Que font des aristocrates désargentés pour garder leur standing dans le Londres du XIXe siècle ?
Ils ouvrent un hôtel !
Malgré son rang, lady Fortescue, veuve septuagénaire, n'a ni rente ni héritage pour vivre dignement. Lasse de dépendre de la charité familiale, elle renonce cependant à se séparer de sa grande demeure décrépite de Bond Street et de ses domestiques qu'elle ne paye plus depuis longtemps... Surgit alors la folle idée de faire cause commune avec d'autres infortunés et de transformer sa maison en hôtel. Du jour au lendemain, « Au Parent Pauvre » devient le lieu le plus chic et le plus réputé de Londres.
Mais son neveu, le duc de Rowcester, voit cette petite révolution d'un mauvais oeil et se met en tête de fermer l'hôtel. Sa rencontre avec Miss Harriet James, la cuisinière en chef, pourrait bien le faire changer d'avis...
Spirituelle et déjantée, la meilleure romance anglaise sur la Régence, par M.C. Beaton, l'autrice de Agatha Raisin.
Angleterre, 1942.
La résistance féminine s'organise... derrière les fourneaux !
Prenez des femmes déterminées, des prisonniers de guerre et des hommes malveillants, ajoutez quelques recettes excentriques, saupoudrez d'une bonne dose d'humour typiquement british... Après le succès de La Chorale des dames de Chilbury, Jennyfer Ryan nous ouvre l'arrière-cuisine de la Seconde Guerre mondiale : un régal !
Epuisée par le conflit, ravagée par le Blitz, confrontée à une terrible pénurie alimentaire, l'Angleterre de Churchill invite les ménagères à participer à un concours de cuisine via les ondes de la BBC. La gagnante deviendra la première femme à coanimer une émission radiophonique. Lancées à corps perdu dans la compétition, quatre participantes vont révéler des trésors d'habileté et de ruse. Car l'enjeu est de taille, et ce concours, qui avait pour but de resserrer la communauté, risque de la diviser...
« Une lecture absolument enchanteresse, aussi réconfortante qu'une tasse de thé par un matin gris. » Booklist
« Un roman historique passionnant. » Ici Paris
Lady Rose Summer, la débutante indocile, jurerait ses grands dieux qu'elle n'est pas jalouse. Après tout, elle sait que ses fiançailles avec le capitaine Harry Cathcart ne sont qu'un stratagème pour empêcher ses parents de l'envoyer aux Indes y trouver un mari. Mais lorsque Dolores Duval, aux formes aussi irrésistibles que son petit accent français, se fait un peu trop remarquer aux côtés de Harry, le sang de Lady Rose ne fait qu'un tour. Dans un accès de rage, Rose menace la perfide sirène ... avant d'être découverte, le lendemain, près de son cadavre. Les journaux ont vite fait de l'accuser du meurtre. Harry et le commissaire Kerridge de Scotland Yard réussiront-ils à l'innocenter et à mettre le vrai coupable derrière les barreaux ?
Un mélange réussi et parfaitement maitrisé entre Downton Abbey et Sherlock Holmes, avec un soupçon de Jeeves. A livre ouvert.net
Décidément insoumise, Lady Rose refuse de faire comme toutes les jeunes filles de son rang : elle ne se mariera pas ! Pire, elle veut quitter la maison pour gagner sa vie. My god ! Ses parents finissent par céder à ses extravagances, sachant que le détective Harry Cathcart la chaperonne. Mais la vie de femme indépendante n'est pas aussi excitante que Rose l'avait imaginé. Elle est même très morne...
Lorsque - ô surprise - une vieille connaissance de la famille est assassinée, Harry demande le renfort de Lady Rose dont les relations dans la haute société lui seront précieuses. Le duo est prêt pour mener l'enquête. Des hôtels particuliers pleins de secrets au manoir de campagne où rôde le danger, ils remontent la piste du tueur... à leurs risques et périls ?
Entre Sherlock Holmes et la Chronique des Bridgerton, un suspense aussi corsé que son héroïne !
