Scarlett O'Hara, jeune fille d'une riche famille d'Atlanta au sud des
Etats-Unis, connait une vie douce et confortable, menée au rythme de
son caractère déterminé et audacieux. Lorsque la Guerre de Sécession
débute en 1861, ses repères s'écroulent, et de lourdes
responsabilités s'imposent à elle. Au milieu de la destruction et de
la mort, Scarlett rêve pourtant d'amour : celui pour Ashley Wilkes,
pourtant promis à une autre, et qu'elle porte secrètement depuis
toujours. L'arrivée de Rhett Butler, homme sans foi ni loi, aussi
immoral que séduisant, rebattra de nouveau les cartes dont la jeune
fille dispose pour atteindre le bonheur. Avec son adaptation du
célèbre roman de Margaret Mitchell et la formidable mise en images de
ses personnages cultes, Pierre Alary signe une oeuvre prenante et
magnifie ce récit intemporel.
Prix des Inrockuptibles 2022 - catégorie BD
Qu'il pleuve ou qu'il vente, « la bande » de Vernon se reconstituait. Et une idée idiote - se retrouver hors la ville pour danser - devint une aventure commune. Ils appelèrent ça les Convergences.
La quasi-totalité de cette seconde partie est originale. Il y a un plaisir fou à faire évoluer un texte publié - de façon à ce qu'il trouve la meilleure forme possible dans l'imagination d'un autre. - Virginie Despentes
Vivre avec un ami imaginaire c'est l'assurance de grandir le jour où il s'en va. Dans Vernon Subutex, des amis il y en a une bonne dizaine. Et c'est à votre tour de les rejoindre pour leur dernier voyage. - LUZ
" Feuilleter Vernon Subutex c'est accepter de se faire bousculer, de rentrer dans le dessin et de ne plus le lâcher, jusqu'au dernier." L'Express
" Avec cette réinterprétation de Vernon Subutex (Grasset), Luz et Despentes ont signé une très grande BD." Causette
Fresque en 3 tomes, cette adaptation initiée par Jean Teulé fait la part belle à l'image et l'imaginaire. En trois volumes, elle s'attarde sur les grandes périodes de la vie de Baudelaire et enlumine de peintures expressionnistes les grands poèmes qui jalonnent le récit. Teulé montre un homme qui travaillait ses vers sans relâche, qui voulait réunir dans une même musique l'ignoble et le sublime, et qui a changé à jamais, avec les Fleurs du Mal, la poésie française.
À Namur, en sortant d'une église, Baudelaire fait une mauvaise chute qui lui fait lâcher ce juron : Crénom ! Il ne dira dès lors plus rien d'autre. Nous sommes en 1867. Il ne lui reste que peu de temps à vivre...
Enfant, il ne se sent heureux que dans les jupes de sa mère. À tel point que le décès de son père le réjouit car, désormais, la femme de sa vie ne sera que pour lui ! Son bonheur sera toutefois éphémère, car quelques mois plus tard elle épouse le chef de bataillon Jacques Aupick qui entend faire son éducation.
Après son renvoi du lycée Louis Le Grand, son beau-père l'envoie sur un navire partant vers les Indes pour une année qui doit en faire un homme. À bord, il évite les autres passagers pour se consacrer à la poésie dont il est persuadé qu'elle fera sa gloire. C'est à bord qu'il écrit les vers de L'albatros...
Palmarès 2020 catégorie BD - Les Inrocks
Qui est Vernon Subutex ? Une légende urbaine. Un ange déchu. Un disparu qui ne cesse de ressurgir. Le détenteur d'un secret. Le dernier témoin d'un monde révolu. L'ultime visage de notre comédie inhumaine. Notre fantôme à tous.
Dès la parution du tome 1 en janvier 2015, les tribulations de Vernon Subutex, ex-disquaire devenu à la fois squatteur, clochard, DJ et quasigourou, sont un succès majeur de la littérature française tant en termes de réception critique (« Magistral et fulgurant » L'Express, « Virginie Despentes touche au sommet de son art » Le Magazine littéraire, « Une comédie humaine d'aujourd'hui dont Balzac pourrait bien se délecter » Le Parisien) que publique (un million et demi d'exemplaires vendus en France).
