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Roman d'alpinisme urbain, Vers les hauteurs raconte, avec tendresse et humour, le désir de se hisser au-dessus des contingences.
Il existe deux Paris, celui des rues agitées, et celui des toits déserts.
En bas, règne l'effervescence inquiète des grandes villes surpeuplées ; en haut, s'ouvre un espace de liberté sereine et de douce exaltation. Sur le bitume, s'imposent les banquiers inflexibles et les autorités zélées ; sur les toits, s'élève la poésie des sommets.
Accompagné de Vincent, un écrivain voyageur qui l'a initié à l'alpinisme, Ludovic prend gout à l'ascension des facades. La nuit venue, il s'élance vers les hauteurs et y trouve un refuge aux soucis de la vie ordinaire. Il y découvre aussi un Saint-Germain-des-Prés inchangé, où vibrent la littérature, la liberté et l'amitié. -
Solaro traverse les épreuves de l'existence avec une force que les autres n'ont pas : il sait jouir du moment présent. Ce livre est son histoire, le roman d'un homme joyeux. C'est aussi une invitation à la réflexion, à comprendre ce qu'est la " joie ", cette force mystérieuse qui, à tout instant, peut rendre notre vie exaltante. "Je lui dis que ma sortie je n'y pense jamais. Jamais. Je lui dis que j'ai cette vie là à aimer et que c'est bien assez. Je lui dis que je ne veux pas de son espoir parce que l'espoir est un poison : un poison qui nous enlève la force d'aimer ce qui est là." Solaro traverse les épreuves de l'existence avec une force que les autres n'ont pas : il sait jouir du moment présent.
Ce livre est son histoire, le roman d'un homme joyeux. C'est aussi une invitation à la réflexion, à comprendre ce qu'est la " joie ", cette force mystérieuse qui, à tout instant, peut rendre notre vie exaltante. -
Les Dragons est l'histoire d'un coup de foudre entre adolescents plus normaux qu'il n'y paraît. Un cri d'amour pour ces enfants que notre société cache, mais qui disent tant de nous.Jérôme a quinze ans. Il est en colère contre ses parents qui sentent le vieux. Contre le monde qui le rejette. Contre les monstres qui l'empêchent de dormir. Contre lui surtout. Sur décision de justice, il est interné dans un centre de soins pour adolescents.
Là, il rencontre les dragons, ces enfants détruits par leur famille, l'école ou l'époque. Parmi eux, il y a Colette. Crâne rasé, bras lacérés, noir sur les yeux.
Elle veut mourir. Il veut l'embrasser. L'emmener loin d'ici. -
Il y a du Antoine Blondin chez Florent Oiseau, dont l'humeur vagabonde excelle à capter l'ironique poésie de l'ordinaire. Après Je vais m'y mettre, Paris-Venise et Les Magnolias, Les fruits tombent des arbres poursuit son exploration d'une condition humaine sauce cocktail, résolument oisive.
Est-ce la vie qui crée le hasard, ou l'inverse ? Parce que son voisin, comme le fruit d'un arbre, est tombé raide mort à l'arrêt Popincourt, Pierre se retrouve à errer sur la ligne du bus 69. "Fantôme urbain", comme il se définit lui-même, c'est un type plus très jeune et pas encore très vieux qui cherche des réponses dans de grands verres de lait glacé.
De laverie automatique en comptoir de bar kabyle, la liberté guide ses pas. Fumer des cigarettes avec les tapins de la rue Blondel, monter une mayonnaise pour une célèbre actrice sur le retour, appeler sa fille Trieste et se rappeler Venise... tout fait aventure quand on regarde bien et qu'on ne regrette rien.
Ne pas faire grand-chose : voilà l'extraordinaire.
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" Attention, ce livre peut vous vous offrir des éclats de rire et vous dérober quelques larmes ! " Librairie Le Bookstore, Biarritz
" Un roman d'une grande humanité où la fausse légèreté est dotée d'une rare profondeur. " Librairie L'Impromptu, Paris -
Éloge de l'amitié.
Quoi de plus libre et précieux que l'amitié ? Bernard Pivot en sait la valeur, lui qui a le bonheur de compter des amis fidèles, certains de toute une vie.