Agatha Raisin a le vent en poupe : les affaires s'accumulent, pas le temps de souffler. Tant mieux, elle a horreur du vide, et fait même des heures sup : elle vient d'accepter d'aider le pasteur d'un village voisin à promouvoir la kermesse de la paroisse. Il faut dire que l'organisateur, un certain George Selby, a le bon goût d'être veuf et... beau comme un dieu.C'est un succès : les visiteurs affluent au village. Mais la kermesse vire à l'hallucination lorsque l'on découvre que plusieurs échantillons de confiture ont été assaisonnés de LSD ! Bien que distraite par le charme du beau George, Agatha doit démasquer le coupable. Sans imaginer un instant que l'objet de ses fantasmes va peut-être lui faire vivre un mauvais trip...
Larguée (une fois de plus) par James Lacey, délaissée par son voisin en qui elle mettait ses derniers espoirs, Agatha Raisin déclare la guerre aux hommes en faisant voeu de chasteté... Jusqu'à sa rencontre avec le tout nouveau et très sexy vicaire de Carsely, qui fait l'effet d'une bombe au village : les femmes se bousculent à l'église. Quant à notre Agatha, elle retrouve aussitôt la foi... Mais, damned !, voilà que le corps sans vie du vicaire est découvert dans le bureau de l'église. Qui a pu commettre ce geste sacrilège ? Le clergyman était-il trop beau pour être honnête ? C'est ce que découvrira peut-être Agatha qui, sans le savoir, vient d'ouvrir une véritable boîte de Pandore...Avec plus de 800 000 exemplaires vendus, Agatha Raisin, l'héritière très spirituelle de Miss Marple version rock, a imposé sa personnalité loufoque et irrésistible. Vous reprendrez bien un peu de Worcestershire sauce dans votre thé ?
« C'est comme si la célèbre détective d'Agatha Christie avait rajeuni, adopté des moeurs de cougar, un humour caustique, et mangé de la vache folle. On est en Angleterre... C'est un régal. »Le Point
Incroyable mais vrai : James Lacey, le célibataire le plus convoité des Cotswolds, a cédé au charme de sa voisine, la pétillante quinqua Agatha Raisin !
Hélas, le conte de fées est de courte durée : au moment où les tourtereaux s'apprêtent à dire « oui », Jimmy, l'ex-mari d'Agatha, surgit en pleine cérémonie... Furieux de découvrir que sa future femme est déjà unie à un autre, James abandonne Agatha, désespérée, au pied de l'autel.
Le lendemain, Jimmy est retrouvé mort au fond d'un fossé. Suspect nº1, le couple Agatha-James se reforme le temps d'une enquête pour laver leur réputation et faire la lumière sur cette affaire.
Bientôt Noël. Le sapin sent le roussi pour Agatha Raisin qui ne digère toujours pas d'avoir été larguée par James Lacey. Pour se forcer à l'oublier, elle se lance à corps perdu dans la préparation du réveillon pour ses amis. Jusqu'à en faire une obsession... Même le meurtre de Mrs Tamworthy, retrouvée morte après un repas arrosé à la ciguë ne la détourne pas de son but. Pourtant, la riche veuve avait prévenu Agatha : elle était convaincue qu'un membre de sa famille voulait la l'assassiner avant la fin de l'année. Se sentant quelque peu coupable, Agatha part sur les traces du meurtrier, bien décidée à le piéger avant le réveillon pour avoir le temps de préparer sa dinde !
Ancombe, paisible petit village, possède une source d'eau douce réputée pour ses bienfaits. Mais l'arrivée d'une société qui veut l'exploiter échauffe les esprits et divise les habitants : s'enrichir ou renoncer à la paix ? Lorsque Robert Struthers, le président du conseil municipal, est retrouvé assassiné, l'affaire prend une sale tournure. Pour y voir plus clair, Agatha Raisin décide d'aller à la source et se fait embaucher par la société...
Avec plus de 300 000 exemplaires vendus, Agatha Raisin, l'héritière très spirituelle de Miss Marple version rock, a imposé sa personnalité loufoque et irrésistible. Vous reprendrez bien un peu de Worcestershire sauce dans votre thé ?