Portée par une énergie graphique hors du commun, cette nouvelle version - réécrite à quatre mains et en bande dessinée - offre un nouveau regard sur le parcours de Vernon... et démontre, s'il en était besoin aujourd'hui, la puissance du collectif.
" Feuilleter Vernon Subutex c'est accepter de se faire bousculer, de rentrer dans le dessin et de ne plus le lâcher, jusqu'au dernier." L'Express
" Avec cette réinterprétation de Vernon Subutex (Grasset), Luz et Despentes ont signé une très grande BD." Causette
« Je suis venu ici pour disparaître, dans ce hameau abandonné et désert dont je suis le seul habitant ». Le récit d'Antonio Moresco met en scène un homme vieillissant qui a décidé de s'extraire du monde. Mais chaque soir, une petite lumière perce sa solitude... Grégory Panaccione démontre une fois encore son étonnante capacité à exprimer graphiquement une écriture, la plus singulière soit-elle.
« Qui es-tu ? »Un jour, Sophie reçoit une lettre sur laquelle est inscrite cette intrigante question. Puis en arrive une seconde : « D'où vient le monde ? »De question en question et de surprise en surprise, la jeune fille est propulsée dans une aventure où elle découvre les principales figures de la philosophie occidentale, et surtout elle-même !Zabus et Nicoby réinventent en une bande dessinée pleine d'humour le roman philosophique de Jostein Gaarder, une oeuvre culte qui a déjà conquis des dizaines de millions de lecteurs dans le monde.
" Une adaptation réussie, signée par deux auteurs chevronnés." Philosophie Magazine
" La philosophie à la portée de tous [...] ; encore plus accessible que le roman [...] tout parent qui a un enfant en terminale doit se précipiter à la librairie..." Olivia de Lamberterie - Télématin
" Nicoby et Vincent Zabus réinventent subtilement le célèbre roman philosophique de l'écrivain norvégien Jostein Gaarder avec cette bande dessinée réjouissante. Un voyage absolument passionnant dans le monde de Sophie. " Page des Libraires
Au travail au crayon et en gravure sur bois, se mêlent des images singulières, colorées, qui parlent de la beauté du monde, qui ont vu le jour dans des conditions extrêmes.Témoignage bouleversant sur une amitié naissante, ce récit se penche sur la brutalité du système carcéral, et la ténacité avec laquelle les condamnés reconstruisent leur vie, depuis une cellule de cinq mètres carrés.
Adaptation du roman de Marc DUGAIN, Editions JC Lattès Un antre de
la douleur où chacun se voit dans le regard de l'autre 1914. Aux
premiers jours de la guerre, un éclat d'obus défigure Adrien, un
lieutenant du Génie. Le voilà devenu une « gueule cassée ». Il
échappera aux tranchées et ne connaîtra que le Val-de-Grâce, dans une
chambre réservée aux officiers, pièce sans miroir où l'on ne se voit
que dans le regard des autres. Là, il fera la connaissance de
plusieurs autres « gueules cassées », dont l'aviateur Weil et le
capitaine de cavalerie Penanster, ainsi que de Marguerite, une
infirmière volontaire blessée sur le front. Adrien restera cinq
ans au Val-de Grâce. Cinq ans pour réapprendre à vivre au rythme des
opérations. Cinq ans entre parenthèses à nouer des amitiés avec ses
compagnons d'infortune. Cinq ans de "reconstruction" pour se
préparer à l'avenir. Cinq ans à penser à Clémence qui l'a connu
avec sa gueule d'ange...
Publiée en 1915, La Métamorphose est certainement la nouvelle la plus célèbre de Franz Kafka. Gregor Samsa, un représentant de commerce, se réveille un matin transformé en un ' monstrueux insecte '. À partir de cette situation absurde, Kafka présente une critique sociale, aux multiples lectures possibles, en mêlant thématiques économiques et sociétales et questionnements sur l'individu, le déclassement, la solitude et la mort. Stéphane Levallois choisit de décaler cette métamorphose pour nous tendre un miroir sur nos propres monstruosités.
