Quand on possède la technique, tout est possible : dessiner un personnage en mouvement, varier ses expressions, ajouter des ombres, mettre en relief un visage, colorer son dessin aux feutres à alcool... Pour maîtriser pleinement ces divers procédés, il faut les aborder étape par étape.Les modèles expliqués dans ce livre permettent d'atteindre deux objectifs essentiels : prendre immédiatement plaisir à dessiner tout en acquérant des bases solides. À chaque leçon, vous apprendrez de nouvelles techniques. En élargissant ainsi progressivement votre socle de compétences, vous gagnerez en assurance et pourrez enfin dessiner comme un vrai mangaka !
Une méthode reconnue et facile, en quatre étapes, pour apprendre à dessiner comme les grands ! Le vocabulaire des formes permet à l'enfant de réussir tous ses dessins. Ce livre présente 9 modèles de personnages fantastiques inspirés par les contes, les dessins animés ou encore le cinéma : gobelin des cavernes, cavalier maléfique, reine des dragons, arbre magique, gardien de la forêt, elfe, orque guerrier...
Découvrez la créativité sans borne d'une famille passionnée par le dessin où le père dessinateur adapte les illustrations de ses deux fils.Dans ce deuxième volume de
Traits de Famille, retrouvez le peuple des Koomos, Justice, le Docteur écarlate et de nouvelles créatures issus de l'imagination foisonnante de Thomas Romain et de ses fils.
Tout à la fois influencé par les maîtres de l'Antiquité, le génie de Michel-Ange et la sculpture baroque, Auguste Rodin est l'un des artistes les plus reconnus de l'histoire. Bien qu'il soit considéré comme l'un des fondateurs de la sculpture moderne, Rodin n'a jamais critiqué la tradition classique. Nombre de ses sculptures furent critiquées et controversées en raison de leur sensualité ou de leur réalité crue. Ses oeuvres les plus originales se détachaient des traditionnels thèmes mythologiques ou allégoriques pour étreindre le corps humain, célébrer l'individualisme et la matérialité. Ce livre dévoile la vie et la carrière de cet artiste en explorant ses oeuvres majeures telles que La Porte de l'Enfer, Le Penseur et le fameux Baiser.
Découvrez la créativité sans borne d'une famille passionnée par le dessin où le père dessinateur adapte les illustrations de ses deux fils.Thomas ROMAIN est un directeur artistique et dessinateur français qui travaille au Japon. Thomas et ses deux fils ont une passion commune, le dessin, et ils ont ensemble un projet hors du commun. Les enfants dessinent des créatures fantastiques et des personnages originaux avec pour mot d'ordre de laisser libre cours à leur imagination. Leur père crée ensuite une nouvelle illustration basée sur leurs idées.
Louise Bourgeois est par excellence la femme-couteau, la femme sculpteur, celle qui découpe, tranche, cisaille, mais aussi celle qui incarne l'ambivalence féminin-masculin : la protection et la menace, la fragilité et la force, la tendresse et la violence.
Née en 1911 à Paris, et ayant vécu à New York de 1938 jusqu'à sa mort en 2010, elle est devenue, après une reconnaissance tardive, l'une des artistes les plus emblématiques du XXe siècle. Son oeuvre polymorphe, composée de peintures, gravures, dessins, sculptures, installations, est profondément autobiographique et échappe à toute classification esthétique. En réactivant les souvenirs et les traumatismes de son enfance, Louise Bourgeois donne forme et corps à ses émotions, créant une oeuvre organique, sensuelle et érotique, dont le thème essentiel est la femme-maison. « La sculpture est le corps et mon corps est une sculpture. »
Cette biographie ne retrace pas seulement le parcours d'une grande artiste, sa formation, ses influences ; c'est aussi le récit d'une vie de femme exceptionnelle, ayant connu les deux guerres, l'exil, épouse d'un célèbre historien de l'art, et mère de trois enfants. Elle s'appuie sur les archives personnelles inédites de l'artiste, ses journaux intimes, sa correspondance, ses écrits psychanalytiques, ainsi que sur ses interviews et des entretiens avec ses proches.
