Une brève histoire puis une description critique des médias britanniques à la fin du XXe siècle abordant les rapports parfois difficiles avec les pouvoirs politiques, attachés à restreindre leur liberté.
À l'heure où la pornographie est mise à toutes les sauces, ce livre nous permet de mieux connaître et comprendre, au-delà d'une vision simpliste de rejet ou d'adhésion, pourquoi elle fait partie intégrante de notre modernité. Introduction à la pornographie offre une vision globale d'un sujet complexe, aux formes multiples (écrites, plastiques) aux caractères variant de l'érotisme suranné à l'obscène insoutenable, dont l'existence même, selon certains, ne devrait pas être tolérée. Après un essai de définition, un bref survol historique et un catalogue des différentes pornographies, une présentation est faite de son attrait et de son utilité, ainsi que de la gamme des reproches qu'on lui adresse comme des restrictions légales qui lui sont imposées.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Les médias de la planète se sont améliorés dans la seconde moitié du XXe siècle, en raison notamment de l'apparition de nouveaux médias. Mais, si le contrôle de la communication par les dictateurs de tout poil est rendu presque impossible par les technol
Comment comprendre l'évolution de la vie sur terre, des bactéries à l'homme ? Le hasard ne peut pas expliquer la structure ingénieuse de l'être humain. L'hypothèse d'une intelligence de la nature s'impose, mais d'une intelligence qui ne s'intéresse pas aux individus. Le mal en invitant les hommes à le combattre développe leur intelligence et contribue aussi à l'évolution et au progrès.A travers ces multiples essais une nouvelle façon de comprendre l'univers nous est exposée.
Comme en fait foi la polémique qui entoura les Aventures de Télémaque au xviiie siècle, l'expression « poème en prose » apparaît assez tôt dans l'histoire littéraire française. D'abord confondue avec la notion de « prose poétique », l'appellation change de sens pour prendre son acception moderne avec Baudelaire, dont la lettre à Arsène Houssaye marque une date dans l'histoire de la poésie tout court. Le nom de « poème en prose », porteur d'une contradiction essentielle, signale bien sûr le procès du rapport entre le vers et la poésie, mais soulève aussi plus largement la question de l'hybridité. « Impuissance, monstre, bâtard, hybride : la carte d'identité du poème en prose se lit comme un catalogue de troubles de la génération », observe Barbara Johnson. La mémoire du genre se trouve d'ailleurs mise à l'épreuve par plusieurs écrivains : Baudelaire prend ses distances face à son prédécesseur immédiat Aloysius Bertrand, Max Jacob rejette le modèle rimbaldien, Ponge refuse le statut de poète en prose. De façon paradoxale, le genre acquiert ainsi ses lettres de noblesse à travers les ruptures qui jalonnent son histoire. On ne s'étonne pas, dès lors, que le poème en prose continue de résister aux définitions strictes. Dans sa monumentale étude de 1959 qui constitue le premier bilan approfondi sur la question, Suzanne Bernard écrit : « On ne peut évidemment définir le poème en prose de l'extérieur et d'une manière formelle, pas plus d'ailleurs que le roman : il n'obéit pas à des règles a priori comme les genres fixes de la ballade ou du sonnet par exemple, mais à certaines lois qui se sont peu à peu dégagées de nombreuses tentatives ». Les « lois » - par exemple, selon Bernard, la densité et la volonté d'organisation - découlant des tentatives, le genre est voué à une perpétuelle redéfinition, à la lumière de l'histoire.