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à la recherche du temps perdu Tome 1 : du côté de chez Swann
Marcel Proust
- Thriller Editions
- 1 Janvier 1970
- 9782363816627
« Longtemps, je me suis couché de bonne heure », le célèbre incipit est énoncé par un narrateur « je », insomniaque qui se remémore les différentes chambres à coucher de son existence. Il évoque ainsi les souvenirs de Combray, lieu de villégiature de son enfance...
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L'abbé Faria, érudit, qui s'est pris d'amitié pour Dantès, lui donner une éducation exceptionnelle, tant économique que politique, sociale, philosophique et mondaine. Le prêtre lui a même dévoilé, dans une déduction littéralement, le complot tramé par Danglars et Fernand Mondego en présence de Caderousse ainsi que la participation décisive de Gérard de Villefort, substitut du procureur du roi à Marseille. Faria lui a également révéler le secret qui l'a fait passer pour fou aux yeux de ses geôliers : il est le dépositaire d'un immense trésor, celui des Spada, enterré depuis des siècles dans l'île de Monte-Cristo. Les deux prisonniers décident de préparer ensemble leur évasion, mais le vieux prêtre meurt et Edmond s'imaginant être enterré, prend sa place dans le sac cousu, muni du couteau de l'abbé. Il vivra d'intenses moment de terreur en comprenant - trop tard - qu'il va être jeté à la mer comme tous les malheureux prisonniers morts captifs avec aux pieds un boulet de trente-six. Retrouvant la liberté après quatorze ans de captivité, et devenu richissime, Dantès revient à Marseille. Il y apprend que son père est mort, sans doute de faim, et que sa fiancée Mercédes, le croyant mort, a épousé son cousin Fernand Mondego, un pêcheur épris d'elle et habitant, comme elle, le quartier des Catalans.
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Sans cesse à mes côtés s'agite le Démon ;
II nage autour de moi comme un air impalpable ; Je l'avale et le sens qui brûle mon poumon.
Et l'emplit d'un désir éternel et coupable.
Parfois il prend, sachant mon grand amour de l'Art,
La forme de la plus séduisante des femmes,
Et, sous de spécieux prétextes de cafard,
Accoutume ma lèvre à des philtres infâmes.
II me conduit ainsi, loin du regard de Dieu,
Haletant et brisé de fatigue, au milieu Des plaines de l'Ennui, profondes et désertes... -
Ismaël est attiré par la mer et le grand large. Il décide alors de partir à la chasse à la baleine et embarque sur le Pequod, un baleinier commandé par le capitaine Achab. Mais Ismaël s'aperçoit que le bateau ne chasse pas uniquement pour alimenter le marché de la baleine. Achab est à la recherche de Moby Dick, un cachalot blanc d'une taille impressionnante et particulièrement féroce qui par le passé lui a arraché une jambe. Achab emmène son équipage dans un périple autour du monde à la poursuite du cachalot dont il a juré de se venger. Le Pequod finira par sombrer au large des îles Gilbert en laissant Ismaël seul survivant, flottant sur un cercueil...
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De sa plume incomparable, Alexandre Dumas nous fait vivre les aventures d'un Gascon désargenté : d'Artagnan, monté à Paris dans le but de faire carrière. Arrivé dans la capitale, il se lie d'amitié avec Athos, Porthos et Aramis, mousquetaires du roi Louis XIII. Ces quatre hommes vont s'opposer au premier ministre, le Cardinal de Richelieu, et à ses agents, dont la belle et mystérieuse Milady de Winter, pour sauver l'honneur de la reine de France Anne d'Autriche. Avec ses nombreux combats et ses rebondissements romanesques, « Les Trois mousquetaires » est l'exemple type du roman de cape et d'épée...
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C'est l'histoire d'une femme mal mariée, de son médiocre époux, de ses amants égoïstes et vains, de ses rêves, de ses chimères, de sa mort. C'est l'histoire d'une province étroite, dévote et bourgeoise. C'est, aussi, l'histoire du roman français. Rien, dans ce tableau, n'avait de quoi choquer la société du Second Empire. Mais, inexorable comme une tragédie, flamboyant comme un drame, mordant comme une comédie, le livre s'était donné une arme redoutable : le style. Pour ce vrai crime, Flaubert se retrouva en correctionnelle, rien de moins. Aucun roman n'est innocent et celui-là moins qu'un autre. Dans chacune de ses phrases, Flaubert a versé une dose de cet arsenic dont Emma Bovary s'empoisonne...