Jean-François Jaussaud a rencontré Louise Bourgeois en 1994 dans son atelier de Brooklyn. Passé au crible de ses questions, le photographe est finalement adoubé par l'artiste. Un premier rendez-vous a lieu au printemps 1995, mais à une seule condition : détruire les images si celles-ci ne lui plaisent pas... Jaussaud accepte et passe le « test ». Il obtient alors carte blanche pour photographier librement l'atelier et la maison de Chelsea. Il reviendra pendant onze ans.Ces images rares montrent l'une des plus grandes artistes contemporaines dans son intimité, au coeur de son oeuvre.
A travers l'art bouddhiste en général et la sculpture de Bhârhut en particulier, Coomaraswamy analyse les principaux motifs ornementaux et symboliques et les met en relation avec l'art traditionnel des civilisations antiques. A travers divers symboles et mythes, il met à jour de la signification intérieure des oeuvres, agissant non seulement en tant qu'historien d'art mais aussi en tant que spécialiste des religions comparées d'audience internationale. Dans la ligne des écrits de Mircea Eliade et de René Guénon qui se réfèrent tous deux à ses travaux, ses écrits conservent aujourd'hui encore toute leur actualité te leur pertinence. En historien d'art et spirituel éclairé, Coomaraswamy montre que toute oeuvre d'art sacré repose sur une valeur symbolique par laquelle elle peut s'avérer un supports de méditation et d'orientation pour ceux qui l'utilisent. Un livre qui intéressera aussi bien l'universitaire que le bouddhiste pratiquant ou encore l'amateur de symbolisme, de spiritualité et d'art.
Tout à la fois influencé par les maîtres de l'Antiquité, le génie de Michel-Ange et la sculpture baroque, Auguste Rodin est l'un des artistes les plus reconnus de l'histoire. Bien qu'il soit considéré comme l'un des fondateurs de la sculpture moderne, Rodin n'a jamais critiqué la tradition classique. Nombre de ses sculptures furent critiquées et controversées en raison de leur sensualité ou de leur réalité crue. Ses oeuvres les plus originales se détachaient des traditionnels thèmes mythologiques ou allégoriques pour étreindre le corps humain, célébrer l'individualisme et la matérialité. Ce livre dévoile la vie et la carrière de cet artiste en explorant ses oeuvres majeures telles que La Porte de l'Enfer, Le Penseur et le fameux Baiser.
Qui était Alberto Giacometti, l'un des artistes majeurs du XXe siècle ? Anca Visdei est partie sur ses pas, dans le Val Bregaglia en Suisse, là où il grandit entre son père, peintre, et sa mère, figure maternelle puissante, à Venise où il fit ses études, puis à Paris où il fut l'une des figures marquantes d'une période artistique particulièrement féconde. Des témoignages privilégiés, des extraits de sa correspondance, une exploration de son oeuvre au plus près du geste de l'artiste nourrissent un récit captivant et émouvant. On y découvre la personnalité d'un Giacometti tout en contrastes qui n'eut de cesse de travailler à « montrer les choses telles qu'il les voyait », soit l'homme qu'il était dans tous les hommes. Un voyage passionnant dans la vie et l'oeuvre d'Alberto Giacometti. Anca Visdei a travaillé comme journaliste en Suisse, puis à Paris où elle vit aujourd'hui. Auteur de théâtre, romancière, metteur en scène, elle est aussi l'auteur de biographies, notamment celle de Jean Anouilh dont elle fit la connaissance dans les années 1980.
L'Homme qui marche est le premier livre consacré spécifiquement à l'oeuvre emblématique du sculpteur, celle qui, au-delà du XXe siècle, a su montrer la condition humaine dans son extrême dépouillement : l'homme universel, frêle et puissant, en mouvement, pensant.
