, Michéa Jacobi, Jouir. Vingt-six vies consacrées à cet art (Éd. de la Bibliothèque)
Gaëlle Flament, Clémentine Beauvais, Brexit Romance (Éd. Sarbacane)
Boris Bergmann, Jacques Vaché, Lettres de guerre. 1914-1918 (Éd. Gallimard)
Michel Crépu, Mona Ozouf, L'autre George. À la rencontre de George Eliot (Éd. Gallimard)
Gaëlle Flament, Isabelle Mayault, Une longue nuit mexicaine (Éd. Gallimard)
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
« L'histoire est une science difficile, condamnée à n'atteindre que par des chemins malaisés une vérité toujours relative. [...] N'empêche que l'histoire est un besoin profond de l'humanité pensante et que, si elle n'existait pas, il faudrait l'inventer. » L'objectif du livre de Charles Samaran est simple : « proposer les meilleures définitions possibles de l'histoire, dire comment elle est née et s'est développée depuis l'Antiquité dans la conscience des hommes. Dégager ensuite les notions de temps et de lieu sur lesquelles elle se fonde. »
La Petite Dorrit
Charles Dickens
Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
La petite Dorrit a vu le jour dans une prison où son père est enfermé, avec toute sa famille, après avoir fait faillite.
La petite Dorrit se dévoue pour les siens, notamment en travaillant pour Mme Clennam. C'est chez cette femme étrange qu'elle rencontrera Arthur... Mais des biens ignorés vont rendre les Dorrit subitement très riches. La petite Dorrit saura-t-elle garder sa modestie et son humilité ? La vie sera-t-elle devenue si belle ?
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Pierre Jean Jouve, Adieu
Franz Kafka, Cahiers divers
Michel Butor, Salonique
Pierre Gascar, La Petite Place
Philippe Jaccottet, La Vue et la Vision
Jean Grenier, Les Grcves
Documents :
Armand Robin, TPocme pour Adultes, d'Adam Wazyk, a paru le 21 ao"ut 1955 ´r Varsovie...t
Adam Wazyk, Pocme pour Adultes
Chroniques : recherches :
Maurice Blanchot, La Confession dédaigneuse
Chroniques :
Marcel Arland, Élias
Chroniques : le roman :
Dominique Aury, Le Démon de la Justice
Chroniques : le théâtre :
Jacques Lemarchand, Histoire de Vasco
Chroniques : les arts :
Francis Ponge, Germaine Richier
Chroniques : la musique :
Pierre Boulez, La Corruption dans les Encensoirs
Notes : la poésie :
Louis Bolle, Majestés et Passants, par Jean Grosjean (Gallimard)
Pierre Oster, Chants royaux, par Yanette Delétang-Tardif (Seghers)
Notes : les essais :
Dominique Fernandez, La Psychanalyse, par Clara Thompson (Gallimard)
Roger Judrin, Sartre par lui-meme, par Francis Jeanson (Éditions du Seuil)
Notes : le roman :
Georges Perros, L'Emploi du Temps, par Michel Butor (Éditions de Minuit)
Odile de Lalain, Un Homme estimable, par Jean Bloch-Michel (Gallimard)
Jacques Lemarchand, Car pour Rome, par Alain Le Breton (Gallimard)
Élisabeth Porquerol, Boulevard, par Robert Sabatier (Albin Michel)
Notes : lettres étrangcres :
Georges Anex, Aller-retour New York, par Henry Miller (Guilde du Livre) - Mon ami Henry Miller, par Alfred Perlcs (Julliard)
André Pieyre de Mandiargues, La Sparviera, par Gianna Manzini (Mondadori)
Odile de Lalain, Minuit ´r Serampore, par Mircea Eliade (Stock)
Notes : les spectacles :
Jean Texcier, Le Cirque de Pékin
Notes : les arts :
André Pieyre de Mandiargues, Klee ´r Berne
De tout un peu :
Pierre Oster, Essai sur Paul Valéry, par Jacques Charpier (Seghers) - Amour et autres Visages, pat Philippe Jones (Les Lettres)