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Dorian Gray se souvient, il a fait ce voeu insensé de garder toujours l'éclat de sa beauté et tandis que son visage peint sur la toile assumerait le fardeau de ses passions et de ses péchés, lui conserverait sa jeunesse. De fait, seul vieillit le portrait où l'âme noire de Dorian. Le portrait de Dorian Gray évoque un Londres lugubre, noyé dans le brouillard et les vapeurs d'opium...
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Le Père Goriot, qui croyait pouvoir quitter la pension avec Rastignac pour vivre auprès de sa fille Delphine, meurt en apprenant brutalement la situation familiale et financière désastreuse de ses filles, qui lui réclament son aide sans ménagement. Peu de temps avant, on lui avait diagnostiqué une grave crise d'apoplexie. Bianchon, un des pensionnaires et ami de Rastignac, a lui-même diagnostiqué le Père Goriot. Rastignac assiste à l'enterrement du vieillard, que ses filles n'accompagnent même pas au cimetière. Bien qu'il soit assez ému par la détresse du vieillard, Rastignac se laisse emporter par sa passion du pouvoir et de l'argent et, subjugué par la vue des quartiers riches de Paris, il se lance à la conquête de la capitale...
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Le coeur du récit est tiré du roman de Sainte-Beuve, Volupté, qu'Honoré de Balzac avait déjà traité et d'une certaine manière réécrit avec Le Lys dans la vallée. Le roman de Flaubert reprend le même sujet selon des règles narratives entièrement neuves, réinventant le roman d'apprentissage pour lui donner une profondeur et une acuité jamais atteinte. Malgré une critique négative lors de sa parution, il est devenu, depuis Proust, un livre de référence pour les romanciers du XXe siècle.
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Bel-Ami est un roman qui retrace l'ascension sociale de Georges Duroy, homme ambitieux, séducteur et quelque peu opportuniste, employé au bureau des chemins de fer du Nord, parvenu au sommet de la pyramide sociale parisienne grâce à ses maîtresses et au journalisme. Sur fond de politique coloniale, Maupassant décrit ici les liens étroits entre le capitalisme, la politique, la presse, l'influence des femmes privées de vie politique depuis le code Napoléon et qui oeuvrent dans l'ombre. Sexe, argent et pouvoir sont encore et toujours en filigrane de l'histoire des hommes...
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À la fin du XIXe siècle, par un froid dimanche de novembre, François Seurel, qui habite auprès de ses parents instituteurs une longue maison rouge - l'école du village -, attend la venue d'Augustin que sa mère a décidé de mettre ici en pension pour qu'il suive le cours supérieur : l'arrivée du grand Meaulnes à Sainte-Agathe va bouleverser l'enfance finissante de François.
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Jeanne est une jeune aristocrate qui, pour ses dix-sept ans, quitte le couvent pour commencer une vraie « vie ». Elle s'en va donc de chez elle avec son père et sa mère qui lui lèguent un château pour y vivre avec son prochain mari : Julien de Lamare. Celui-ci, qu'elle rencontre dans les quelques jours suivants sa sortie du couvent, est un véritable avare et un égoïste. Il trompe Jeanne avec sa domestique Rosalie, puis avec une voisine du nom de Gilberte de Fourville. Jeanne accouche de son premier enfant, Paul, qui connaît de graves problèmes de santé...
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Extrait
Chapitre 1
Il était impossible de se promener ce jour-là. Le matin, nous avions erré pendant une heure dans le bosquet dépouillé de feuilles ; mais, depuis le dîner (quand il n'y avait personne, Mme Reed dînait de bonne heure), le vent glacé d'hiver avait amené avec lui des nuages si sombres et une pluie si pénétrante, qu'on ne pouvait songer à aucune excursion.
