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Palestine. La mer Morte s'est évaporée. La maladie du sel dévore la région et menace l'humanité. Pourtant, là où étaient relégués des milliers d'habitants, survivent paysans, colons, soldats, prisonniers et ouvriers. Ensemble, ils rebâtissent une communauté. Des colonies de flamants roses s'installent. Une utopie naît. La danse des flamants roses raconte l'histoire d'un groupe d'alliés improbables qui, grâce aux vivants, apprennent à vivre ensemble autrement, sans cette volonté si humaine de nommer, maîtriser et posséder la vie. La danse des flamants roses rejette le fatalisme en posant la question : et si la Palestine produisait la seule utopie possible?
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Flora et Yasmina vivent leur vie d'étudiante en Côte d'Ivoire. Le pays sombre dans une crise politique. Prises dans la tourmente, les deux amies voient leur destin bifurquer. Yasmina est forcée de rentrer au village alors que Flora se réfugie à Johannesburg où elle recommence sa vie.
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Les racistes n'ont jamais vu la mer
Rodney Saint-Eloi, Yara El-Ghadban
- Mémoire d'encrier
- Essai
- 4 Octobre 2021
- 9782897128135
Parlons de racisme puisque le racisme concerne tout le monde. Les écrivains Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban invitent à prendre part à cette conversation délicate, mais combien nécessaire. Ni manifeste, ni manuel, ni acte d'accusation, Les racistes n'ont jamais vu la mer engage le dialogue sur nous-mêmes et sur les autres. Tout s'exprime librement, se confronte et se répond. Les mots. Les expériences. Les idées. Les émotions. Parlons de racisme puisqu'il faut dépasser le repli sur soi. Pour vivre ensemble, autrement.
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Grand roman de l'apartheid où violence et beauté demeurent l'héritage de l'histoire. Sindiwe Magona signe un récit bouleversant sous forme de lettre. L'Afrique du Sud y est racontée tout en nuances, complexité et passion.
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Culbuter le malheur, livre-phare marquant la commémoration des 30 ans du génocide des Tutsi au Rwanda (1994-2024). Un million de morts en trois mois. Des silences et des silences. Adolescente à l'époque, Beata Umubyeyi Mairesse a échappé au géno-cide. Elle offre dans ce double recueil les mots justes pour faire mémoire par une énonciation radicale de ce qui est un désir puissant de vivre à présent, au présent. L'autrice fait danser les mots-pagaille, les mots-bataille, entre ici et là-bas, entre hier et demain pour inventer un imaginaire décolonisé à offrir aux enfants du jour d'après.
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Un océan, deux mers, trois continents
Wilfried N'Sonde
- Mémoire d'encrier
- Roman/Récit
- 6 Février 2018
- 9782897125608
Un océan, deux mers, trois continents raconte l'histoire mouvementée de Nsaku Ne Vunda, premier ambassadeur noir au Vatican, né vers 1583 sur les rives du fleuve Kongo. Plongé au coeur de la traite des Noirs et de l'esclavage, il est confronté à une suite d'épreuves qui mettront à mal sa foi en Dieu et en l'homme. Wilfried N'Sondé signe, avec cette épopée autour de ce personnage méconnu de l'Histoire, un plaidoyer pour la dignité et la liberté.
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Symbole de l'identité palestinienne, l'olivier est un appel au temps et à la mémoire. Relation profonde à la terre, l'olivier est la métaphore d'un ancrage centenaire. Ce roman, une enfance palestinienne, est un rappel de la part de rêve et de magie que l'on oublie trop souvent.
C'est à l'ombre de l'olivier que résonne la voix de Yuryur. Elle aura bientôt dix ans. Elle évoque les êtres et les choses qui lui sont chers, confiant ses secrets et ses rêves à son ami l'Oiseau. Yuryur nous promène dans les villes de son enfance, Dubaï, Beyrouth, Damas, Sanaa. Malgré la guerre, le pari est lancé : la poésie, la musique, l'espoir et la dignité.
