Filtrer
Rayons
- Littérature
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
Éditeurs
Langues
Formats
Amalthée
-
Lettre ouverte d'un sans-dents au Président Hollande, chef d'une nation édentée
Philippe Chatel
- Amalthée
- 5 Novembre 2015
- 9782310025904
Notre République épuise ses forces dans des combats futiles, alors que les solutions et les moyens de réussir sont à notre portée. Le Président de la République cherche à faire diversion pour échapper à ses engagements qu'il ne parvient pas à tenir sur l'emploi et le chômage. Avec 60 000 entreprises détruites sous le gouvernement de Jean-Marc Ayrault et des centaines de milliers de chômeurs supplémentaires, François Hollande a perdu un pari qu'il comptait gagner avec de la chance et non un programme économique, fiscal et social de combat.
Dans cette lettre ouverte, Philippe Chatel invite le Président à cesser les réformes stériles et le « macronnage » pour entrer en révolution et modifier tout le système administratif et politique. Il propose la suppression du Sénat et la réduction des effectifs politiques, mais aussi la suppression de la taxe foncière et des plus-values afin de sauver le notariat et l'emploi dans les métiers de l'immobilier, la suppression de l'impôt sur le revenu, et propose des solutions radicales pour payer les 2000 milliards de dettes de la France avant la fin du quinquennat car un pays endetté n'est pas un pays libre.
Il s'insurge contre le retour de Nicolas Sarkozy qu'il affuble du sobriquet de « Mr 600 » en raison des 600 milliards de dettes qu'il a laissé en héritage aux Français, et s'interroge sur les ambitions du FN qui semble vouloir chausser les bottes des socialistes et des UMP-Républicains pour devenir un parti comme les autres, sans efficacité et sans envergure.
Il revendique une insolence légitime à l'égard des politiques dont les Français sont las, et suggère de se débarrasser de la majorité d'entre eux au profit de la démocratie participative.