Meurtrie d'avoir été abandonnée par James, l'amour de sa vie, Agatha Raisin s'en remet aux présages d'une diseuse de bonne aventure : elle trouvera l'amour, le vrai, dans le Norfolk. Qu'à cela ne tienne, Agatha quitte Carsely et s'installe dans un charmant cottage de Fryfam où elle attend le prince charmant en écrivant son premier roman policier : Panique au manoir. Un titre prédestiné car, après une série d'étranges phénomènes, le châtelain du village est assassiné et les soupçons se portent tout naturellement sur Agatha, dont le conte de fées vire au cauchemar...
Avec plus de 350 000 exemplaires vendus, Agatha Raisin, l'héritière très spirituelle de Miss Marple version rock, a imposé sa personnalité loufoque et irrésistible. Vous reprendrez bien un peu de Worcestershire sauce dans votre thé ?
Roman traduit de l'anglais, préfacé et annoté par : Françoise du Sorbier.C'est le choc de deux Angleterre que le roman nous invite à découvrir : le Sud, paisible, rural et conservateur, et le Nord, industriel, énergique et âpre. Entre les deux, la figure de l'héroïne, la jeune et belle Margaret Hale. Après un long séjour à Londres chez sa tante, elle regagne le presbytère familial dans un village du sud de l'Angleterre. Peu après son retour, son père renonce à l'Église et déracine sa famille pour s'installer dans une ville du Nord. Margaret va devoir s'adapter à une nouvelle vie en découvrant le monde industriel avec ses grèves, sa brutalité et sa cruauté. Sa conscience sociale s'éveille à travers les liens qu'elle tisse avec certains ouvriers des filatures locales, et les rapports difficiles qui l'opposent à leur patron, John Thornton.
En même temps qu'un étonnant portrait de femme dans l'Angleterre du milieu du xixe siècle, Elizabeth Gaskell brosse ici une de ces larges fresques dont les romanciers victoriens ont le secret.Fille et femme de pasteur, Elizabeth Gaskell (1810-1865) connaissait intimement la vie provinciale et les milieux industriels. Sa sensibilité aux questions sociales la porta à peindre avec sympathie la condition des opprimés de son temps : les ouvriers et les femmes. Proche de Charles Dickens, Georges Eliot et Charlotte Brontë, elle a occupé une place importante sur la scène littéraire victorienne. On la redécouvrira avec bonheur.
On croyait tout connaître de Bridget Jones... Mais si la mythique héroïne ne nous avait pas tout dit ?
C'est le plus beau moment dans la vie d'une femme : être mère pour la première fois. Mais Bridget n'est pas une femme tout à fait comme les autres. Lorsqu'elle apprend qu'elle est enceinte, elle hésite entre euphorie est désespoir : qui est le père de l'enfant ? Telle est la question (entre autres) qui la taraude...
Dans son journal, la célibataire la plus désopilante de la littérature anglaise se livre... complètement ! Une comédie éblouissante, très différente du film Bridget Jones' Baby.
Lorsque la Première Guerre mondiale éclate en Europe, Lucius, vingt-deux ans, est étudiant en médecine et décide de s'enrôler.Mais quand il arrive à destination dans une église réquisitionnée, au fond d'une vallée perdue des Carpates, les autres médecins ont fui. Ne reste plus qu'une mystérieuse religieuse-infirmière, Soeur Margarete, dont il tombe amoureux.Un jour, un soldat retrouvé inconscient dans la neige est transporté à l'église, enveloppé dans un uniforme à la doublure rembourrée de papiers couverts d'étranges dessins. Son sort semble scellé, jusqu'au moment où Lucius prend une décision fatale qui changera à jamais la vie du patient, de l'infirmière, ainsi que la sienne.Des châteaux de la Vienne impériale aux forêts du front de l'Est, des salles d'opération de fortune aux champs de bataille où déferle la cavalerie cosaque, Au nom de Margarete décline une histoire de famille et de médecine, de guerre et d'amour - un amour né au sein même des convulsions de l'Histoire - et creuse le thème des erreurs humaines et des possibles rédemptions.Traduit de l'anglais (américain) par Françoise du Sorbier
« Un magnifique roman d'apprentissage sur fond d'agonie d'un empire condamné, où la vie et l'amour fînissent par l'emporter sur la mort. » Historia
Roman traduit de l'anglais, préfacé et annoté par : Françoise du Sorbier L'essentiel de l'action se situe en 1839, sur fond de grève des ouvriers des filatures, durement éprouvés par la misère et la maladie. Mary Barton, apprentie couturière, vit seule avec son père, ouvrier des filatures et syndicaliste aux positions radicales. Courtisée à la fois par Jem Wilson, le fils de l'ami de son père, qui souhaite l'épouser, et par Harry Carson, le fils du patron des filatures, elle rejette le premier avant de découvrir les mauvaises intentions du second à son égard. Lorsque Harry Carson est abattu par balle, tout désigne Jem comme le coupable. Mary se démène pour prouver son innocence. Premier roman d'Elizabeth Gaskell, écrit en 1848, Mary Barton suscita une controverse à sa publication à cause de sa représentation sans concessions du monde des ouvriers dans une ville industrielle, Manchester. Le récit, qui tisse plusieurs fils narratifs, est aussi un « roman d'éducation » : il offre une étude très fine, et dépourvue de mièvrerie, de la confusion des sentiments chez une toute jeune fille, tout en maintenant un suspense qui entraîne le lecteur dans une course contre la montre extrêmement tendue.