Dans ce roman lumineux, les faits et les objets du quotidien représentent un rituel à célébrer. Le sel de la mer. Le crépitement des coquillages sous l'effet de la chaleur. Les chants de Maman pour que poussent les plantes. La poésie de Papa. Le pain sous l'oreiller de Kinno. La sauge du thé de Téta Hilweh. Le grenadier de Jiddo Hamid. Les leçons de piano. Le lait cru qui garde tout son bien. Le vélo d'Aleksey. Le panier de fruits de Wafiq. Les veillées dans le camp de réfugiés.
Point de vue de l'autrice
Lorsqu'il est question des Palestiniens, on évoque généralement la guerre, la souffrance, la mort, la violence. Coincé entre l'image de la victime et celle du terroriste, on a du mal à imaginer un Palestinien sourire, rire, rêver, fantasmer, partager un repas tranquille, discuter de musique et de poésie. L'amour et la tendresse, sans angoisse, ni amertume, la famille dans son intimité, mais surtout le bonheur, la magie, le rêve, l'innocence et le deuil de l'enfance qui font partie de l'univers de tout enfant. C'est ce que j'ai voulu écrire. -
Après quinze années d'absence, Manuel revient à Fonds-Rouge, en Haïti. Le village est en proie à la sécheresse, les habitants vivent dans la pauvreté, les tensions sont quotidiennes. Manuel, qui a travaillé dans les plantations de canne à sucre à Cuba et qui connaît les techniques de l'irrigation, réussit à trouver une source. Après avoir partagé son secret avec Annaïse, il tente de persuader les villageois divisés de travailler ensemble pour faire circuler l'eau. Dans une ultime tentative de réconciliation, Manuel réussit à ramener la dignité humaine et la réconciliation à Fonds-Rouge.
Gouverneurs de la rosée, chef d'oeuvre de Jacques Roumain, traduit dans plus d'une vingtaine de langues, est le livre de la solidarité, de l'amour et de la vie. -
Vivant hors réserve et cherchant tant bien que mal à s'acclimater à la vie urbaine, Jonny devient travailleur du cybersexe pour gagner sa vie. Il a devant lui très exactement une semaine avant de devoir rentrer à la réserve pour assister aux funérailles de son beau-père. Les sept jours qui suivent se déclinent comme un rêve enfiévré : histoires d'amour, traumatismes, sexe, liens familiaux, désirs et ambitions, souvenirs déchirants de sa kokum (grand-mère) si chère, etc. La vie de Jonny consiste en une série de ruptures, mais aussi de liens inextricables. Tout en se préparant au retour à la maison, Jonny tente de rassembler les divers morceaux de sa vie.
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Diego saute du cinquième étage à Madrid. Sa soeur rentre au pays natal, le Mexique, avec les cendres de son petit frère. Elle raconte les hauts et les bas de l'enfance, la douceur des grands-parents, les frasques de la mère et la survie dans une Espagne qui ne voulait pas d'eux.
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Gary Victor met en scène un adolescent adorable qui découvre les livres, la sexualité, les secrets de la famille et la vérité sur son milieu. Il grandit sous la dictature et apprend tout en même temps, avec une violence inouïe. L'éducation se fait ainsi, dans ce Port-au-Prince où le Palais national et la dictature irriguent la vie de chaque citoyen.
Carl Vausier est cet adolescent en pleine agitation sexuelle. Ses étreintes imaginaires dans la bibliothèque paternelle et ses folles virées dans les bas-fonds de Port-au-Prince au début des années 1970 vont lui faire découvrir à la fois sa propre nature et le monde pourri qui l'entoure. Carl entre en contact, grâce à un jeu de correspondance, avec la mystérieuse Coeur Qui Saigne. C'est le début de son éducation sentimentale. Tout bascule alors dans la folie et la cruauté.
