"Pigeons maudits, pigeons cornus... ça va changer !" Ça changea très vite, en effet, mais pas pour les pigeons. Mario ne sentit même pas la main qui doucement se posait sur son dos pour lui donner des ailes et ce fut lui qui s'envola : un vol bref et sans bavure dans l'éternité.
Il buvait ses cinq litres par jour, mais on ne pouvait pas dire que ce fût un ivrogne. Il détestait les Noirs, mais il n'était pas raciste, loin de là ! Il était malin comme un singe, connaissait la côte d'Afrique comme sa poche, et quand on lui révéla l'existence, sur l'île de Matakong, d'un fabuleux trésor planqué par un ancien forban anglais, il n'hésita pas. En bon Breton, il fonça. A la godille !
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
«Paradis B ! Paradis du n'importe quoi, du délire, tout est possible et tout est permis, et sexuellement cela va de soi, Paradis B où je suis, où nous sommes, où j'irai et où nous irons tous, Paradis B, celui des fumeurs, des magouilleurs, de tous ceux qui sont en avance sur la dinguerie de leur temps, de ceux qui ne veulent plus jamais travailler ni flipper, mais se reposer peinard pour l'éternité.»Sunny Adama, le héros des Trafiqueurs, a quitté Abidjan pour New York où il survit en vendant des contrefaçons de produits de luxe au marché noir. Il vient de se faire braquer par des types qui le laissent cul nu et redevable d'une somme de huit mille dollars. Pendant ce temps, dans la banlieue parisienne, le «Président» rêve de prendre le pouvoir au Zaïre et prépare la Révolution, quand une terrible pénurie d'herbe s'abat sur la ville...De New York à Paris, d'Afrique en Amérique, Paradis B est un thriller course-poursuite, urbain, défoncé, antisocial et mystique.
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« Dans les centres urbains, on immole en général la bête de ses moyens : une poule, un coq. Mais, au fur et à mesure qu'on monte dans l'échelle sociale, et qu'on est bourré aux as, l'obole passe d'une chèvre ou d'un bouc au mouton, d'un mouton à une vache, de la vache à un être humain, ce dernier étant généralement considéré sans protection surnaturelle... »
Le meurtre, c'est comme la drogue, on finit par aimer ça. Puis, on entre par hasard dans le circuit de la pègre, et on trouve toujours des petits marrants, qui sont prêts à payer vos talents. Moi, je n'avais que celui-là. Dommage quand même car, pour le plaisir, il y avait comme un manque. Mais l'amour est aveugle, même pour les gars dans mon genre.
« Dans les centres urbains, on immole en général la bête de ses moyens : une poule, un coq. Mais, au fur et à mesure qu'on monte dans l'échelle sociale, et qu'on est bourré aux as, l'obole passe d'une chèvre ou d'un bouc au mouton, d'un mouton à une vache, de la vache à un être humain, ce dernier étant généralement considéré sans protection surnaturelle... »
En France, on les appelle des poulets. Aux États-Unis, des cochons. Au Québec ? Des chiens, même si on a souvent envie de les traiter de « chiens sales ». Quand ils font une connerie, pour la cacher, ils en font une plus grosse, qui devra être dissimulée par une énorme, et celle-là, par une monumentale... Mais si vous trouvez que c'est exagéré, attendez de lire ce qui est arrivé à Carmen Paradis...
Le meurtre, c'est comme la drogue, on finit par aimer ça. Puis, on entre par hasard dans le circuit de la pègre, et on trouve toujours des petits marrants, qui sont prêts à payer vos talents. Moi, je n'avais que celui-là. Dommage quand même car, pour le plaisir, il y avait comme un manque. Mais l'amour est aveugle, même pour les gars dans mon genre.
Quand on travaille à la télé dans une émission spécialisée dans la recherche des personnes disparues, on a tendance à se croire capable de remettre en ordre la vie des autres. Quand il accepte de rechercher un expert en art, qui a filé avec un manuscrit de Molière, Martin Paradis est loin de se douter que le vrai monde est encore plus dangereux que celui de la télé...
Un tueur à gages sans gages, ça peut devenir furieux. Ne vous avisez pas d'"oublier" le paiement, le contrat pourrait se retourner contre vous. D'abord, vous recevrez un signe. Si vous ne voulez toujours pas comprendre, les manifestations se feront de plus en plus pressantes et macabres : c'est le jeu du Petit Poucet. Le tueur a eu le temps de le roder depuis l'Algérie mais, aujourd'hui, les règles lui échappent, le chasseur est devenu proie...
Où peut-on trouver une femme qui cherche son mari, un mari en route pour la malchance, un acteur sur les traces d'un assassin ? Où ? Mais au Royal-bougnat, évidemment !
J'avais pourtant décidé de ne plus m'occuper des affaires du monde. Perdu dans mon désert mexicain, bien tranquille, j'essayais de soulever les pierres rien qu'en les regardant dans les yeux, comme mon maître tibétain me l'avait appris. Et puis le monde m'a rattrapé. Le monde et ses tueurs cinglés. Le monde et le corps de cette femme, qui ferait oublier les pierres au plus endurci des Lamas.
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Ce ne sont pas des pilotes de Jets. Ce ne sont pas des conducteurs de formule I. Ce sont des types pas très bien payés, qui traînent des remorques éléphantesques, dans les glaces de l'hiver et le feu de l'été, sur les routes insensées de Turquie et d'Iran. Et, croyez-en l'auteur, car il est allé y voir en personne, il leur arrive des trucs et des machins parfois drôles, parfois tragiques, mais jamais ordinaires.
Avoir un papa chef d'orchestre de renommée mondiale, dans la vie, c'est un bon début. Sauf quand le papa en question, vous ayant engendré hors des liens du mariage, ne vous a pas reconnu. Et vous voilà obligé, pour devenir l'héritier éventuel de cet odieux papa, d'aller le rencontrer dans la jungle de l'Amérique centrale. Et c'est malsain, ce pays-là !