Roger Judrin, Lettre ´r un jeune Rastignac, par Michel Déon (Fasquelle) - Le Fait démographique français et ses conséquences, par Jean Daric (Cahiers des Amis de la Liberté) - La Vie d'artiste, par Jean Oberlé (Denoël) - Bilan littéraire du XXe siccle, par R.-M. Albércs (Aubier) - L'Allemagne en cage, par Jean Davidson (Le Seuil)
Odile de Lalain, L'Amour vagabond, par André Fraigneau (Plon) - La Petite Anglaise, par Renée Massip (Gallimard)
Jacques Randalle, Cet Enfant émerveillé, par Hubert de Luze (Correa) - La Ligne droite, par Yves Gibeau (Calmann-Lévy)
Roger Judrin, Le Train pour l'Océan, par Silvain Reiner (Gallimard) - Le Soleil dans la poche, par Hans Ruesch (Calmann-Lévy) - Confidence antipathique, par Léon Weinigel (Denoël)
Janine Béraud, Poliakoff (Galerie Bing)
Les revues :
Albert-Marie Schmidt, La philosophie de Guy de Maupassant
Jean Pfeiffer, Les grâces de Jean Cocteau
Gaëtan Picon, La pensée de Maurice Blanchot
Jean Guérin, Divers
Le temps, comme il passe :
Charles-Albert Cingria, Salut aux Lacs
Marc Bernard, Le Camarero
Maurice-Jean Lefebve, Le Songe de Lascaux
Cioran, Les dangers de la Sagesse
Alfred Kern, La Transhumance
Pierre Oster, La Grande Année (Fragments)
Roger Judrin, Le deux de cur
Jean-Pierre Richard, Les partis pris de Ponge
Marc Bernard, La Corrida
Chroniques :
Alain Bosquet, Audiberti, burlesque et mystique
Robert André, Les reves de Thomas de Quincey
Jean-Louis Curtis, La ballade du pauvre tueur
Marcel Schneider, Herbert von Karajan
André Berne-Joffroy, Franges pour un dossier Fautrier
Notes : poésie et littérature :
Jean Follain, Le Festin d'attente, par Marcel Thiry (André de Rache)
Roger Judrin, Cahiers de Lorient, par Alain (Gallimard) - Jacques Chardonne
Notes : lettres étrangcres :
André Miguel, Les voies physiologiques de Rozanov
Roger Blanzat, Vartananc, par Ténénig Démirdjian (Stock)
Jean Lebrau, Mon ami le blizzard, par Gregory Marton (Stock)
Robert André, La prochaine fois, le feu, par James Baldwin (Gallimard) - Personne ne sait mon nom, par James Baldwin (Gallimard)
Notes : les spectacles :
Willy de Spens, L'Ébouriffé, par Josep Carner (Gallimard) - Les Noces de Psyché, par Christian Liger (Gallimard)
Jean Bastaire, Dreyer
Raymond Bellour, Charade, de Stanley Donan
Notes : les arts :
Janine Béraud, Picasso (Galerie Louise Leiris)
Jean Pie Lapierre, Entretiens avec dix-sept peintres non figuratifs, par Jean Grenier (Calmann-Lévy)
Frank Dunand, Bellmer (Galerie Daniel Cordier)
André Miguel, Itinéraire plastique, approche d'un langage spécifique, d'Albert Ayme
Lu et vu :
Philippe Jaccottet, Soleil taciturne, par Théo Léger (Mercure de France)
Gilbert Vincent, Sabine, par André Pieyre de Mandiargues (Mercure de France) - Le temps d'un soupir, par Anne Philipe (Julliard) - De A ´r Z, par Agncs Nanquette (Gallimard) - Aucune trace, par Léon Arega (Gallimard)
André Miguel, Via Poussicre, par Jean Luissel (La Fenetre Ardente)
Claude Michel Cluny, La Nasse, par Paul Schallück (Casterman)
Willy de Spens, Les enfants de Dieu, par Petar Segedin (Calmann-Lévy)
Gilbert Vincent, Bernard Buffet (Galerie David et Garnier)
Frank Dunand, Couleurs en mouvement, d'Andrée Dantu (Galerie de Beaune)
Roland Recht, 19e Salon des réalités nouvelles (Musée d'Art moderne)
André Berne-Joffroy, Repentir ´r propos de la Grande Sinopia de Simone Martini
Le temps comme il passe. Notes :
Georges Perros, Le grand pocte
Le temps comme il passe :
François Lescure, Quatrains
Paul Morand, Sur le voyage
Michel Deguy, De l'abus en l'art de citer
Georges-Henry Gourrier, Prcs de la rivicre d'Urroz
Textes :
Henri Béhar, Sur la dernicre manifestation du Théâtre Alfred Jarry
Antonin Artaud, Lettres ´r Roger Vitrac