Cette suite d'articles, pour la plupart publiés en ligne sur le site des Cahiers du cinéma, certains dans la revue Vacarme, s'organisent autour de quelques faits ou éléments constitutifs, pour Pierre Alferi, du pouvoir qu'exerce le cinéma sur nous. D'abord le fantastique et l'immaturité qui sont d'ailleurs, hors même le genre dit fantastique qui fait ici l'objet de beaux développements, au coeur du cinéma qui produit des fantômes animés. Pierre Alferi s'attache à l'évocation et à la critique aussi bien des films à effets (science-fiction, monstres, vampires, etc.) que d'oeuvres plus discrètes, elliptiques, mais pas moins efficaces (ainsi du cinéma de Jacques Tourneur). Ensuite la mélancolie filmée à travers cette manière qu'ont certains héros non pas de regagner le monde qui leur a été refusé, mais d'en faire leur deuil. Ensuite encore, bien sûr, les acteurs, ce qui les fait, peut-être, des êtres d'un genre unique dont les personnages endossés seraient les espèces. Quelques portraits pour cerner une singularité qui ne s'affiche pas, hyperphysique, qui se laisse entrevoir de rôle en rôle, entre les avatars. Enfin, quelques articles imaginent des cinéastes à partir de leurs films. Certains s'appuyèrent sur un modèle déjà classique du beau, dans le théâtre et la peinture, pour maintenir farouchement une volonté d'art dans l'usine à films (Lang, Murnau, Ulmer, Preminger). D'autres, arrivés un peu tard, ont mimé cette volonté (Minnelli, Corman, Lynch, Kitano).
Comment vient-on à Rodin ? Peut-être en tâchant de laisser tomber ce qu'on croyait connaître. En tâchant de laisser tomber ses croyances. En fréquentant Auguste Rodin, et, avec lui, les écrivains et les artistes qui l'ont aimé, en s'immisçant dans cet immense xixe siècle qu'il projette dans le xxe. En y tissant un récit de sa vie. Mais aussi en fréquentant ses figures, en entrant dans la danse des corps inventés par lui. En fréquentant la sculpture qu'il a bouleversée. En prenant exemple sur lui. En accueillant le réel et ses surprises. En étant entièrement solidaire de sa manière de procéder. C'est-à-dire, somme toute, en faisant le pari d'être un peu plus libre.
Maryline Desbiolles a écrit une vingtaine de romans, de La seiche (Seuil, 1998) et Anchise (Seuil, 1999, prix Femina) au Beau temps (Seuil, 2015). Elle a aussi beaucoup écrit sur les peintres et les sculpteurs, Chaissac, Braque, Pagès (Nous rêvons notre vie, éditions du Cercle d'art, 2003) ou Vallotton (Vallotton est inadmissible, Seuil, 2013). Ces textes ont été récemment réunis sous le titre Écrits pour voir (L'Atelier contemporain, 2016).
Un jour, vous avez vu une affiche dans la rue, une affiche dont vous avez presque immédiatement détourné le regard, pas assez vite cependant pour ne pas voir que les petits personnages en tissu rose, couchés côte à côte, avaient pour certains deux têtes, l'une qui embrassait une personne d'un côté et l'autre de l'autre... Une amie qui avait vu la même affiche vous demanda peu après si vous iriez voir l'exposition. Vous avez répondu que non, que ça ne vous disait rien, ces choses en tissu. Mais si vous aviez réagi si vivement, c'est bien que ça vous disait quelque chose...
Ce petit quelque chose est l'objet de ce récit très personnel, lancé avec une empathie contagieuse sur les traces de Louise Bourgeois (1911-2010), à la découverte d'une artiste protéiforme et d'une femme profondément attachante dont la longue vie, marquée par des relations familiales complexes, l'exil en Amérique, la difficulté de l'épanouissement dans le monde de l'art de l'après-guerre, dominé par le surréalisme, l'expressionnisme abstrait, et les hommes, déboucha finalement, après des années de travail obscur, sur la gloire soudaine, éclatante, d'une rétrospective au musée d'Art moderne de New York, et une oeuvre tardive bouleversante.
