Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
En août 1944, les soldats américains avaient déjà mille kilomètres derrière eux, depuis le débarquement du 6 juin en Normandie, et ils continuent à trouver devant eux un ennemi coriace, rageur, survolté par Hitler.
Ils étaient : « Luftwaffenhelfer » : LWH. Savez-vous ce qui se cache réellement derrière ce mot ? Savez-vous qu'en 1943, à court d'hommes, les nazis en ont été réduits à arracher des lycéens à leurs études pour en faire des canonniers de DCA afin de tenter d'arrêter le déferlement des vagues de plus en plus dévastatrices des bombardiers alliés ? Savez-vous comment ces écoliers soldats alsaciens et mosellans - les plus jeunes incorporés de force dans la Wehrmacht - ont vécu la succession de chocs subis à la suite de leur incorporation illégale et prématurée, des combats, des excès de fatigue, des morts, des blessés ? Voici pour la première fois une réponse complète à ces questions avec de très nombreux témoignages et anecdotes à l'appui et des détails sur la vie de celui que l'on nomma « le combattant le moins cher de la Seconde Guerre Mondiale » et dont la caractéristique dominante était de se trouver placé dans une situation absurde ! On contraignait en effet, illégalement, par d'odieuses mesures de coercition - notamment sur les parents - des adolescents, presque des enfants, à combattre les Alliés de la France, à tirer sur leurs avions et, parfois, à les abattre ou a se faire tuer par eux, sans que quiconque ne bouge le petit doigt. Une situation kafkaïenne qui fit dire à un jeune LWH de 16 ans dans son journal : « Quel mal ai-je fait pour mériter un tel destin ? Je ne trouve pas de réponse ».
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Si un jour nous faisons l'Europe, rappelons-nous qu'il y eut un glorieux précédent, il y a plus de cinq siècles. réalisé par les grands ducs de Bourgogne, dont la bannière flamboyait sur le continent, et dont le descendant direct fit un empire « sur lequel le soleil ne se couchait jamais ». Flandre et Bourgogne constituèrent le noyau du plus vaste des empires, et leurs descendants, qui se sont partagé les trônes d'Europe, portent dans leur sang les qualités et les défauts de ceux-ci.