On connaît le critique littéraire, on découvre ici l'ami qui s'est toujours gardé de confondre attachement sincère et copinage. Une tâche délicate quand votre influence vous attire les faveurs... Mais Bernard Pivot en sait trop sur l'amitié pour se laisser duper. Dans son panthéon intime, on croise des camarades d'enfance et de lycée, des journalistes, des comédiens, quelques écrivains et un seul éditeur. Des élus, à jamais dans son coeur.
Dans ces pages vibrantes d'émotion et de sincérité, Bernard Pivot nous permet d'approcher au plus près cette mystérieuse alchimie entre deux êtres. On a peu de vrais amis. Ceux que Bernard Pivot célèbre ont changé sa vie. Et en parlant d'eux, il nous dit beaucoup de lui. -
Roman de la rupture amoureuse, cahier du pays natal, Tout ce qui manque fait le point sur tout ce qui compte. À la manière d'un John Fante d'Intercités, Florent Oiseau ajoute à sa plume une pointe de mélancolie dont le sarcasme flegmatique émeut autant qu'il réjouit.
" Le projet m'apparaissait évident, j'utiliserais le village pour tisser un décor, raconter une histoire en apparence inoffensive mais avec, cette fois, un but bien précis : dire entre les lignes tout ce que j'avais cru malin de taire. Ana, tu n'es pas juste une infirmière ; Ana, tu n'es pas une colocataire ; Ana, tu n'es pas une habitude, t'aimer est ma première certitude, l'avoir mal fait est la deuxième, vouloir écrire un livre pour inverser le cours de notre histoire est la dernière. " -
Quand Jean-Christophe Rufin et Sylvain Tesson emmènent un éditeur sujet au vertige à 4800 mètres d'altitude...
Éditeur parisien, Ludovic Escande est plus habitué aux salons littéraires qu'aux bivouacs en haute montagne. Un soir, il confie à son ami Sylvain Tesson qu'il traverse une période difficile. L'écrivain lui lance : " Mon cher Ludovic, on va t'emmener au sommet du mont Blanc ! "
Il n'a jamais pratiqué l'alpinisme et souffre du vertige. Pourtant il accepte, sans réfléchir. S'il veut atteindre le toit de l'Europe, il devra affronter les glaciers à pic, les parois vertigineuses, la haute altitude et le manque d'oxygène.
La voie que lui font emprunter Sylvain Tesson et Jean-Christophe Rufin est périlleuse pour un débutant. Mais c'est le plus court chemin pour retrouver goût au bonheur.
Avec sincérité et humour, Ludovic Escande raconte cette folle ascension qui est aussi et surtout une formidable aventure amicale, littéraire et spirituelle. -
" Caramel, Pompon, Cachou..." Il y a des gens, dans la vie, dont l'unique préoccupation semble d'imaginer des noms de poneys. Alain est de ceux-là... Florent Oiseau brosse un portrait de loser magnifique - une parenthèse en Renault Fuego où valsent sandwiches aux flageolets, secrets de famille et cuites à la vieille prune, pour l'amour d'une grand-mère. " C'est drôle, touchant, intelligent, bien écrit. Le remède idéal contre la déprime."- Caramel
- Pompon
- Cachou...
Il y a des gens, dans la vie, dont l'unique préoccupation semble d'imaginer des noms de poneys. Alain est de ceux-là. Sa carrière d'acteur au point mort - depuis qu'il en a joué un, dans un polar de l'été, sur TF1 -, le quarantenaire disperse ses jours. Chez Rosie en matinée - voluptés de camionnette - et le dimanche aux Magnolias - où sa grand-mère s'éteint doucement. On partage une part de quatre-quarts, sans oublier les canards, et puis Mamie chuchote :
" J'aimerais que tu m'aides à mourir. " Autant dire à vivre... La seconde d'après, elle a déjà oublié. Pas Alain. Tant pis pour les poneys : il vient de trouver là, peut-être, un rôle à sa portée...
Dans la lignée de
Je vais m'y mettre et de
Paris-Venise, Florent Oiseau brosse un nouveau portrait de loser magnifique - une parenthèse en Renault Fuego où valsent sandwiches aux flageolets, secrets de famille et cuites à la vieille prune, pour l'amour d'une grand-mère.