Cette nouvelle d'Edgar Allan Poe est certainement l'une des plus célèbre de l'écrivain américain. Le détective Auguste Dupin doit résoudre un meurtre a priori insoluble de deux femmes enfermées dans leur appartement. Gaëtan et Paul Brizzi illustrent avec gourmandise cette histoire, ainsi que deux autres nouvelles : La vérité sur le cas de M. Valdemar et Le portrait ovale.
Jeune Viennoise, issue de la bourgeoisie, en villégiature avec sa tante et son cousin Paul dans un palace en Italie, Mademoiselle Else apprend par courrier que son père est menacé de prison pour dette. Pour le sauver du déshonneur, sa mère lui demande dans cette lettre de solliciter Dorsday, un riche marchand d'art, afin de récupérer la somme demandée. L'étrange Dorsday propose un marché à la jeune fille : il accepte de prêter la somme nécessaire, mais à la seule condition que la jeune fille se dévête devant lui.
La transposition en images de l'univers psychologique complexe et tourmenté d'Arthur Schnitzler devient pour Manuele Fior un défi relevé avec maestria, démontrant ainsi non seulement qu'une telle transposition est possible, mais qu'elle peut également être parfaitement réussie lorsque l'adaptateur se montre aussi inventif que l'oeuvre qu'il transpose. Inspiré par l'Art nouveau, Mucha, Klimt et Schiele, Manuele Fior fait revivre le texte de l'écrivain autrichien paru en 1924 et son époque.
Seule survivante de l'accident tragique qui a coûté la vie à son
frère et à ses deux parents en Corse lorsqu'elle avait 16 ans,
Clotilde, accompagnée de son mari Franck, part rejoindre sa fille
Valentine sur les lieux du drame où elle n'a pas remis les pieds
depuis 25 ans. Mais à peine est-elle arrivée que des incidents se
multiplient jusqu'à ce qu'elle reçoive une lettre de sa mère, Palma,
présumée morte dans l'accident... Clotilde décide alors d'enquêter
afin de découvrir la vérité sur ce qui s'est réellement passé à
l'époque et qui pourrait la mener jusqu'à sa mère qu'elle espère
encore vivante...
Manu Larcenet s'attaque pour la première fois à une adaptation, celle du chef-d'oeuvre de Philippe Claudel, Le Rapport de Brodeck. Mais lorsque l'auteur de Blast et du Combat ordinaire s'empare du texte, c'est pour le faire sien et lui donner une nouvelle vie, éclatante, sombre et tragique. Des pages d'une beauté stupéfiante, magnifiant la nature sauvage et la confrontant à la petitesse des hommes ; une plongée dans les abîmes servie par un noir et blanc sublime et violent. Un très grand livre.
Manu Larcenet se confronte à une adaptation, celle du chef-d'oeuvre de Philippe Claudel, Le Rapport de Brodeck. Mais lorsque l'auteur de Blast et du Combat ordinaire s'empare du texte, c'est pour le faire sien, et lui donner une nouvelle vie éclatante, sombre et tragique. Des pages d'une beauté stupéfiante, magnifiant la nature sauvage et la confrontant à la petitesse des hommes, une plongée dans les abîmes, servie par un noir et blanc sublime et violent. Un très grand livre.
Cette édition numérique comprend un cahier graphique inédit.