Roman traduit de l'anglais (États-Unis) par Françoise du Sorbier
Une vieille femme se souvient avec un cynisme minutieux de la semaine qui a fait basculer sa vie cinquante ans plus tôt. En 1964, aors âgée de vingt-quatre ans, elle vit avec son père alccolique dans une maison délabrée, près de Boston, et travaille comme agent d'accueil dans une prison pour délinquants mineurs. Elle subit cette existence sinistre avec un mélange d'impuissance, de colère et de haine - contre elle-même surtout. L'arrivée d'une fascinante jeune femme fraîche émoulue de Harvard et chargée de mission après des détenues joue un rôle de détonateur. Dès lors, tous les mécanismes s'emballent...Un roman à la construction rigoureuse et à l'écriture incisive, où la tension devient peu à peu insoutenable.
"Une histoire ténébreuse, magnifiquement racontée." (Kirkus Reviews)
"Moshfegh est un écrivain d'une grande maîtrise, qui possède une gamme très étendue." (Jeffrey Eugenides)
Juste avant que n'éclate la Seconde Guerre mondiale, dans un petit village suisse, deux jeunes garçons vont se lier d'amitié. Gustav, à l'enfance difficile, est orphelin de père. Celui-ci, un policier local a permis, malgré les ordres des autorités, à des réfugiés juifs d'entrer dans le pays. Selon Emilie, sa veuve, la crise cardiaque qui l'a emporté après la guerre, n'est pas étrangère à ce comportement. Elle reporte son amertume sur Gustav. Anton, lui, est un pianiste prodige, choyé par des parents juifs très aisés, qui ont pour lui une très grande ambition et veulent qu'il réussisse une carrière de concertiste. Gustav est invité par Anton et ses parents à les accompagner à Davos, ou ils vont nouer une amitié encore plus forte, au cours de longues promenades dans les bois qui vont sceller leurs solitudes. Si Anton expérimente de terribles tourments psychologiques à l'idée de se produire en public dans des concours musicaux, Gustav de son côté vit une existence de profond désarroi avec une mère qui a perdu son emploi et dont les expériences amoureuses sont sans lendemain.
Les années ont passé, Gustav a ouvert un hôtel à Matzlingen, son village natal. Un jour Anton, devenu professeur de piano, viendra le rejoindre et ensemble ils partageront une existence enfin apaisée.
Traduit de l'anglais par Françoise du Sorbier
Que sommes-nous prêts à sacrifier pour vivre le grand amour ?
Alors que les tours du World Trade Center s'effondrent sous leurs yeux, Gabe et Lucy se rencontrent pour la première fois.
Leur attirance est immédiate, comme une force irrésistible.
Ce n'est pourtant qu'un an plus tard qu'ils se revoient et plongent cette fois-ci dans un amour qui dépasse tout ce qu'ils ont connu. Ils vivent, respirent, pensent à deux.
Mais l'intensité de leur relation les amène aussi à s'interroger sur d'autres désirs profonds : tous deux veulent que leur vie ait un sens, une résonance, une valeur à la hauteur de leurs sentiments. Face à cette exigence, Lucy et Gabe vont devoir faire des choix, prendre des risques, avec l'espoir d'accorder leurs rêves à la réalité.