" Il donne de la légèreté à la profondeur. Il y a du Desprogres chez cet homme. Avec beaucoup d'humour, de recul, de cynisme, il va vous faire éclater de rire avec vos peurs. " Gérard Collard, Le Magazine de la Santé
" Empreinte de poésie et de fantaisie, la tendresse de Florent Oiseau pour ses personnages est contagieuse. " L'Express
" Prix du livre le plus drôle de l'année, mais pas que. Un mélange de fantaisie, d'humour et de tendresse. " Olivia de Lamberterie, Télématin
" Avec des personnages aussi absurdes qu'attachants et une plume pétillante d'humour, l'auteur de 29 ans parvient à ensoleiller la vieillesse, la précarité, et les secrets de famille. " Version Femina
" C'est drôle, touchant, intelligent, bien écrit. Le remède idéal contre la déprime." Librairie du Pincerais
Les Magnolias est dans la sélection du prix des libraires 2020. -
Un premier roman pétillant d'humour sur la génération précaire. Fred, la petite quarantaine, surfe sur l'écume des jours. Après des années à enchaîner jobs alimentaires et périodes de chômage, il a renoncé à faire carrière. Il passe désormais ses journées à dormir, manger des Knacki devant les émissions de Sophie Davant et boire des demis au bistrot du coin en attendant l'amour. Fred, la petite quarantaine, surfe sur l'écume des jours. Après des années à enchaîner jobs alimentaires et périodes de chômage, il a renoncé à faire carrière. Il passe désormais ses journées à dormir, manger des Knacki devant les émissions de Sophie Davant et boire des demis au bistrot du coin en attendant l'amour.
Jusqu'au moment où il découvre qu'il arrive en fin de droits, et que ses maigres allocations disparaîtront bientôt. Il n'a plus le choix : il doit s'y mettre. Un emploi salarié ? Il n'en trouvera pas. Mais des ennuis, oui. Fred, par paresse ou naïveté, a une fâcheuse tendance à se laisser glisser dans les embrouilles...
De Paris à Malaga,
Je vais m'y mettre nous embarque pour une série d'aventures drolatiques en compagnie d'un personnage aussi attachant que désabusé. Une comédie d'aujourd'hui où, derrière les éclats de rire, se dessine le devenir de la génération précaire.
" L'ouvrage le plus désinvolte de la rentrée et assurément l'un des plus drôles. " AFP
"Dans cette tragicomédie corrosive, Florent Oiseau dresse le portrait sans fard d'une société à l'absurde esprit de compétition" Livres Hebdo
" Derrière la loufoquerie, un premier roman gouailleur et incroyablement maîtrisé. " Magazine Néon
"Merci pour ces belles tranches de rire !!" Christelle, Librairie Rue De Verneuil (Annecy)
"Un premier roman à ne surtout pas manquer" Antoine, Librairie Michel (Fontainebleau) -
Roman vient de trouver un job sur le Paris-Venise, le train de nuit le plus en retard d'Europe. À presque trente ans, décrocher ce poste de couchettiste ressemble à une consécration... Les trafics de clandestins, les douaniers avinés, les descentes de pickpockets venus piller la diligence : tout peut arriver dans ce théâtre ambulant. Même tomber amoureux. Inspiré de faits réels, Paris-Venise confirme le talent de Florent Oiseau qui mêle admirablement humour et sensibilité.
" C'est Milan ? Pris de court, Demba a regardé par la fenêtre et s'est contenté de lire ce qu'il avait apercu sur un panneau à fond bleu. Non, monsieur, bientôt, pour le moment nous sommes à Sottopassaggio, dans la banlieue proche. Oui, c'est vraiment très proche, j'ai ajouté, pour avoir l'air d'un mec qui connaissait sur le bout de ses doigts la province lombarde. Le type s'est fendu d'un rire discret et nous a expliqué avec un brin de condescendance que "sottopassaggio' voulait dire "passage souterrain', mais que le grand panneau "Milano Centrale' qu'on pouvait désormais apercevoir signi ait que nous étions bien à Milan. Demba a répondu que c'était une vanne, le passager s'est senti con et s'est avancé vers l'autre porte, au bout du couloir. Bonne vanne, j'ai vraiment cru que c'était un nom de ville. Pareil. " Roman vient de trouver un job sur le Paris-Venise, le train de nuit le plus en retard d'Europe. Un signe. Lui non plus n'est pas très en avance dans sa vie. À presque trente ans, décrocher ce poste de couchettiste ressemble à une consécration... Les trafics de clandestins, les douaniers avinés, les descentes de pickpockets venus piller la diligence : tout peut arriver dans ce théâtre ambulant. Même tomber amoureux.