J'en étais contente. Je n'ai jamais aimé les longues promenades, surtout par le froid, et c'était une chose douloureuse pour moi que de revenir à la nuit, les pieds et les mains gelés, le cœur attristé par les réprimandes de Bessie, la bonne d'enfants, et l'esprit humilié par la conscience de mon infériorité physique vis-à-vis d'Éliza, de John et de Georgiana Reed.
Éliza, John et Georgiana étaient groupés dans le salon auprès de leur mère ; celle-ci, étendue sur un sofa au coin du feu, et entourée de ses préférés, qui pour le moment ne se disputaient ni ne pleuraient, semblait parfaitement heureuse. Elle m'avait défendu de me joindre à leur groupe, en me disant qu'elle regrettait la nécessité où elle se trouvait de me tenir ainsi éloignée, mais que, jusqu'au moment où Bessie témoignerait de mes efforts pour me donner un caractère plus sociable et plus enfantin, des manières plus attrayantes, quelque chose de plus radieux, de plus ouvert et de plus naturel, elle ne pourrait pas m'accorder les mêmes privilèges qu'aux petits enfants joyeux et satisfaits.
« Qu'est-ce que Bessie a encore rapporté sur moi ? demandai-je.
– Jane, je n'aime pas qu'on me questionne ! D'ailleurs, il est mal à une enfant de traiter ainsi ses supérieurs. Asseyez-vous quelque part et restez en repos jusqu'au moment où vous pourrez parler raisonnablement. »
Une petite salle à manger ouvrait sur le salon ; je m'y glissai. Il s’y trouvait une bibliothèque ; j'eus bientôt pris possession d'un livre, faisant attention à le choisir orné de gravures. Je me plaçai dans l'embrasure de la fenêtre, ramenant mes pieds sous moi à la manière des Turcs, et, ayant tiré le rideau de damas rouge, je me trouvai enfermée dans une double retraite. Les larges plis de la draperie écarlate me cachaient tout ce qui se trouvait à ma droite ; à ma gauche, un panneau en vitres me protégeait, mais ne me séparait pas d'un triste jour de novembre. De temps à autre, en retournant les feuillets de mon livre, j'étudiais l'aspect de cette soirée d'hiver. Au loin, on voyait une pâle ligne de brouillards et de nuages, plus près un feuillage mouillé, des bosquets battus par l'orage, et enfin une pluie incessante que repoussaient en mugissant de longues et lamentables bouffées de vent.
Je revenais alors à mon livre. C'était l'histoire des oiseaux de l’Angleterre par Berwick. En général, je m’inquiétais assez peu du texte ; pourtant il y avait là quelques pages servant d'introduction, que je ne pouvais passer malgré mon jeune âge. Elles traitaient de ces repaires des oiseaux de mer, de ces promontoires, de ces rochers solitaires habités par eux seuls, de ces côtes de Norvège parsemées d'îles depuis leur extrémité sud jusqu'au cap le plus au nord, « où l'Océan septentrional bouillonne en vastes tourbillons autour de l'île aride et mélancolique de Thull, et où la mer Atlantique se précipite au milieu des Hébrides orageuses. »
Je ne pouvais pas non plus passer sans la remarquer la description de ces pâles rivages de la Sibérie, du Spitzberg, de la Nouvelle-Zemble, de l'Islande, de la verte Finlande ! J'étais saisie à la pensée de cette solitude de la zone arctique, de ces immenses régions abandonnées, de ces réservoirs de glace, où des champs de neiges accumulées pendant des hivers de bien des siècles entassent montagnes sur montagnes pour entourer le pôle, et y concentrent toutes les rigueurs du froid le plus intense.
Je m'étais formé une idée à moi de ces royaumes blêmes comme la mort, idée vague, ainsi que le sont toutes les choses à moitié comprises qui flottent confusément dans la tête des enfants ; mais ce que je me figurais m'impressionnait étrangement. Dans cette introduction, le texte, s'accordant avec les gravures, donnait un sens au rocher isolé au milieu d'une mer houleuse, au navire brisé et jeté sur une côte déserte, aux pâles et froids rayons de la lune qui, brillant à travers une ligne de nuées, venaient éclaircir un naufrage.