Un roman d'une rare conviction qui rappelle la vérité sur l'ambiguïté des postures politiques et les contradictions d'une société où le réel et le fictif se recoupent parfaitement.
Maudite éducation est une manière plus intériorisée de Gary Victor. L'auteur alterne fiction et scènes de vie. Un texte remarquable, thématique risquée, écriture dense, liberté de ton et de style, le romancier Victor ne cesse de nous étonner. -
Tainna : celles et ceux qu'on ne voit pas
Norma Dunning
- Mémoire d'encrier
- Roman/Récit
- 15 Septembre 2023
- 9782897129460
Après son livre à succès, Annie Muktuk et autres histoires (Mémoire d'encrier 2021), ancré dans le Nord, dans la vie et les légendes des Inuit, l'autrice inuit Norma Dunning fait résonner dans Tainna, la voix de celles et ceux qu'on ne voit pas - les Inuit des milieux urbains vivant dans le sud du Canada. Sans-abri ou immensément riches, jeunes ou vieux, vivants ou non, les personnages de Tainna sont tantôt habités par un sentiment d'aliénation, de mal du pays et de solitude, tantôt par la lumière et la force des ancêtres, de la communauté et des liens familiaux. À la fois drôle et cinglant, Tainna donne vie à des personnages attachants qui affrontent avec humour et ténacité le racisme, la misogynie et la discrimination.
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Quatrième recueil de poèmes en innu-aimun et en français où Joséphine Bacon renouvelle son univers. Loin des légendes innues, l'aînée des poètes s'installe entre les saisons et avance lentement dans une méditation sur l'arbre, le temps et le silence.
Préface de Marie-Andrée Gill -
Hommage aux travailleurs essentiels, à la main qui travaille et façonne le jour. Respect à ces corps de femmes et d'hommes broyés par le système, mais qui y échappent par le rêve et l'amour. D'une fulgurance à l'autre, la poésie de Lorrie Jean-Louis nous tient par les tripes. On ne sort pas indemne de cette traversée. Après le succès de La femme cent couleurs, Lorrie Jean-Louis revient avec Main-d'oeuvre, livre d'une rare puissance. Une voix poétique singulière qui dit l'absolu et la solidarité. Point de vue de l'autrice: Main-d'oeuvre est l'ouvrage qui a la prétention de capter les voix de celles et de ceux qu'on n'entend pas. Puis à ce désir irrémissible d'être digne du sacré, de valoir enfin quelque chose à ses propres yeux et à ceux d'autrui. Main-d'oeuvre est une parade silencieuse des sans-apparats, de toutes ces personnes qui ne comptent pas, qu'on range trop vite dans une section de l'oubli pour un monde pas si beau que ça. Dans une première partie, nous sommes avec cette main-d'oeuvre qui écrit son nom, questionne sa place, demande la solidarité des moins bien placés. Dans une deuxième partie, cette même main-d'oeuvre s'exalte, se révolte, refuse le contrat qu'on l'exige de signer, demande à être aimée sans les habits du sacré, profane.
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Annie Muktuk et autres histoires
Norma Dunning
- Mémoire d'encrier
- Legba
- 15 Septembre 2023
- 9782897129491
Annie Muktuk, les hommes la désirent et se l'arrachent. Elle règne avec sa beauté légendaire et sa gloire chimérique sur le petit monde d'Igloolik. Des visages hauts en couleur prennent aux tripes. Josephee, se fiant à la ruse des Esprits, amène sa femme Elipsee sur le territoire dans l'Arctique pour la guérir du cancer. Husky, agent de la Compagnie de la Baie d'Hudson, vit rondement avec ses trois épouses, Tetuk, Alaq et Keenaq jusqu'au jour où ils partent ensemble en vacances dans le sud. Ces récits droles et crus disent le racisme, l'aliénation, mais aussi la tendresse, le sexe et l'humour. Annie Muktuk touche au coeur de ce que signifie être inuit.