Inspiré de faits réels,
Paris-Venise confirme le talent de Florent Oiseau qui mêle admirablement humour et sensibilité. -
Paris à la nage : guide des piscines parisiennes
Marine Schneck, Colombe Schneck
- Allary
- 5 Mai 2022
- 9782370734143
" Nager est le meilleur médicament que j'ai trouvé contre le chagrin, la fatigue, l'ennui. " Colombe Schneck " Nager est mon deuxième bureau, nager m'aide à me concentrer, trouver des idées, me tenir droite, ne pas trop râler. " Marine Schneck
Pendant un an, deux grandes nageuses se sont retrouvées chaque semaine pour tester les quarante-deux piscines de la capitale.
Ensemble, Colombe et Marine ont tout étudié : adresses, tarifs, qualité de l'eau, fréquentation dans les lignes, propreté des vestiaires, température des douches, élégance de la construction. Les deux soeurs ont fait des longueurs, elles ont bavardé avec les habitués, le caissier, les maîtres-nageurs. Colombe a observé, noté, Marine a illustré, avec humour et subtilité.
Elles ont aussi déniché les bonnes adresses où se poser en sortant de l'eau : dans un café, une pâtisserie, un parc ou un bistro. Ce livre est une exploration inédite d'un Paris sportif, vivant et intime. -
Chaque année, un milliard de touristes parcourent le monde. En 2020, ils seront un milliard et demi à vous assommer avec leur récit de voyage. " C'est à mourir de rire. Je l'ai lu d'une traite en Belgique où je donnais une tournée de quatre-vingts conférences sur mes voyages. " Sylvain Tesson
Chaque année, un milliard de touristes parcourent le monde. En 2020, ils seront un milliard et demi à vous assommer avec leur récit de voyage.
Depuis toujours, l'art de voyager se confond avec l'art de raconter ses voyages. Autrement dit avec l'art d'ennuyer ses proches en étalant son bonheur ou en se faisant passer pour un aventurier.
Hier, cela se faisait lors de soirées diapositives. Aujourd'hui, grâce aux réseaux sociaux, il est possible d'inonder ses contacts sous un flot continu de commentaires, photos et vidéos. Notre capacité à assommer avec nos récits de vacances est devenue sans limite.
C'est à cet art subtil, puisant dans un savoir-faire ancestral, que nous initie Matthias Debureaux dans ce manuel à l'ironie mordante qui se moque de tous nos travers de touristes. Un petit texte au style raffiné et à l'humour corrosif. -
Les enfants du vide ; de l'impasse individualiste au réveil citoyen
Raphaël Glucksmann
- Allary
- 11 Octobre 2018
- 9782370731630
Des chemins existent pour sortir de l'impasse individualiste. Saurons-nous les emprunter ?Notre échec est grandiose.
Nous pensions que la démocratie allait s'étendre sur le globe, mais elle est en crise partout.
Nous chantions les bienfaits des échanges, mais la mixité sociale recule et de nouveaux murs s'érigent chaque jour.
Nous avions la religion du progrès, mais le réchauffement climatique prépare la pire des régressions.
L'insurrection populiste et le désastre écologique en cours montrent que le logiciel néolibéral nous mène dans l'abîme.
Pour ne pas tout perdre, nous devons sortir de l'individualisme et du nombrilisme.
Si nos aînés ont vécu dans un monde saturé de dogmes et de mythes, nous sommes nés dans une société vide de sens. Leur mission était de briser des chaînes, la nôtre sera de retisser des liens et de réinventer du commun.
Des chemins existent pour sortir de l'impasse. Saurons-nous les emprunter ? -
Une déclaration d'amour fou à notre langue où Bernard Pivot raconte la vie d'un homme qui, malgré ses succès de romancier, a toujours eu l'impression d'être mangé par les mots. Leur jouet plutôt que leur maître. Avec le livre, le DVD du spectacle de Bernard Pivot inclus. Avec le livre, le DVD du spectacle de Bernard Pivot inclus.
" On déguste des phrases. On savoure des textes. On boit des paroles. On s'empiffre de mots. Écriture et lecture relèvent de l'alimentation. Mais la vérité est tout autre : ce sont les mots qui nous grignotent, ce sont les livres qui nous avalent. " Bernard Pivot.
Écrit par admiration des écrivains, dit sur scène par son auteur, ce texte est une déclaration d'amour fou à notre langue. Bernard Pivot y raconte la vie d'un homme qui, malgré ses succès de romancier - invitation à
Apostrophes, consécration au Goncourt -, a toujours eu l'impression d'être mangé par les mots. Leur jouet plutôt que leur maître.
