Quand le jazz est là, Stanley Péan n'est pas loin qui hume, admire, se livre à la passion de cette musique qui s'écoute de préférence la nuit. L'écrivain et l'homme de radio forment un duo pour entrer à pas cadencés dans l'univers enivrant de ces musiques et dans le monde troublant de ces musiciens dont les vies furent exaltantes et tragiques, éthyliques et dévouées, inspirées et cahotantes, tristes et triomphales.
Qu'est-ce que le jazz ? La question est aussi ancienne que cette musique. Il y a autant de réponses qu'il y a de musiciens jazz, mais ceux-ci préfèrent généralement laisser parler les notes. Si Stanley Péan se risque à l'écriture, c'est pour mieux retourner à l'écoute. Ce recueil n'a donc pas pour vocation de disséquer et de définir les multiples esthétiques du jazz ni de convaincre qui que ce soit de leur valeur. L'auteur s'intéresse plutôt aux propos qu'on tient sur le jazz et sur quelques-uns de ses artisans parmi les plus illustres, à la représentation qu'on en donne dans des oeuvres de création, qu'elles fussent cinématographiques, littéraires ou théâtrales.
Stanley Péan raconte des trajectoires de vie, entremêle musique, littérature et cinéma, prend la mesure d'un art aussi fertile et déroutant que le siècle qui l'a vu naître. En point d'orgue, « Black and Blue », un rappel de l'histoire des Afro-Américains dans laquelle ont surgi et grandi en mesure leurs doléances musicales. À l'image du jazz, ces essais sont spontanés et réfléchis, organiques et raffinés.
« J'essayais d'imiter le rythme d'une course de taxi.Ça devait être bref. Les chauffeurs de taxi ont une vision du Québec qui n'est pas la mienne, moi qui ai grandià Jonquière. Ils questionnent mon identité. »C'est dans ces conversations que l'auteur Stanley Péan découvre les subtilités du pays natal, Haïti. Maîtres de la réalité et de la route, philosophes à leur manière,les chauffeurs de taxi font découvrir d'étranges choses sur la vie. Un ouvrage sympathique : passion, voyage, humour,cuisine, exil, amour, espoir... Et on rit surtout.
La nuit, tous les chats son gris, dit le proverbe. La nuit, c'est aussi le moment redouté où les hantises du passé ressurgissent sans crier gare. Démons du coeur et du corps de l'Amérique urbaine, ou fantômes ancestraux venus d'une Haïti fantasmée, ces impitoyables chimères assaillent les personnages de La nuit démasque. À ce jeu de la vérité nocturne, certains ne verront jamais poindre l'aube.
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Nouvelle tirée de Autochtones de la nuit.
Nouvelle tirée du recueil Autochtones de la nuit.
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Le cent-cinquante-cinquième numéro de la revue Les écrits vous propose un parcours varié, alliant récits, poésie et réflexions littéraires. Lisez d'abord le second texte de l'écrivaine en résidence Evelyne de la Chenelière où il est question d'écouter des films vieux et français. Suivent l'arnaque, le mensonge, le deuil, la disparition, la peine et l'errance dans six récits à l'écriture évocatrice. Découvrez trois poètes néerlandais : Kreek Daey Ouwens, Han van der Vegt et Hélène Gelèns, présentés et traduits par Jan H Mysjkin. Poursuivez votre périple poétique avec les mots de Paul Bélanger, Yannick Resch, Clémence Dumas-Côté, Jonas Fortier et Sonia Anguelova. Le numéro se clôt par deux essais : l'un, un texte de Michel van Schendel retrouvé dans ses archives, texte établi et édité par Pierre Ouellet, l'autre, De filmer et d'écrire vrai par André-Guy Robert et le récit du chemin vers la lecture de Laurier Lacroix, historien de l'art. Des oeuvres de Catherine Seghers accompagnent le numéro.
Dans une société moins différente de la nôtre qu'on aimerait le croire, le sentiment amoureux est une maladie mentale grave que l'on soigne par un traitement radical, voire mortel.
La nuit, tous les chats son gris, dit le proverbe. La nuit, c'est aussi le moment redouté où les hantises du passé ressurgissent sans crier gare. Démons du coeur et du corps de l'Amérique urbaine, ou fantômes ancestraux venus d'une Haïti fantasmée, ces impitoyables chimères assaillent les personnages de La nuit démasque. À ce jeu de la vérité nocturne, certains ne verront jamais poindre l'aube.
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Nouvelle tirée de Autochtones de la nuit.
Dans une société moins différente de la nôtre qu'on aimerait le croire, le sentiment amoureux est une maladie mentale grave que l'on soigne par un traitement radical, voire mortel.
La nuit, tous les chats son gris, dit le proverbe. La nuit, c'est aussi le moment redouté où les hantises du passé ressurgissent sans crier gare. Démons du coeur et du corps de l'Amérique urbaine, ou fantômes ancestraux venus d'une Haïti fantasmée, ces impitoyables chimères assaillent les personnages de La nuit démasque. À ce jeu de la vérité nocturne, certains ne verront jamais poindre l'aube.
Nouvelle tirée de Autochtones de la nuit.
Dans une société moins différente de la nôtre qu'on aimerait le croire, le sentiment amoureux est une maladie mentale grave que l'on soigne par un traitement radical, voire mortel.
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Dans une société moins différente de la nôtre qu'on aimerait le croire, le sentiment amoureux est une maladie mentale grave que l'on soigne par un traitement radical, voire mortel.
Dans une société moins différente de la nôtre qu'on aimerait le croire, le sentiment amoureux est une maladie mentale grave que l'on soigne par un traitement radical, voire mortel.
La nuit, tous les chats son gris, dit le proverbe. La nuit, c'est aussi le moment redouté où les hantises du passé ressurgissent sans crier gare. Démons du coeur et du corps de l'Amérique urbaine, ou fantômes ancestraux venus d'une Haïti fantasmée, ces impitoyables chimères assaillent les personnages de La nuit démasque. À ce jeu de la vérité nocturne, certains ne verront jamais poindre l'aube.
La nuit, tous les chats son gris, dit le proverbe. La nuit, c'est aussi le moment redouté où les hantises du passé ressurgissent sans crier gare. Démons du coeur et du corps de l'Amérique urbaine, ou fantômes ancestraux venus d'une Haïti fantasmée, ces impitoyables chimères assaillent les personnages de La nuit démasque. À ce jeu de la vérité nocturne, certains ne verront jamais poindre l'aube.
La nuit, tous les chats son gris, dit le proverbe. La nuit, c'est aussi le moment redouté où les hantises du passé ressurgissent sans crier gare. Démons du coeur et du corps de l'Amérique urbaine, ou fantômes ancestraux venus d'une Haïti fantasmée, ces impitoyables chimères assaillent les personnages de La nuit démasque. À ce jeu de la vérité nocturne, certains ne verront jamais poindre l'aube.