Le sculpteur danois Bertel Thorvaldsen (1770-1844) occupe une place remarquable dans l'histoire de la réception de l'art antique. On peut dire qu'il fut à la sculpture ce que David fut à la peinture, le meilleur des défenseurs du néo-classicisme dans la lignée de Winckelmann. C'est à Rome, où il vécut près de quarante ans, qu'il réalisa la plupart de ses oeuvres, en y recueillant l'hommage d'Antonio Canova. Devenu son grand rival, il s'en distingue par une application plus rigoureuse des canons de beauté propres à la statuaire antique. En témoigne son célèbre Jason et la toison d'or, qui le révèle au public en 1803 et le propulse au premier rang de la scène italienne et internationale. L'ouvrage qu'Eugène Plon lui consacrera en 1867 est le plus complet. Jamais réédité depuis une seconde édition en 1874, il l'est, à l'occasion du 250e anniversaire de la naissance de Thorvaldsen, dans une version présentée et annotée par Eryck de Rubercy. S'y ajoutent les textes sur Thorvaldsen des historiens d'art Henri Delaborde (1811-1899) et Sauveur Jacquemont (1837-1898) qu'accompagne la traduction inédite de textes d'auteurs allemands aussi essentiels que Friederike Brun, August Wilhelm Schlegel (lettre à Goethe), Wilhelm Waiblinger, Friedrich Hebbel et August Kestner.
René de Saint-Marceaux appartient à cette deuxième moitié du XIXe siècle qui voit la sculpture se libérer du carcan néo-classique. Saint-Marceaux fonde son oeuvre sur le mouvement, l'idéal, l'intime et il la pense en architecte. Artiste polymorphe, René de Saint-Marceaux nous a laissé quantités de créations enfouies sous les strates de l'histoire et dans les caves des musées. Leur redécouverte enrichit notre perception de l'art éclectique et multiple de cette époque précédant les bouleversements de la première guerre mondiale.
Résultat de plusieurs années d'enquête, de centaines d'heures d'entretiens avec les amis, la famille mais aussi les détracteurs d'Andy Warhol, cette biographie révèle les origines de l'icône du pop art.
Jamais un texte ne s'est penché avec autant d'attention sur son parcours, depuis son enfance au sein d'une famille d'émigrés ruthènes dans la banlieue industrielle de Pittsburgh jusqu'à son quotidien tumultueux à New York. Véritable time capsule, ce document est une plongée dans la vie complexe et controversée de l'artiste... Rédacteur en chef de la célèbre revue Interview, Victor Bockris consigne dans un style unique une époque et cristallise les voix de ceux que Warhol aura croisés tout au long de sa vie. Cette biographie, publiée pour la première fois dans son intégralité en France, dépasse la simple anecdote pour raconter mieux que personne l'ascension d'Andy Warhol et sa course effrénée et obsessionnelle vers la gloire.
Today still considered a "Bad Boy", Pascin was a brilliant artist who lived and worked in the shadow of contemporaries such as Picasso, Modigliani, and several others. A specialist of the feminine form, his canvasses are as tormented as his party lifestyle. The artist, considered scandalous for the erotic character of his works, exhibited in numerous Salons, notably in Berlin, Paris, and New York.
L'ensemble des sculptures de Docteur Koffi DONKOR retrace l'histoire commune des différents peuples qui les abritent. Les monuments sont les témoins du vécu. Ces créations monumentales cachent des intérêts identitaires qui restent à clarifier. Cette approche globale sur l'art monumental s'impose comme une nécessité de recherche, pour la simple raison que le regard des spectateurs doit s'orienter vers la destinée des oeuvres, afin que l'ensemble des peuples s'approprie l'unité culturelle Ivoirienne.