Un hommage malicieux, inventif et drôle aux hôtes du dictionnaire. -
Souvenirs d'un chasseur de trésors littéraires
Jean-claude Zylberstein
- Allary
- 6 Septembre 2018
- 9782370732347
"Collection dirigée par Jean-Claude Zylberstein" : la formule a été imprimée sur plus de 20 millions d'ouvrages des collections 10/18, Grands détectives, Domaine étranger, Pavillons, Texto... Avocat, critique de jazz, éditeur, Jean-Claude Zylberstein n'a jamais voulu sacrifier l'une de ces vies: ses souvenirs nous font traverser un demi-siècle de vie culturelle. Collection dirigée par Jean-Claude Zylberstein La formule a été imprimée sur plus de 20 millions d'ouvrages. 10/18, Grands détectives, Domaine étranger, Pavillons, Texto... Jean-Claude Zylberstein a créé ou dirigé ces collections devenues incontournables avec toujours la même idée : exhumer des auteurs que nul ne se souciait de traduire ou de rééditer. Jim Harrison, Dashiell Hammett, Robert van Gulik, Somerset Maugham, Evelyn Waugh, Primo Levi, Winston Churchill, John Fante et beaucoup d'autres grands auteurs étrangers sont devenus des classiques grâce au travail de ce lecteur au goût si sûr.
Enfant juif caché pendant la guerre, c'est dans le grenier de ses protecteurs que naît sa passion de la lecture. Il fait ses débuts dans la presse comme critique de jazz pour
Jazz magazine et
Le Nouvel Observateur. Puis il entre dans l'édition en rassemblant les oeuvres complètes de Jean Paulhan et devient directeur de collection grâce à Bernard de Fallois. Esthète à la curiosité insatiable, il exerce ensuite ses talents de dénicheur chez Christian Bourgois, Champ libre, Robert Laffont, La Découverte, Tallandier, Les Belles Lettres... Entre-temps, il est devenu l'un des plus grands avocats en droit d'auteur, défendant Salman Rushdie, Françoise Sagan, Ingrid Betancourt ou Daft Punk, et de nombreux éditeurs.
Avocat, critique de jazz, éditeur, Jean-Claude Zylberstein n'a jamais voulu sacrifier l'une de ces vies, promenant son élégance amusée des couloirs du Palais aux coulisses de l'édition. Ses souvenirs nous font traverser un demi-siècle de vie culturelle et éditoriale et, au-delà, dessinent une bibliothèque idéale. Le trésor d'un chasseur de pépites littéraires. -
Le problème avec les enfants, c'est qu'ils grandissent. Un jour, sans prévenir, ils claquent les portes, rapportent de mauvaises notes et ne s'expriment que par onomatopées. Voici l'histoire d'un couple sur le point de craquer face aux assauts répétés de leur fils de 15 ans. L'école les lâche, le père part en vrille, la mère essaie d'éteindre l'incendie... C'est un roman sur l'amour familial où les sentiments sont à vif, comme sur un champ de bataille. Le problème avec les enfants, c'est qu'ils grandissent. Un jour, sans prévenir, ils claquent les portes, rapportent de mauvaises notes et ne s'expriment que par onomatopées. Surtout, ils cessent de vous considérer comme un dieu sur terre. Et ça, il faut l'encaisser.
La science explique qu'ils n'y sont pour rien. C'est leur cerveau en formation qui les rend feignants, impulsifs et incapables de ramasser leurs chaussettes. N'empêche. On n'a jamais rien créé de pire que les adolescents du virtuolithique.
Voici l'histoire d'un couple sur le point de craquer face aux assauts répétés de leur fils de 15 ans. Qu'ont-ils mal fait ? Rien. Mais la guerre est déclarée. Et ils ne sont pas préparés. L'école les lâche, le père part en vrille, la mère essaie d'éteindre l'incendie.
C'est un roman sur l'amour familial où les sentiments sont à vif, comme sur un champ de bataille. -
Son premier roman part à l'imprimerie, et elle ne sait pas à qui le dédicacer... Férocement drôle et émouvant, La dédicace est l'histoire d'une quête sentimentale dans un Paris peuplé de solitudes. "Un premier roman piquant , tonique et finalement radieux." F.Pages, Le Canard enchaîné.Une jeune femme s'apprête à publier son premier roman.