Londres, 1843. Tous les habitants, les mieux lotis comme les plus démunis, s'apprêtent à fêter Noël. Tous, à l'exception de Scrooge. Aux yeux de cette riche commerçante, insensible au malheur des autres comme à l'atmosphère de liesse qui baigne la cité, seuls le travail et l'argent ont de l'importance. On la dit radine, égoïste et mesquine. Elle préfère considérer qu'elle a l'esprit pratique. Et tandis que les festivités illuminent la ville et le coeur de ses habitants, Scrooge rumine sa misanthropie... Une nuit, des esprits viennent lui rendre visite. Ils l'emmènent avec eux, à la rencontre de la jeune fille qu'elle était, quelques années plus tôt, lorsque la cupidité n'avait pas encore rongé son coeur. Mais aussi à la découverte de celle qu'elle aurait pu devenir si elle avait choisi la voie de la bonté... Après le Bartleby d'Herman Melville, José Luis Munuera adapte librement un autre classique de la littérature anglo-saxonne : Un chant de Noël, de Charles Dickens. Munuera s'empare ainsi d'un des chefs-d'oeuvre de l'écrivain anglais, paru en 1843, et féminise le personnage de Scrooge. Une relecture délicieuse, à savourer pour les fêtes !
Humains, votre salut dépendra de la communication avec les animaux...
Bastet, Pythagore, et leur communauté de chats et d'humains se sont retranchés sur l'Île de la cité, à Paris. Assiégés par les rats et leur inquiétant chef, Tamerlan, les félins doivent chercher de l'aide. Mais les animaux ne sont pas tous dépourvus des défauts humains, et la menace plane sur les chats...
Une interprétation visuelle ultra-contemmporaine du second volume de la trilogie best-seller !
" Enfin, après tant d'années d'impatience domptée, je vais connaître
le secret que renfermaient ces dix tiroirs. Ma grand-mère les
nommait ses renferme-mémoire." À la mort de sa grand-mère, une
jeune femme hérite de l'intrigante commode qui a nourri tous ses
fantasmes de petite fille. Le temps d'une nuit, elle va ouvrir ses
dix tiroirs et dérouler le fil de la vie de Rita, son Abuela,
dévoilant les secrets qui ont scellé le destin de quatre généra-
tions de femmes indomptables, entre Espagne et France, de la
dictature franquiste à nos jours. D'après le brillant premier roman
d'Olivia Ruiz, cet album porte une fresque flamboyante sur l'exil
qui a déjà conquis des centaines de milliers de lecteurs.
De janvier 1960 jusqu'au 4 août 1962, Ralph Greenson fut le psychanalyste de Marilyn Monroe. Elle lui avait donné comme mission de l'aider à se lever, à jouer au cinéma, à aimer, à ne pas mourir. Ce récit retrace la relation tourmentée entre Marilyn et cet homme qui fut tour à tour un père, une mère, un ami mais qui ne put la sauver d'elle-même, de sa peur et de sa solitude. Il fut la dernière personne à l'avoir vue vivante et la première à l'avoir trouvée morte.
Lorsque l'actrice s'adresse en 1960 à Greenson, celui-ci est un psychanalyste freudien réputé de la côte ouest, mais aussi un homme fasciné par le cinéma et Marilyn est certes la déesse du sexe mais aussi une femme souffrant d'inhibitions et d'angoisses qui a déjà eu recours aux soins de deux psychanalystes à New York. Lors de leur première rencontre, Greenson saisit la fragilité narcissique de Marilyn, manifestée notamment par une toxicomanie aux barbituriques, et avec prudence il lui refuse le divan et lui propose une psychothérapie en face à face.
Mais très vite leur relation dérape et Greenson intervient de plus en plus massivement dans la réalité, abandonnant progressivement tout ce qui aurait dû constituer le cadre analytique de cette cure. Il l'introduit dans sa famille, s'occupe de ses contrats professionnels, lui fournit lui-même les barbituriques, etc. Des deux, qui avait l'emprise sur l'autre ? Qui détruisait l'autre ? Le mystère reste entier.
Une brillante adaptation du roman de Michel Schneider, prix Interallié 2006. Louison centre son récit sur les séances entre Marilyn Monroe et son psychanalyste pour mieux nous dévoiler l'intimité d'une femme brisée derrière son statut de star.
Deux histoires se déroulent en parallèle : celle de Julia américaine qui vit à Paris, en 2000, avec son mari Bertrand et sa fille Zoë et celle de Sarah déportée avec son père et sa mère, en 194,2 lors de la rafle du Vel' D'Hiv'. Les deux récits se rejoignent malgré les années qui les séparent.