Chaque gravure me disait une histoire, mystérieuse souvent pour mon intelligence inculte et pour mes sensations imparfaites, mais toujours profondément intéressante ; intéressante comme celles que nous racontait Bessie, les soirs d'hiver, lorsqu'elle était de bonne humeur et quand, après avoir apporté sa table à repasser dans la chambre des enfants, elle nous permettait de nous asseoir toutes auprès d'elle. Alors, en tuyautant les jabots de dentelle et les bonnets de nuit de Mme Reed, elle satisfaisait notre ardente curiosité par des épisodes romanesques et des aventures tirées de vieux contes de fées et de ballades plus vieilles encore, ou, ainsi que je le découvris plus tard, de Paméla et de Henri, comte de Moreland. -
Paris : 1482. Poète sans le sou, Gringoire est l'auteur d'un mystère qui doit être représenté le 6 janvier 1482 au Palais de justice en l'honneur d'une ambassade flamande. Malheureusement, l'attention de la foule est vite distraite, d'abord par le mendiant Clopin Trouillefou, puis par les ambassadeurs eux-mêmes, et enfin par l'organisation improvisée d'une élection du Pape des fous à l'occasion de la Fête des Fous qui a lieu ce jour-là. Le sonneur de cloches de Notre-Dame, Quasimodo, est élu Pape des Fous en raison de sa laideur...
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L'histoire commence dans une étude d'avoué où six clercs font des plaisanteries pendant qu'ils travaillent. Puis un vieil homme arrive et tous se moquent de lui parce qu'il porte des vêtements très anciens. Le vieil homme dit qu'il doit parler avec le patron de l'étude, M. Derville. Les clercs lui jouent un tour et disent que Maître Derville ne voit ses clients qu'à minuit. Alors le vieil homme sort et déclare être le colonel Chabert qui était mort dans la bataille d'Eylau, à la suite de la question d'un saute-ruisseau. Le colonel Chabert revient la nuit au bureau de M. Derville et l'avoué lui accorde une entrevue. Chabert lui raconte alors son histoire incroyable...
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« La peste soit de l'avarice et des avaricieux ! »... Tous ceux qui ont le malheur de fréquenter Harpagon ont à se plaindre de lui, car tous ont à subir la tyrannie de ce vieillard rongé par le désir de posséder toujours plus d'argent et d'en dépenser toujours moins. L'avare refuse à ses enfants un mariage d'amour et impose à tous les pires supplices au nom de cet argent qu'il entasse dans sa « chère cassette ». Mais un jour... la cassette disparaît...
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Octave et Léandre apprennent que leurs pères respectifs rentrent de voyage avec la ferme intention de les marier à des inconnues. Or, l'un d'eux vient d'épouser en secret Hyacinte et l'autre a promis le mariage à une jeune bohémienne. Que faire dans une telle situation ? Une seule solution : appeler le valet Scapin à la rescousse.
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Octave Mouret est veuf. Garçon pratique et actif, il va, en quelques années, faire du modeste commerce de sa femme, Madame Hédouin, un « grand magasin » moderne, une colossale entreprise qui, peu à peu, dévore tout le pâté de maisons et tue les petites boutiques du quartier.
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Hiver, 1870-71, durant la guerre franco-prussienne, la ville de Rouen est envahie par les Prussiens. Pour fuir l'occupation, dix personnes prennent la diligence de Dieppe : un couple de commerçants, un couple de bourgeois, un couple de nobles, deux religieuses, un démocrate et enfin Boule de Suif. Le voyage s'annonce difficile, la diligence n'avance pas. Les voyageurs ont faim et seule la jeune femme a pensé à emporter des provisions, qu'elle partage généreusement. Les voyageurs font étape dans une auberge à Tôtes occupée par les Prussiens. Pour pouvoir passer, Boule de Suif doit livrer son corps à un Prussien, mais elle refuse. Poussée jusqu'à sa fin par les neuf autres voyageurs, elle accepte. Le lendemain, l'officier Prussien les laisse partir. Continuant leur route, les voyageurs ignorent Boule de Suif qui, étant occupée, n'a pas pu faire de provisions alors que les autres avaient préparé leur déjeuner...