Alors qu'ils assouvissent chacun leurs ambitions, leurs vies se croisent puis se perdent pendant près de treize années, jusqu'à ce qu'un nouvel événement les confronte à cette question : quelle place souhaitent-ils véritablement accorder à leur amour ?
Bath, 1865. Jane, une jeune infirmière renommée pour ses talents extraordinaires, est convaincue qu'un autre destin se révèlera un jour à elle. Pourtant, lorsqu'elle se trouve écartelée entre une liaison sulfureuse avec une femme et la promesse d'un mariage conventionnel avec un médecin respectable, ses désirs l'orientent vers un avenir qu'elle n'avait jamais imaginé.Au même moment à Bornéo, un excentrique « radjah » britannique, Sir Ralph Sauvage, débordant de philanthropie mais empêtré dans ses passions, voit ses projets compromis par sa propre fragilité, l'avidité innée des hommes et l'irrésistible force de la jungle.La quête de Jane, en attente d'une vie différente, et les initiatives de Sir Ralph deviennent indissociables à mesure que le récit se déploie sur le globe. D'un salon de thé anglais aux forêts d'une île tropicale en passant par les taudis de Dublin et les magasins de costumiers libertins de Paris, un roman sulfureux, incandescent, inoubliable.Traduction de l'anglais par Françoise du Sorbier« Un nouveau grand roman historique de Rose Tremain.» Livres Hebdo« Havres de grâce se veut à la fois un hommage à l'univers feutré de Jane Austen et à celui plus tempétueux de Joseph Conrad. » Le Figaro littéraire
Ni chair, ni poisson. Quatre lettres pour la vérité.Janvier 1831. Aurelia Vennaway, huit ans, héritière d'une riche famille aristocratique du comté de Surrey, découvre lors d'une promenade dans les bois du domaine familial un nouveau-né bleu de froid, posé à même la neige. Malgré l'hostilité de ses parents, elle réussit à leur faire recueillir l'enfant, qu'elle baptise Amy Snow.
A ses dix-huit ans, on découvre à Aurelia une maladie qui lui laisse peu de temps à vivre. Elle décide donc de partir en voyage quelques mois. Avant de mourir, elle laisse pour Amy une série de lettres qui vont l'aider à découvrir qui elle est et lui transmettre l'héritage qui lui revient. Amy s'embarque alors pour un périple aux quatre coins de l'Angleterre, avec, à chaque étape, une énigme à résoudre.
Rien ne va vraiment plus chez les Spellman, la dynastie de détectives privés la plus déjantée de San Francisco : Madame mère déserte le foyer sous des prétextes louches... Monsieur semble cacher quelque chose... Rae, leur fille cadette, passe son temps à enlacer les arbres... Sydney, leur petite fille, ne dit qu'un seul mot : « Banane »... Grand-mère va voir les films de Morgan Freeman avec un ex-taulard... N'étaient ses relations avec son ex nº13, on pourrait penser qu'Izzie, leur fille aînée, est enfin rentrée dans les normes.Ce qui n'est pas le cas des enquêtes en cours chez Spellman & Associés, plus dingues que jamais ! « Un mélange déjanté de Columbo, Six feet under et Bridget Jones, avec un scénario au cordeau. » Cosmopolitain
Rien ne prédestinait Jennifer Worth à devenir sage-femme dans les quartiers miséreux des Docklands. Quand à vingt-deux ans elle rejoint les soeurs de Nonnatus House, une maternité qui vient en aide aux plus pauvres, elle s'apprête à vivre l'expérience de sa vie...
À la fois bouleversant et bourré d'optimisme, aussi captivant qu'un roman, cet inoubliable témoignage a inspiré la série désormais culte diffusée sur D8, Call the Midwife.
« Appelez la sage-femme fait partie de ces livres qui lèvent le voile sur ce que l'on ne connaît pas, et que l'on ne se serait jamais autorisé à imaginer. En cela, il est passionnant. »Agnès Ledig, auteur de Juste avant le bonheur,
Prix des Maisons de la Presse
Anna était une bonne épouse. La plupart du temps.