Paris, juillet 1942 : Sarah, une fillette de dix ans qui porte l'étoile jaune, est arrêtée avec ses parents par la police française, au milieu de la nuit. Paniquée, elle met son petit frère à l'abri en lui promettant de revenir le libérer dès que possible.
Paris, mai 2002 : Julia Jarmond, une journaliste américaine mariée à un Français, doit couvrir la commémoration de la rafle du Vél d'Hiv. Soixante ans après, son chemin va croiser celui de Sarah, et sa vie va changer à jamais.
Elle s'appelait Sarah, est l'histoire de deux familles que lie un terrible secret, c'est aussi l'évocation d'une des pages les plus sombres de l'Occupation.
Le roman de Tatiana de Rosnay est porté par le souffle de Pascal Bresson et revit sous la délicatesse des dessins de Horne.
Cette année qui débute doit se conclure avec les épreuves du brevet, mais les études ennuient profondément Claudine qui préfère jouer des tours à ses camarades et se mêler des affaires des grandes personnes. Du haut de ses quinze ans, cette jeune fille vive, un brin effrontée, déstabilise le petit monde qui l'entoure. Si certains hommes commencent à la courtiser franchement, elle, de son côté, s'éprend de la nouvelle institutrice. Dès lors, l'école de jeunes filles du village devient le théâtre d'une comédie de moeurs tendre et piquante aux accents vaudevillesques.
Quand l'invisible au féminin fait vaciller le patriarcat !
Chaque année, à la mi-carême, se tient un très étrange Bal des folles. Le temps d'une soirée, le Tout-Paris s'encanaille en compagnie de femmes déguisées en colombines, gitanes, et autres mousquetaires. D'un côté, les idiotes et les épileptiques ; de l'autre, les hystériques, et les maniaques. Ce bal est en réalité l'une des dernières expérimentations du professeur Charcot, neurologue fameux qui étudie alors l'hystérie. Parmi ses patientes, Louise, Thérèse, ou Eugénie. Parce qu'elle dialogue avec les morts, cette dernière est envoyée par son propre père croupir entre les murs de la Salpêtrière. Mais la jeune femme n'est pas folle, et le Bal qui approche sera l'occasion d'échapper à ses geôliers.
Victoria Mas, Vero Cazot et Arianna Melone révèlent la condition des femmes au XIXe siècle, tributaires d'une société masculine qui leur interdit toute déviance et les emprisonne.
Les vacances d'été dans la garrigue sont une révélation pour le jeune Marcel Pagnol et son petit frère, qui tombent amoureux des collines, de sa végétation sauvage, de ses massifs de roche : Garlaban... Scènes truculentes de vie, humour et souvenirs nostalgiques, le sens inné de Pagnol de la mise en situation, son goût de la farce, émaillent ce récit chaleureux, dont le charme se partage entre les décors et la saveur ciselée des dialogues.
Après la Gloire de mon Père, la suite des souvenirs d'enfance de Marcel Pagnol
La fin de l'été est un drame pour le petit Marcel Pagnol, obligé d'abandonner ses chères collines. Mais la famille monte dorénavant chaque samedi à La Bastide Neuve. Un matin, lors d'une partie de chasse dans la garrigue, Marcel fait la rencontre d'un jeune paysan, Lili des Bellons. Une nouvelle aventure s'offre à lui : celle de l'amitié. Pittoresque et truculent, voici après La Gloire de mon père, le deuxième tome des « Souvenirs d'enfance » de Pagnol.
Les Gardiner et Elizabeth arrivent au château de Pemberley. Ils sont surpris par l'arrivée inopinée de Mr Darcy qui les accompagne pour la promenade et leur propose de revenir passer une journée au domaine. Le séjour se déroule à merveille quand Lizzy reçoit une lettre de Jane. C'est l'annonce d'une catastrophe qui va définitivement ruiner la réputation et tous les espoirs de la famille Bennet !