Le 4 août 1897, des ouvriers agricoles découvrent à La Alcudia, site de l'antique Ilici (Elche, au sud de la province d'Alicante), une sculpture ibérique datant du ve-ive siècle av. J.-C. et connue sous le nom de Dame d'Elche. Sa singularité et « l'étrangeté troublante de sa beauté » (Pierre Paris) attirent l'attention des archéologues européens. Très vite considérée comme le chef-d'oeuvre de l'art ibérique, la statue devient une source d'inspiration pour les artistes et, sous la plume des idéologues régionalistes et nationalistes espagnols, une icône identitaire. Le but de cet ouvrage, écrit par un archéologue et une anthropologue, n'est pas seulement de dire ce qu'était la Dame dans l'Antiquité mais aussi et surtout ce qu'elle est devenue pour les hommes et les femmes de notre époque qui se sont interrogés sur elle, l'ont admirée, aimée et souvent réinventée.
Dans la famille des poètes-ajusteurs autodidactes, la modestie compense le génie des ingénieurs ou la prétention des grands artistes. Robert Dugué caresse le bois : condensation des tensions et redéploiement des courbes électriques. Poèmes et images viennent alors fusionner en un album familier des bêtises quotidiennes, les siennes et celles des autres.
Cette édition est intégralement illustrée.
Cet hiver, la revue ESPACE art actuel propose un dossier dirigé par Marie-Pier Boucher, présentant des textes couvrant des pratiques artistiques visant à revoir l'imaginaire spatial sous l'angle féministe. Jessica Ragazzini se penche sur le travail d'Iris van Herpen, créatrice de mode et artiste néerlandaise dont les oeuvres se teintent de préoccupations entre autres écologiques. Lexington Davis, Michael DiRisio et Evan Moritz abordent, dans leur texte respectif, des artistes aux démarches et styles divers, mais qui tous à leur façon critiquent l'impérialisme et le colonialisme de l'exploration spatiale. Le numéro comprend aussi un texte sur le projet du Museo dell'Altro e dell'Altrove di Metropoliz - le Musée de l'autre et de l'ailleurs par Fiona Annis et deux courts entretiens, l'un avec Michelle S. A. McGeough à propos de la cosmologie autochtone et l'autre avec Agnes Meyer-Brandis qui porte, entre autres, sur son projet Cloud Core Scanner (2007).
Ce récit raconte l'initiation à l'art de pénétrer la pierre d'un jeune artiste au parcours à nul autre pareil. Ce jeune artiste produira une oeuvre abondante qu'il s'appliquera à ne pas divulguer pour respecter le souhait de clients prestigieux qui se sont réservés ses ouvrages. Peut-être sera-t-il un des anonymes de la deuxième moitié du 20ème siècle.
Qu'est-ce que la sculpture contemporaine ? Répondre à cette question, c'est dresser une histoire de l'art du volume qui s'étend de l'assemblage à l'installation, de l'art de l'objet au Land Art. Les sept décennies de 1945 à aujourd'hui ont vu - avec Brancusi, Giacometti, Carl Andre, Louise Bourgeois, Robert Smithson, Tinguely, Richard Serra - le champ élargi de la sculpture se redéfinir comme l'art public par excellence qui anime l'espace et métamorphose le site où il prend place. La prise en compte de l'oeuvre dans sa matérialité et dans son environnement conduit surtout à faire de la sculpture le lieu des interrogations métaphysiques et existentielles, la manifestation de l'énergie de l'homme contemporain dans sa multiplicité inventive.
Paul-Louis Rinuy a dirigé la Revue de l'art, et écrit et organisé des expositions sur de nombreux sculpteurs des XXe et XXIe siècles, Brancusi, Giacometti, Zadkine, Étienne-Martin, Dodeigne, Jean-Pierre Raynaud, Penone ou Alain Kirili. Commissaire d'exposition, critique d'art et universitaire, il a notamment publié : avec Thierry Dufrêne, De la sculpture au XXe siècle, Presses Universitaires de Grenoble, 2001; Dodeigne, Adam Biro, 2002; Épreuves du mystère, Ereme, 2008; Patrimoine sacré (XXe-XXIe siècles). Les lieux de culte en France depuis 1905, Éditions du Patrimoine, 2014; Le Corps de la sulpture, Beaux-Arts éditions, 2016.