Elle vit seule, son téléphone ne vibre pas, elle a de plus en plus de mal à aimer sa mère.
À qui pourrait-elle dédicacer son livre ? Son éditrice lui donne trois jours pour trouver.
Férocement drôle et émouvant,
La dédicace est l'histoire d'une quête sentimentale dans un Paris peuplé de solitudes. -
À partir de quarante ans, la vie est toute tracée. C'est ce qu'il pensait avant de rencontrer Marie un après-midi dans un bar. Il est chauffeur de taxi, père de trois enfants, marié depuis quinze ans, propriétaire d'une maison avec jardin en périphérie de Bruxelles et sa belle petite vie roulait tranquillement. Jusqu'à ce que Marie lui sourie et lui offre la possibilité d'un nouveau départ.
À partir de quarante ans, la vie est toute tracée. C'est ce qu'il pensait avant de rencontrer Marie un après-midi dans un bar.
Il est chauffeur de taxi, père de trois enfants, marié depuis quinze ans, propriétaire d'une
maison avec jardin en périphérie de Bruxelles et sa belle petite vie roulait tranquillement. Jusqu'à
ce que Marie lui sourie et lui offre la possibilité d'un nouveau départ.
Ce n'est pas une décision qu'un homme prend facilement. Alors il continue de
rouler au son de Bashung, Jeff Buckley et des confidences de ses clients.
Quitter sa femme pour une autre qu'il connaît à peine : il y songe. Rester avec une femme qu'il n'est
plus sûr d'aimer : il y songe aussi. En attendant, il s'accroche à son volant et monte le son, espérant trouver dans les paroles de ses chansons préférées la bonne façon d'aimer.
Plus qu'une description de la crise de la quarantaine, le monologue du narrateur nous interroge sur notre capacité à réagir à l'usure du temps et à la fatigue des sentiments. L'écriture sensuelle et sincère de Jérôme Colin pose une question qui touche chacun d'entre nous à un moment ou à un autre : l'amour donne-t-il une deuxième chance ? -
De la Grèce aux rives du lac Léman, une superbe fresque familiale.
Un matin d'hiver 1977, Bruno K, professeur de littérature admiré par ses étudiants, se promène dans les rues de Genève. Alors qu'il devise silencieusement sur les jambes d'une jolie brune qui le précède, il s'écroule, mort.
Quand ses deux frères Georgely et Alexakis apprennent la nouvelle, un espoir fou s'évanouit. Le soir même, ils auraient dû se retrouver au Victoria Hall à l'occasion d'un récital de violon d'Alexakis. Pour la première fois, la musique allait les réunir.
La Partition nous plonge dans l'histoire de cette fratrie éclatée en suivant les traces de leur mère, Koula, une grecque au tempérament de feu. Elle découvre l'amour à 16 ans, quitte son pays natal pour la Suisse dans les années 1920 et refera sa vie avec un homme de 30 ans son aîné. Une femme intense, solaire, possessive, déchirée entre ses pays, ses fils et ses rêves. Une épouse et une mère pour qui l'amour est synonyme d'excès. -
Trois femmes fragiles et puissantes qui ne se connaissent pas mais ont tant de choses en commun. Une volonté de fer pour s'émanciper de leur mari dominateur. Un sens de l'humour vif et piquant.
Melania est mariée à un Priape raciste et misogyne devenu président des États-Unis, Irina à un publicitaire condescendant, Laure à un homme sans goût ni saveur qui la quitte pour la femme de ménage après trente ans de vie commune.
Elles ne se connaissent pas mais ont tant de choses en commun. Une volonté de fer pour s'émanciper de leur mari dominateur. Un sens de l'humour vif et piquant.
Mais ce qui les lie par-dessus tout, c'est un typhon qui répond au doux nom de Mangoustan. Et qui s'apprête à balayer Hong Kong le week-end où elles s'y trouvent toutes les trois. -
Préfacé par Emmanuel Carrère, écrit dans une langue magnifique, un roman de guerre qui ne ressemble à aucun autre et un portrait saisissant de l'inconscient en temps de guerre.