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Pourquoi tu danses quand tu marches?
Abdourahman A. Waberi
- Mémoire d'encrier
- Legba
- 22 Janvier 2020
- 9782897126865
Un matin, sur le chemin de l'école maternelle, à Paris, une petite fille interroge son père : « Dis papa, pourquoi tu danses quand tu marches ? ». La question est innocente et grave. Pourquoi son père boite-t-il, pourquoi ne fait-il pas de vélo, de trottinette... ? Le père ne peut pas se dérober. Il faut raconter ce qui est arrivé à sa jambe, réveiller les souvenirs, retourner à Djibouti, au quartier du Château d'eau, au pays de l'enfance. Dans ce pays de lumière et de poussière, où la maladie, les fièvres d'abord puis cette jambe qui ne voulait plus tenir, l'ont rendu différent, unique. Il était le « gringalet » et « l'avorton » mais aussi le meilleur élève de l'école, le préféré de Madame Annick, son institutrice venue de France, un lecteur insatiable, le roi des dissertations.
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L'ouvrage Treize nouvelles vaudou explore l'imaginaire dans ses mystérieux labyrinthes. Une manière propre à l'écrivain Victor de sillonner le vaudou avec humour, force et passion. Ce jeune maître du fantastique va très loin, en puisant dans son quotidien les armes pour mieux voir la réalité. Le résultat est que dans ces nouvelles discrètes et subtiles, tombe la frontière entre réel et imaginaire, le visible et l'invisible. Les dieux et les hommes se mêlent à la même histoire loufoque qui s'appelle VIVRE.
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« J'aimerais que vous la connaissiez la fille au ventre rond. Celle qui élèvera seule ses enfants. Qui criera après son copain qui l'aura trompée. Qui pleurera seule dans son salon, qui changera des couches toute sa vie. Qui cherchera à travailler à l'âge de trente ans, qui finira son secondaire à trente-cinq, qui commencera à vivre trop tard, qui mourra trop tôt, complètement épuisée et insatisfaite. Bien sûr que j'ai menti, que j'ai mis un voile blanc sur ce qui est sale.»
Un récit sans concession. La justesse du ton et de la voix. La parole belle, féconde et vraie. L'extrême humilité d'une réserve amérindienne. Des vies échouées au large d'une baie. La grandeur d'un peuple oublié. La condition humaine. Et une prose lumineuse. -
Retranchées dans des cités qui tirent leur nom de la légende biblique - Puissance Divine, Bethléem - des gangs de bandits pillent, violent et assassinent, en toute impunité. Celia, adolescente, cherche à survivre, tantôt en se prostituant, tantôt en faisant la chronique des femmes de la cité sur les réseaux sociaux, où elle devient influenceuse. Les villages de Dieu dit l'effondrement et la banalité du mal dans cette ville de Port-au-Prince livrée à ses démons.
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Face à l'urgence climatique, à la montée des extrêmes, au mythe du pétrole et aux crispations identitaires, Dalie Giroux dit la faillite d'un ordre mondial déconnecté et les luttes qui esquissent des voix de résistance pour demain. Écrit magistralement, à la manière d'un pamphlet, ce livre incendiaire fait entendre les voix et les colères. l'autrice y va librement, par fragments, d'un bout à l'autre, peut-être qu'il a fallu un langage nouveau pour nommer et rendre compte des crises que vit le monde.