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Roland, un ancien bijoutier parisien, déménage avec toute sa famille. Après leurs études à Paris, les deux fils de M. et Mme Roland, Pierre, l'aîné, médecin, et Jean, avocat, décident de s'installer dans la nouvelle résidence familiale. Une somme d'argent laissée en héritage au cadet par un ami de la famille, Léon Maréchal, renforce la rivalité des deux frères, opposés physiquement et moralement. Un soupçon naît chez Pierre : et si Jean était le fils de Maréchal ?
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Le jeune Nicolas Poussin, encore inconnu, rend visite au peintre Porbus dans son atelier. Il est accompagné du vieux maître Frenhofer, qui émet de savants commentaires sur le grand tableau que Porbus vient de terminer. Il s'agit de Marie l'Égyptienne, dont Frenhofer fait l'éloge, mais qui lui paraît incomplet.
En quelques coups de pinceau, le vieux peintre métamorphose le tableau de Porbus au point que Marie l'Égyptienne semble renaître à la vie après son intervention.
Toutefois, si Frenhofer domine parfaitement la technique, il lui manque, pour son propre ouvrage, La Belle Noiseuse, toile à laquelle il travaille depuis dix ans, le modèle en art idéal, une femme qui lui inspirerait la perfection vers laquelle il tend sans jamais l'atteindre.
Ce futur chef-d'oeuvre, que personne n'a encore jamais vu, serait le portrait de Catherine Lescault. -
Le récit est celui de Jim Hawkins, fils d'un tenancier de l'auberge « L'Amiral Benbow » dans un port anglais au XVIIIe siècle. Un jour, un vieux loup de mer nommé Billy Bones débarque à l'auberge et s'y installe. Jim est fasciné par le marin colérique, violent et ivrogne ; d'autant qu'il semble peser sur ce dernier une obscure menace. Celle-ci se précise lorsque Pew, un mystérieux aveugle, remet à Billy Bones « la tache noire », annonciatrice de mort dans le monde des pirates. Alors que les heures de Billy Bones sont comptées, il meurt, foudroyé par une crise d'apoplexie, tandis qu'au même moment, le père de Jim meurt d'une grave maladie. En ouvrant le coffre du pirate, Jim et sa mère découvrent une carte indiquant la cachette d'un fabuleux trésor que la bande du fameux capitaine Flint a enfoui dans une île déserte. Avec l'aide du docteur Livesey et du châtelain Trelawney, un navire baptisé l'Hispaniola est affrété pour partir à sa recherche. Au cours de la traversée, Jim surprend une conversation entre le cuisinier, un personnage pittoresque à jambe de bois appelé Long John Silver, et des hommes d'équipage. Il apprend ainsi que la plupart des marins à bord de l'Hispaniola font partie de la bande de Flint et qu'une mutinerie se prépare pour s'emparer du trésor. Jim avertit ses amis du danger et ils décident de ne pas agir avant d'être à terre tout en restant sur leurs gardes. Lorsque l'île est atteinte, la lutte s'engage entre les deux groupes.
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Le marquis de Lantenac prend la tête de la révolte contre-révolutionnaire de Bretagne contre les partisans de la République. Mais il sera traqué par les révolutionnaires, mandaté par le Comité de Salut Public. Deux visions de l'Histoire, s'affrontent ainsi que deux système de valeurs antagoniste : l'antimatérialisme d'un côté, et le modernisme et l'idéalisme révolutionnaire et républicain de l'autre. On y rencontre Marat, Danton et Robespierre...
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Maître de musique, maître à danser, maître d'armes, maître de philosophie, maître tailleur, soupers fins, billets doux, rendez-vous secrets... Les plus folles extravagances sont entrées au logis... monsieur Jourdain s'est mis en tête des idées de noblesse et de galant homme. Hélas, pour avoir des idées notre homme n'en est pas moins bourgeois. Et sa bourgeoise, madame Jourdain, ne l'entend pas de cette oreille. Son mari décide de marier leur fille unique à un marquis ? Jamais ! Au fils du Grand Turc ? Il a perdu l'esprit ! ...Qu'il se ridiculise autant qu'il le souhaite, qu'il fasse de la prose autant que bon lui semble, monsieur Jourdain a, grâce au Ciel, valet moins sot que lui. La farce que le coquin lui prépare est, celle-là, du meilleur goût !