" Pendant une guerre, on rêve de guerre, et Emil Szittya a cherché à savoir sous quelle forme la guerre s'insinuait dans le sommeil des gens. Il a noté ce qu'on lui racontait aussi fidèlement que possible, en comptant sur l'éloquence de la transcription brute. Le résultat est saisissant, à la fois d'une grande unité de style et d'une grande variété de tonalités et d'affects. Il n'y a pas d'interprétation, mais chaque rêve est précédé par une brève présentation du rêveur, et ces 82 vignettes ne sont pas ce que le livre offre de moins précieux. Il y a quelque chose de Perec dans ces vies déroulées en quelques lignes. On y reconnaît le ton d'un véritable écrivain. " Emmanuel Carrère
Sorti en 1963, devenu introuvable, 82 rêves pendant la guerre 1939-1945 est enfin réédité. Emil Szittya y fait le récit des rêves de Français ordinaires, de miliciens, de Juifs pourchassés ou de soldats allemands pendant l'Occupation.
En dévoilant la part la plus intime des hommes et femmes pendant cette nuit de six longues années, il signe une oeuvre littéraire et historique de premier plan. Un portrait saisissant de l'inconscient en temps de guerre. -
Vibrant de colère et d'humanité, Tu mérites un pays raconte le parcours du combattant d'une exilée dans cette France où l'on n'est jamais tout à fait " assez français ". L'histoire, aussi, d'une émancipation, portée par une langue à la fois mordante et poétique, singulièrement puissante." Tu dois être la jeune femme la plus heureuse du monde. "
Ce sont les mots de Marie-Ange, dans son bureau d'aide aux réfugiés, lorsqu'elle tend à Layla sa convocation pour être naturalisée.
Mais que signifie " être la jeune femme la plus heureuse du monde ", quand on a laissé là-bas tous les siens, qu'on vit au Dorothy, hôtel insalubre tenu par un marchand de sommeil, et que son job consiste à rendre impeccables les toilettes du café de Mme Meng ? Quand le tendre Momo, son ami, sa boussole, est obligé de fermer son merveilleux manège parce que la Mairie de Paris le juge " trop barbu ", ou que sa colocataire Sadia, sa belle, rebelle Sadia, s'humilie pour une poignée d'euros ? -
La paternité, une épopée ! Père de cinq enfants, la vie de famille d'Alexandre Lacroix prend au fil des chapitres l'allure d'une épopée, semée d'épreuves et de vertiges.
" La paternité est la grande affaire de ma vie adulte. Elle a occupé une large partie de mon temps. Mon premier enfant est né quand j'avais vingt-cinq ans ; mon cinquième quand j'en avais quarante-deux. Quatre garcons, une fille. De deux mères différentes.
J'ai attendu que le cycle des naissances s'achève pour raconter cette expérience. J'en ressentais le désir depuis longtemps. Les romanciers, les intellectuels, s'ils évoquent souvent leurs pères, restent très discrets sur leur propre paternité. En un sens, je les comprends. Écrire sur ses enfants, c'est prendre le risque de la partialité. Et puis, comment alimenter le romanesque avec des petits pots ?
À mesure que j'avancais dans l'écriture, j'ai pourtant eu la sensation de relater une épopée. Dans les romans de chevalerie, il y a des duels, des moments lumineux et violents où l'on joue sa peau comme lors d'un accouchement. Il y a des épreuves aussi et s'occuper de ses enfants, c'est en affronter sans cesse. Il faut écarter les dangers autour d'eux, en tracant une route.
Si la filiation est une expérience épique, c'est encore qu'elle nous confronte à notre propre mort. Nos enfants sont ce que nous laissons sur Terre après nous. Dans la logique des choses, ils se trouveront réunis autour de notre cercueil. Mais cela n'a rien de triste. À mesure que nous vieillissons, nous transférons sur eux notre amour de la vie. " A. L. -
Le père est un des plus grands cinéastes d'Hollywood. Le fils est un jeune premier du cinéma nazi. Le roman vrai de leur déchirure.
Le père est Douglas Sirk, réalisateur en vogue dans les années 20 et 30 en Allemagne, contraint de fuir avec sa femme juive aux États-Unis, où il deviendra célèbre grâce à ses mélodrames.
L'enfant est Klaus, le fils que Douglas a eu avec sa première femme. Convertie à l'idéologie du Troisième Reich, elle fera du garçon un enfant star du cinéma nazi.
Le père ne reverra jamais son fils, sauf à l'écran.
Grâce à des années de recherches et aux confidences de Douglas Sirk à la fin de sa vie, Denis Rossano raconte l'histoire bouleversante de l'un des plus grands cinéastes hollywoodiens et de son fils emporté par l'Histoire.