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Atiku Utei : le coeur du caribou
Rita Mestokosho
- Mémoire d'encrier
- Poésie
- 17 Octobre 2022
- 9782897128722
Atiku utei, « le coeur du caribou », c'est la force d'un peuple et sa grande humilité. Les Innus ont marché à travers les tempêtes de la vie. Ils ont traversé des montagnes pour se nourrir de l'esprit du caribou. Ils puisaient en lui leur force, leur courage, leur savoir. Au son du tambour, l'appel de la forêt aiguise l'instinct. La poète au coeur du caribou entend la voix de Madiba, Nelson Mandela. Elle entend les tambours jaillir et leur son ressemble à ceux de son peuple. Lui, son coeur, c'est la paix et cette poussière qui soulève le ciel à l'infini. Elle plonge dans la rivière des poèmes, sables neiges libres. Homme frère grand-père la voix de Madiba lui parle. Atiku utei et Un jour Madiba m'a dit invoquent ensemble le pouvoir de guérison du coeur. Le mot liberté n'existe pas en innu-aimun. Le caribou est la liberté.
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23h52, un homme gît sur le sol, entre la vie et la mort. Sa fille est auprès de lui. Elle attend les secours. Son petit-fils dort. Des voix traversent la nuit : la fille, le père, le pompier, l'agente de sécurité, la médecin accompagnent cette vie qui bascule. Elles racontent ce coeur qui s'épuise. Elles cherchent leur propre souffle à travers le combat de cet homme, père, grand-père, humain. Quand je vis est un théâtre de la mort et de la vie, une poésie pleine de suspense, un livre aux pages nerveuses qui défient le temps.
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Alliant chronique, récit de soi et de la nature, Abandon raconte l'Amérique indomptée et ses paysages sauvages. À l'aube de la cinquantaine, Joanna Pocock quitte sa vie londonienne pour le Montana. Elle observe le territoire, découvre l'imaginaire frontalier de l'Ouest américain et ses extrêmes. Elle traverse les forêts et les montagnes, dialogue avec les rivières, les loups et les bisons, relate ses expériences : maternité, deuil, crise climatique, réensauvagement, écosexe... Consciente de ce que l'humanité perd dans sa relation avec la terre, elle se met à l'écoute de ces communautés qui disent la fragilité de ce que c'est que vivre. En restituant l'Amérique dans sa démesure, Abandonaide à respirer.
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Journal d'un écrivain en pyjama
Dany Laferrière
- Mémoire d'encrier
- Roman/Récit
- 31 Mai 2013
- 9782897120658
«Le pyjama est un étrange habit de travail», nous dit Dany Laferrière, qui, après trente années d'écriture, décide de parler à ses lecteurs. Suite de fragments et de scènes où fiction, réflexion, récit, méditations s'alternent. Journal d'un écrivain en pyjama met sous nos yeux l'itinéraire de cet écrivain pour qui la vie est une aventure exaltante, qui se conjugue entre lire et écrire.
Dans L'art presque perdu de ne rien faire, la réflexion était sur la rêverie et la philosophie, et le rapport que nous entretenons avec la vitesse, Laferrière commandait de ralentir pour contrer cette espèce d'urgence. Cette réflexion se poursuit autrement dans Journal d'un écrivain en pyjama. L'auteur intervient ni en savant ni en érudit, mais plutôt en écrivain-lecteur, dandy, esthète passionné : Que lisons-nous ? Qu'écrivons-nous ? Et quelles sont les incidences des livres dans notre vie quotidienne?
Journal d'un écrivain en pyjama suggère l'idée de l'écrivain amateur, avec cette odeur printanière et l'enthousiasme des débuts. On lit, on rêve, on écrit. C'est une part essentielle dans la cité. Imaginez un écrivain en pyjama dans cet art de converser... C'est un «dialogue que j'ai appris sur la galerie de ma grand-mère quand elle proposait une tasse de café aux passants. L'encre remplace l'oralité... Je prolonge la manière de ma grand-mère : le café pour Da, et l'encre pour moi. Deux carburants qui irriguent la conversation et le dialogue. Personne ne peut m'empêcher de converser avec Montaigne un lundi matin. On n'a qu'à ouvrir Feuille d'herbe pour que Walt Whitman nous parle.»
Journal d'un écrivain en pyjama est un livre magnifique écrit durant la nuit et dont l'esprit irrigue le jour.