Best-seller aux Etats-Unis, le premier roman de la poétesse américaine Jill Alexander Essbaum renouvelle de manière magistrale la réflexion sur l’identité féminine et la quête de soi.
Anna, une Américaine de trente-sept ans, est l’épouse modèle d’un banquier suisse. Femme au foyer, elle se consacre à leurs trois enfants qu’elle élève dans une riche banlieue de Zurich. Une cage dorée très vite gagnée par l’ennui. Incapable de communiquer avec un mari de plus en plus distant, Anna enchaîne les aventures sexuelles, mais mettre fin à ces relations devient de plus en plus difficile...
Portrait intime et intense d’une femme en rupture, ce livre, où réalisme et poésie se mêlent subtilement, interroge la sexualité et le désir dans toute leur force libératrice et subversive.« Femme au foyer, c’est Anna Karénine qui vire Cinquante nuances de Grey, avec quelque chose de Madame Bovary. » Time Magazine
Dans ce récit charmant, intime, souvent émouvant, l'auteur retrace ses plus jeunes années jusqu'à ce qu'à l'âge de dix-sept ans elle s'émancipe de sa famille et vienne vivre à Paris.
Son enfance n'a pas toujours été heureuse. La petite Rosie et sa soeur Jo, ont été éduquées par leur Nanny adorée, Véra, seule adulte à leur avoir réellement donné l'affection et l'amour que leurs parents n'ont pas su leur offrir. Le père est absent, la mère, Jamie, au tempérament autoritaire, est distante, elle ne veut pas être dérangée. Pendant les longs séjours à la campagne, les adultes fument, boivent, jouent aux cartes, lisent le Times, font des mots croisés, en attendant les repas servis par les domestiques.
Heureusement, les vacances chez les grands-parents, dans la demeure du Hampshire, se déroulent dans la joie. Le lieu est un véritable paradis, les deux petites filles jouissent d'une grande libert. Il y a les cousins Jonathan et Rober et le jardinier, qui leur fait découvrir les beautés et les secrets du jardin.
Mais à l'âge de dix ans, tout change pour la petite Rosie. Elle perd son père, il faut quitter l'appartement de Londres, l'école, les amies, et le plus douloureux, sa chère Véra, qui lui a tenu lieu de mère.
Adolescente, elle part en pension en Suisse, apprend le français, fait les vendanges, apprend la sténo et la dactylo, fait du ski. Son éducation si parfaite la prépare à épouser un homme riche... elle ne songe pas encore à l'écriture, mais plutôt au dessin. Son voeu le plus cher : « Aller quelque part et trouver sa place dans le monde. »
En 1961, elle vient à Paris et s'inscrit à la Sorbonne. Son destin est tracé.
Traduit de l'anglais par Françoise du Sorbier
Dans l'Afrique du Sud de l'apartheid, le destin remarquable de deux femmes unies par une amitié défiant toutes les barrières culturelles, générationnelles et raciales.
Dans l'Afrique du Sud de l'apartheid, le destin remarquable de deux femmes unies par une amitié défiant toutes les barrières culturelles, générationnelles et raciales. Ada naît dans les années 1930 à Cradock House, demeure de la famille Harrison. Fille illégitime de la domestique noire, elle grandit aux côtés des deux enfants du couple. Elle ne va pas à l'école, mais Cathleen Harrington, la maîtresse de maison, lui apprend à lire. Remarquant son intérêt pour la musique, cette dernière entreprend de lui enseigner le piano, en dépit des réserves de son entourage. Ada a beau s'avérer une élève assidue et une pianiste très douée, ses perspectives d'avenir semblent cependant bien limitées dans un pays où la situation entre Blancs et Noirs se durcit de plus en plus. L'année de ses dix-huit ans, alors que la politique de l'apartheid est mise en place sur l'ensemble du territoire, Ada est violée par Mr. Harrington. Enceinte, elle se réfugie chez l'une de ses tantes, dans un township. Son talent pour la musique et l'amitié qu'elle partage avec Mrs Harrington vont se révéler ses meilleurs alliés dans un monde où, mère d'une enfant métisse, elle n'a nulle part sa place.